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FaRem
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2,5
Publiée le 28 septembre 2016
"Dishoom" est une comédie d'action couplée à un buddy movie puisque l'on retrouve deux flics très différents qui vont devoir faire équipe avec d'un côté Kabir, le flic qui n'a pas de limite et qui enfreint toutes les lois puis de l'autre Junaid, le rookie gentil et un peu maladroit. Les deux vont devoir retrouver un joueur de cricket qui s'est fait enlever seulement ni l'histoire ni ce duo ne vont être totalement exploités, on finit même par oublier ce que l'on regarde tant l'intrigue s'éloigne et disperse. Ce point de départ fait penser à un film américain et effectivement, on dirait que Rohit Dhawan a pris un "virage" occidental avec les mêmes ingrédients que dans certains gros films, on retrouve donc des filles sexy, des grosses voitures et des décors très bling-bling tout ce que ne m'avait pas habitué le cinéma bollywoodien du moins en général, car il y a toujours des exceptions. Je ne sais pas trop quoi penser de ce film, je trouve qu'il y avait tout pour faire un grand film d'action en plus visuellement, il est très agréable à regarder, mais en même temps, ça manque d'action comparé aux moyens mis à disposition même s'il y a 2/3 scènes sympas puis surtout l'histoire n'est pas assez forte et comme je l'ai dit avant, elle passe trop souvent au second plan. Au final, c'est un film sympathique qui se laisse regarder, mais ce n'est pas un grand divertissement. 5,5/10
Les histoires de duo de flics, dont l’un est sérieux et musclé et l’autre un peu bébête, c’est connu au cinéma et ça ne fait plus rire. Mais quand le cinéma bollywoodien s’en mêle, le genre ne peut que se raviver. Pour Dishoom, Rohit Dhawan s’est clairement entouré d’un casting physiquement parfait. Les deux acteurs John Abraham et Varun Dhawan et l’actrice Jacqueline Fernandez ont des visages et corps sublimes et ce ne sera pas pour déplaire aux spectateurs. Car finalement, l’histoire qui est un peu trop commune, repose sur ce casting plein de beauté. Pendant une chasse à l’homme de 36 heures, les personnages vont jouer perpétuellement sur l’ambiguïté sexuelle pour nous faire baver. Ils vont aussi nous faire rire et danser, respectivement au travers de dialogues potaches et de chorégraphies rythmées. Finalement, si Dishoom aurait pu vite être qualifié de nanar, nous passons un moment plein de fraîcheur et nous ressortons avec le sourire. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44