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Symptôme de ce regard normé et prêt à juger le moindre défaut, le personnage de Galinda est un régal de drôlerie [...]. Ariana Grande en fait joyeusement des tonnes [...]. Agaçant juste ce qu’il faut, premier degré et délicieusement imbue d’elle même, ce personnage qui en prend pour son grade sans bouger un cil, contribue à l’équilibre d’un film qui en manque un peu parfois, dans ses excès de bons sentiments.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Techniquement somptueux, "Wicked" est surtout un grand spectacle de tous les instants, à la fois merveilleux et désenchanté, à la fois drôle et tragique, à la fois moderne et déférent envers ses modèles et leur héritage. En bref, un blockbuster de tous les extrêmes. Vite, donnez-nous la suite !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Cynthia Erivo et Ariana Grande sont en symbiose totale et au sommet de leur art dans cette adaptation de la célèbre comédie musicale de Broadway, inspirée de l'univers du Magicien d'Oz.
Si Elphaba est une sorte de vilain petit canard que chaque petit enfant seul, différent ou harcelé comprendra, que chaque incompris aimera, Glinda se ridiculise à force de fatuité. C’est marrant. Tout en elle est factice, et les scénaristes s’en sont donné à cœur joie pour faire comme Greta Gerwig avec Barbie : déconstruire sa petite mythologie de poupée parfaite.
La magie de Wicked ne laissera personne indifférent et pourrait même réconcilier les spectateurs français avec les comédies musicales. Cette adaptation parvient à reproduire les sensations et les émotions du spectacle original à la perfection, si bien que les cinémas se transforment en de véritables théâtres new-yorkais le temps d’une séance.
Mieux charpenté que Wonka il y a un an, nettement moins virtuose que le West Side Story de 2021, Wicked ne défie pas toujours la gravité mais soigne incontestablement son public avec un enthousiasme qui tombe à pic en ce mois de décembre. À voir en famille !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Mieux vaut être familier de l'univers merveilleux très codifié pour apprécier pleinement ce spectacle joyeux, énergique et coloré, avec des moyens colossaux déployés à l'écran pour parler d'inclusion et d'acceptation de la différence.
Jon M. Chu a eu l’intelligence de garder l’esprit de la comédie musicale en envisageant l’espace du film comme une scène. Le professionnalisme de tous (comédiens, chanteurs, direction artistique) finit de l’emporter sur nos réticences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Reste que, si vous n'avez jamais entendu parler de Wicked, si Broadway n'est pas votre truc et si vous n'êtes pas un arianator, ce ne seront pas les deux heures quarante les plus faciles de votre vie. Mais, dans sa dernière partie, le film devient un drôle d'objet politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Adapté de la comédie musicale à succès, "Wicked" ressuscite le monde kitsch et coloré d’Oz au fil d’un récit interminable heureusement ponctué par des séquences musicales spectaculaires. L’occasion de redécouvrir "Popular", "Dancing Through Life" et "Defying Gravity".
Jon M. Chu, expert en musical contemporain, a suffisamment de métier pour susciter, distribuer, répartir l’énergie dans les chorégraphies d’étudiants en uniforme [...]. Au risque de la surcharge pour conserver l’attention de la génération TikTok.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette métaphore sociopolitique au cœur d’un conte fantasy d’allure aussi sucrée qu’un chou pâtissier, est l’autre bonne surprise de ce long premier volet – ce n’est que l’acte 1, et il dure deux heures quarante !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Pleinement conscient de l’artificialité du matériau qu’il adapte (parce qu’il s’agit d’une comédie musicale, genre par essence très codifié, et parce qu’elle a les deux pieds dans le fantastique), le virevoltant Jon M. Chu en joue, le revendique pleinement, avec des chansons et chorégraphies étourdissantes, des chansons entêtantes, des décors et costumes ahurissants.
