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Votre avis sur Confident Royal ?
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Portrait biographique donc vaut forcément le coup d'œil. Reste que c'est un peu nœud nœud, romancé et même parfois lent. Tout étant axé sur la relation enfantine des 2 personnages. L'acteur indien n'a aucun charisme.
Belle scène finale.
3,1/5
Belle scène finale.
3,1/5
Confident Royal qui décrit la relation entre la reine Victoria et son Munshi Abdul est un bon film de S. Frears.
Ils nous ouvre les yeux sur la cour royale d'Angleterre à ce moment-là ainsi que sur le personnage qu'était la reine Victoria.
C'est donc intéressant de ce point de vue. Par contre, le film en lui-même est un peu fade, malgré le soin porté aux décors et aux petits détails.
Ils nous ouvre les yeux sur la cour royale d'Angleterre à ce moment-là ainsi que sur le personnage qu'était la reine Victoria.
C'est donc intéressant de ce point de vue. Par contre, le film en lui-même est un peu fade, malgré le soin porté aux décors et aux petits détails.
C'est toujours agréable de voir des films qui creuse autant leurs personnages et surtout les relations entre eux à ce point. A la base je n'aurais pas misé un sou sur ce film, mais ce dernier a réussi à me surprendre par son scénario et son histoire. L'amitié est superbement racontée et incarnée par les protagoniste. Les enjeux sont parfaitement exposés et résolus, tellement bien fichu que parfois même le film tourne au thriller par rapport aux enjeux monarchique. L'humour est aussi parfaitement géré, et franchement parfois on rigole volontiers car les dialogues sont parfaits et placés au moment idéal. Le décor et les costumes, ont aussi du mérite, il nous transporte dans une autre époque par leur beauté. Dernier point, le duo est tout simplement parfaits, il y'a une vraie alchimie entre eux. Un plus pour Judi Dench qui tient le rôle à la perfection. Bref, un très bonne surprise, malgré parfois un rythme un peu inégal.
Voilà un film intelligent et tout simple sur cette histoire de fascination improbable entre la reine Victoria et cet homme indien qui aurait joué un rôle important dans les dernières années de son règne. Le film vaut surtout aussi pour les interprètes comme Judy Dench parfaite en reine vieillissante. Stephen Frears réussit à nous captiver par son histoire qui recoupe l Histoire .
Confident Royal était un film vraiment agréable. C'est une histoire sur l'amitié entre une monarque dans ses derniers jours qui a survécu à de nombreux êtres chers et une âme authentique qui savourait sa compagnie. Le lien doit être l'une des amitiés les plus inhabituelles et les plus grandes de l'histoire. Le film est un régal à regarder et présente de grandes performances de la distribution, en particulier les deux principaux acteurs. En même temps c'est une fenêtre sur une partie intéressante et riche de l'histoire. Il met en lumière des événements inconnus jusqu'en 2010 et assez fascinants. L'amitié douce et innocente était agréable à regarder de la scène de la danse à la promenade partagée à Florence. Le film a également eu de belles doses d'humour. C'était la rencontre de deux mondes différents. D'un côté une vielle dirigeante et de l'autre un naïf de bas niveau qui se connectait sur un plan humain. Pendant un bref instant la reine et le public oublièrent l'impérialisme et la colonisation. La fin a ressemblé à une tragédie avec la mort de la reine et le renvoi d'Abdul Karim hors d'Angleterre. La fin rendant hommage à sa reine proche du Taj Mahal dont il lui a parlé avec passion Abdul était une belle touche pour terminer ce très bon film...
Abdul Karim, fonctionnaire à Agra en Inde, est choisi pour représenter son pays lors du jubilé d’or de 1887, à la fin du règne de la reine Victoria.
Seule depuis la mort du prince Albert de Saxe-Cobourg, la reine s’ennuie et souffre d’obésité morbide.
Lors du repas de cérémonie, elle croise le regard du jeune indien et se lie d’affection pour lui, il devient son ami, confident et Munshi (Professeur en Inde).
La cour royale, alliée au prince héritier Bertie, use de tous les stratagèmes pour évincer Abdul de l’influence positive qu’il exerce sur la reine et surtout de tous les privilèges qu’il reçoit.
Victoria et Abdul relate des faits méconnus de l’histoire de la monarchie anglaise mais surtout sur les traits de la personnalité de la célèbre reine Victoria.
Ce film fait apparaitre un monarque plus humain et tolérant à travers les bienfaits de cette amitié surprenante avec un jeune indien musulman qui l’accompagnera jusqu’au dernier souffle de sa vie en lui rendant la joie de vivre et l’espoir perdus depuis 30 ans.