Mix entre l’univers de « Harry Potter » et celui, cucul et coloré, de « Barbie », ce blockbuster à 150 millions de dollars décline un énième récit d’apprentissage, plein de marqueurs woke opportuns – héroïne ostracisée pour sa couleur de peau, sororité malmenée par les boomers au pouvoir – dans un déluge de kitsch qui pique les yeux (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le rythme tient sa petite cadence sur une durée beaucoup trop longue, la réalisation s'accommode à peu près d'une direction artistique tirée des cauchemars d'un gosse de 4 ans en descente de sucre la veille de Noël, et cela suffit manifestement, désormais, à garantir d'apparaître dans la shortlist des Oscars.
Du côté de l’interprétation, pas grand-chose à signaler avec une Cynthia Erivo pour qui jouer la comédie semble signifier afficher un air boudeur, et une Ariana Grande qui, elle, paraît avoir travaillé le sourire idiot figé comme seule ligne de jeu. Et les chansons ? Pas exceptionnelles et pompeusement orchestrées, ce qui rajoute à l’effet suranné de l’ensemble…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Du déjà-vu en somme lors de cette première partie (la suite sortira sur les écrans l’an prochain), qui n’arrive jamais à exister, cinématographiquement parlant.
Du déjà-vu en somme, raconté par des chansons plus ou moins réussies et alourdi par une direction artistique rose verdâtre de mauvais goût. Impression accentuée par la multitude d’effets spéciaux peu convaincants… Un pur nanar kitch.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
LCI
Une adaptation absolument époustouflante.
20 Minutes
Chansons magiques et décors pharaoniques font de cette fresque un divertissement festif.
Abus de Ciné
Symptôme de ce regard normé et prêt à juger le moindre défaut, le personnage de Galinda est un régal de drôlerie [...]. Ariana Grande en fait joyeusement des tonnes [...]. Agaçant juste ce qu’il faut, premier degré et délicieusement imbue d’elle même, ce personnage qui en prend pour son grade sans bouger un cil, contribue à l’équilibre d’un film qui en manque un peu parfois, dans ses excès de bons sentiments.
CinemaTeaser
La réussite folle de ce spectacle total, à la fois généreux et malin, donne déjà très envie de voir la suite.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un peu de poudre d’école de magie façon Harry Potter, de beauté verte façon Shrek, de rose artificiel façon Barbie, et beaucoup d’argent pour briller.
Ecran Large
Techniquement somptueux, "Wicked" est surtout un grand spectacle de tous les instants, à la fois merveilleux et désenchanté, à la fois drôle et tragique, à la fois moderne et déférent envers ses modèles et leur héritage. En bref, un blockbuster de tous les extrêmes. Vite, donnez-nous la suite !
Franceinfo Culture
Chatoyant, enlevé et spectaculaire, le voyage vaut le détour.
Konbini
Cynthia Erivo et Ariana Grande sont en symbiose totale et au sommet de leur art dans cette adaptation de la célèbre comédie musicale de Broadway, inspirée de l'univers du Magicien d'Oz.
Le Dauphiné Libéré
Si Elphaba est une sorte de vilain petit canard que chaque petit enfant seul, différent ou harcelé comprendra, que chaque incompris aimera, Glinda se ridiculise à force de fatuité. C’est marrant. Tout en elle est factice, et les scénaristes s’en sont donné à cœur joie pour faire comme Greta Gerwig avec Barbie : déconstruire sa petite mythologie de poupée parfaite.
Le Figaro
Wicked déborde d’une vitalité qui emporte tout sur son passage.
Le Journal du Geek
La magie de Wicked ne laissera personne indifférent et pourrait même réconcilier les spectateurs français avec les comédies musicales. Cette adaptation parvient à reproduire les sensations et les émotions du spectacle original à la perfection, si bien que les cinémas se transforment en de véritables théâtres new-yorkais le temps d’une séance.