Judi Dench et Ali Fazal qui interprètent les rôles principaux sont merveilleux et font de Victoria et Abdul un très bon film !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Seule depuis la mort du prince Albert de Saxe-Cobourg, la reine s’ennuie et souffre d’obésité morbide.
Lors du repas de cérémonie, elle croise le regard du jeune indien et se lie d’affection pour lui, il devient son ami, confident et Munshi (Professeur en Inde).
La cour royale, alliée au prince héritier Bertie, use de tous les stratagèmes pour évincer Abdul de l’influence positive qu’il exerce sur la reine et surtout de tous les privilèges qu’il reçoit.
Victoria et Abdul relate des faits méconnus de l’histoire de la monarchie anglaise mais surtout sur les traits de la personnalité de la célèbre reine Victoria.
Ce film fait apparaitre un monarque plus humain et tolérant à travers les bienfaits de cette amitié surprenante avec un jeune indien musulman qui l’accompagnera jusqu’au dernier souffle de sa vie en lui rendant la joie de vivre et l’espoir perdus depuis 30 ans.
Judi Dench et Ali Fazal qui interprètent les rôles principaux sont merveilleux et font de Victoria et Abdul un très bon film !
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Dans les dernières années de son règne, la Reine Victoria (Judi Dench, parfaite dans le rôle) s’ennuie. Obèse, elle passe son temps à se goinfrer durant les cérémonies auxquelles le protocole l’astreint. Sa rencontre avec Abdul Karim (Ali Fazal), un roturier indien choisi pour remettre un cadeau au cours du jubilé de la Reine, va profondément marquer ses dernières années de vie.
La suite ici : https://coupdecine.blogspot.fr/2017/10/confident-royal-2017-au-diable-le.html
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Un joli film servi par l’interprétation remarquable de Judi Dench. Malgré quelques défauts, dont une bien-pensance envahissante, '' Confident Royal '' retient l'attention grâce à ses superbes décors et une légèreté surprenante. Le jeu convenu d'Ali Fazal est considérablement rehaussé par la présence de Judi Dench, extraordinaire dans la peau d'une reine Victoria affaiblie par les contestations et le poids de l'âge. Le film souhaite essentiellement rendre hommage à Mohammed Abdul Karim, valet indien pour lequel la souveraine britannique avait développé une amitié fortement dérangeante et dont l'Histoire avait injustement gommée le nom. Plus connu sous le nom de '' Munschi '', celui-ci s'était attiré les foudres de la cour et avait du retourner en Inde après la mort de Victoria. Le film pâtit de certaines libertés prises sur la véritable histoire, ce qui contribue à le rendre parfois excessivement mielleux. Du reste, on s'attache facilement aux (grands) personnages de cette histoire. Il faut avant tout y voir une belle ode à la tolérance et une sublime retranscription d'une époque révolue. '' Confident Royal '' s'adresse à un large public et mérite largement d'être visionné. On en apprend beaucoup sur les mœurs et le protocole.
librement inspiré d'une histoire vraie. le film raconte une belle histoire d'amitié entre 2 personnes issues de mondes et de niveaux sociaux différents. Judi DENCH est incroyable dans son rôle de reine.
un film admirable joué par des acteurs éblouissants. c’est plein de tendresse, de dureté et d’amour filial (peut-être) partagé.
Quand on apprend que cette histoire vraie n'a été découverte que récemment, faute de destruction des documents témoins à l'époque, on ne peut être que admiratif face à ce qu'à dû endurer cette reine pour faire accepter à la cour ses nouveaux amis très éloignés de la vie aristocratique anglaise. Le film est un pur bonheur, entre rires nombreux et tristesse de la reine face à certaines situations. L'actrice est magistrale, encore plus que d'habitude. Tous les acteurs sont excellents, et l'indien juste parfait. Un très très bon moment.
Belle amitié confrontant deux mondes se heurtant à l étiquette d une époque révolue . A voir en anglais. Ca fend le coeur de voir la reine s éteindre et la correspondance entretenue avec l hindou avec elle .
Très bon film : Un démarrage ultra rythmé montrant l'abondance du royaume britannique, des touches d'humour d'anglais, d'excellents acteurs, une belle histoire d'amitié entre 2 personnes que tout oppose.
Malgré quelques longueurs en fin de films, je conseille vivement ce film.
Malgré quelques longueurs en fin de films, je conseille vivement ce film.
Une excellente reconstitution de l'Angleterre de la reine Victoria, alors impératrice des Indes, montrant l'amitié entre la reine, fatiguée et solitaire, et son serviteur indien, basée sur des faits réels. Le film à ses débuts fait preuve d'humour (scènes de banquets ou la reine mange à toute vitesse n'attendant qu'une chose, que ce soit fini) à l'émotion, entre les confidences et le véritable attachement qui unit ces deux êtres venant d'univers opposés. Judi Dench est formidable dans ce rôle qui lui va comme un gant, et Ali Fazal très attachant.
Très librement inspiré d'une histoire vraie révélée au public il n'y a que quelques années seulement, le film de Stephen Frears s'appuie sur un scénario au cordeau pour donner un résultat presque parfait. Une leçon d'intelligence à tous les niveaux.
Intelligence du scénario qui développe cette improbable histoire d'une amitié sincère et profonde combattue par l'ensemble de la Société Royale et qui permet de porter un jugement parfois glacial sur les mœurs de l'époque. Et sans jamais tomber dans le didactisme primaire, rien n'est souligné, rien n'est appuyé, alors que tout est sur l'écran. Au public de faire l'effort de voir et de comprendre. Un exemple parmi d'autres : l'arrivée des deux Hindous descendant du bateau et posant le pied sur le sol anglais : "Bienvenue au pays de la civilisation, la grande Angleterre". L'homme qui les a accompagnés est fier de son pays et de sa supériorité. Et tout autour, le port est jonché de mendiants qui se trainent par terre en quémandant une maigre aumône pour subsister. Tout est dit en un plan; C'est cela le grand cinéma : montrer sans avoir besoin d'expliquer.
Intelligence de la mise en scène. Pas un mouvement de caméra gratuit, pas un effet facile dont sont malheureusement trop souvent coutumier les réalisateurs qui cachent leur manque de talent derrière une agitation constante et gratuite de la caméra. Ici, chaque plan est pensé et réalisé en fonction de la séquence et de l'histoire. La scène du banquet (entre autres) en est une parfaite illustration. Majestueuse mais sobre et précise. Une leçon.
Et enfin intelligence de l'interprétation. Avec bien entendu, Judy Dench en tête de la distribution, impeccable de justesse, d'émotion et de sens du comique (car le film est aussi drôle, très drôle). L'évolution de son jeu entre le début de l'histoire où elle joue une reine toute puissante mais malade où l'on peut deviner dans son regard qu"elle n'aspire probablement plus qu'à mourir et la période où l'amitié avec son serviteur grandit avec leur complicité, alors que son regard s'allume, qu'on perçoit dans ses yeux une étincelle nouvelle. Elle semble progressivement rajeunir. C'est purement éblouissant de justesse.
Cerise sur le gâteau, tous les autres acteurs sont également excellents.
Intelligence du scénario qui développe cette improbable histoire d'une amitié sincère et profonde combattue par l'ensemble de la Société Royale et qui permet de porter un jugement parfois glacial sur les mœurs de l'époque. Et sans jamais tomber dans le didactisme primaire, rien n'est souligné, rien n'est appuyé, alors que tout est sur l'écran. Au public de faire l'effort de voir et de comprendre. Un exemple parmi d'autres : l'arrivée des deux Hindous descendant du bateau et posant le pied sur le sol anglais : "Bienvenue au pays de la civilisation, la grande Angleterre". L'homme qui les a accompagnés est fier de son pays et de sa supériorité. Et tout autour, le port est jonché de mendiants qui se trainent par terre en quémandant une maigre aumône pour subsister. Tout est dit en un plan; C'est cela le grand cinéma : montrer sans avoir besoin d'expliquer.
Intelligence de la mise en scène. Pas un mouvement de caméra gratuit, pas un effet facile dont sont malheureusement trop souvent coutumier les réalisateurs qui cachent leur manque de talent derrière une agitation constante et gratuite de la caméra. Ici, chaque plan est pensé et réalisé en fonction de la séquence et de l'histoire. La scène du banquet (entre autres) en est une parfaite illustration. Majestueuse mais sobre et précise. Une leçon.
Et enfin intelligence de l'interprétation. Avec bien entendu, Judy Dench en tête de la distribution, impeccable de justesse, d'émotion et de sens du comique (car le film est aussi drôle, très drôle). L'évolution de son jeu entre le début de l'histoire où elle joue une reine toute puissante mais malade où l'on peut deviner dans son regard qu"elle n'aspire probablement plus qu'à mourir et la période où l'amitié avec son serviteur grandit avec leur complicité, alors que son regard s'allume, qu'on perçoit dans ses yeux une étincelle nouvelle. Elle semble progressivement rajeunir. C'est purement éblouissant de justesse.
Cerise sur le gâteau, tous les autres acteurs sont également excellents.
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