Les Inrockuptibles
Ultra inclusif, l’univers chatoyant du film frôle évidemment la meringue trop sucrée mais sans tourner à l’indigestion, à peine sur la fin.
Ouest France
Un grand spectacle, coloré.
Première
Une adaptation grisante et roborative d’un des plus fameux musicals de Broadway, portée par le duo brillant Ariana Grande/Cynthia Erivo.
La Croix
Malgré quelques longueurs, le pari est réussi.
La Voix du Nord
Mieux charpenté que Wonka il y a un an, nettement moins virtuose que le West Side Story de 2021, Wicked ne défie pas toujours la gravité mais soigne incontestablement son public avec un enthousiasme qui tombe à pic en ce mois de décembre. À voir en famille !
Le Journal du Dimanche
Mieux vaut être familier de l'univers merveilleux très codifié pour apprécier pleinement ce spectacle joyeux, énergique et coloré, avec des moyens colossaux déployés à l'écran pour parler d'inclusion et d'acceptation de la différence.
Le Monde
Jon M. Chu a eu l’intelligence de garder l’esprit de la comédie musicale en envisageant l’espace du film comme une scène. Le professionnalisme de tous (comédiens, chanteurs, direction artistique) finit de l’emporter sur nos réticences.
Le Point
Reste que, si vous n'avez jamais entendu parler de Wicked, si Broadway n'est pas votre truc et si vous n'êtes pas un arianator, ce ne seront pas les deux heures quarante les plus faciles de votre vie. Mais, dans sa dernière partie, le film devient un drôle d'objet politique.
Les Echos
Si l'adaptation étire inutilement le livret original, on tient là, à coup sûr, la parfaite sortie de fin d'année.
Les Fiches du Cinéma
Adapté de la comédie musicale à succès, "Wicked" ressuscite le monde kitsch et coloré d’Oz au fil d’un récit interminable heureusement ponctué par des séquences musicales spectaculaires. L’occasion de redécouvrir "Popular", "Dancing Through Life" et "Defying Gravity".
Libération
Jon M. Chu, expert en musical contemporain, a suffisamment de métier pour susciter, distribuer, répartir l’énergie dans les chorégraphies d’étudiants en uniforme [...]. Au risque de la surcharge pour conserver l’attention de la génération TikTok.
Télé 7 Jours
Un film enchanteur malgré deux ou trois morceaux musicaux ronflants.
Télé Loisirs
Divertissant, malgré une écriture parfois fébrile.
Télérama
Cette métaphore sociopolitique au cœur d’un conte fantasy d’allure aussi sucrée qu’un chou pâtissier, est l’autre bonne surprise de ce long premier volet – ce n’est que l’acte 1, et il dure deux heures quarante !
aVoir-aLire.com
Pleinement conscient de l’artificialité du matériau qu’il adapte (parce qu’il s’agit d’une comédie musicale, genre par essence très codifié, et parce qu’elle a les deux pieds dans le fantastique), le virevoltant Jon M. Chu en joue, le revendique pleinement, avec des chansons et chorégraphies étourdissantes, des chansons entêtantes, des décors et costumes ahurissants.
Critikat.com
Passé une introduction réussie, la nouvelle comédie musicale de Jon M. Chu se perd dans un spectacle à la fois trop dense et trop dilué.
L'Obs
Mix entre l’univers de « Harry Potter » et celui, cucul et coloré, de « Barbie », ce blockbuster à 150 millions de dollars décline un énième récit d’apprentissage, plein de marqueurs woke opportuns – héroïne ostracisée pour sa couleur de peau, sororité malmenée par les boomers au pouvoir – dans un déluge de kitsch qui pique les yeux (...).
Mad Movies
Le rythme tient sa petite cadence sur une durée beaucoup trop longue, la réalisation s'accommode à peu près d'une direction artistique tirée des cauchemars d'un gosse de 4 ans en descente de sucre la veille de Noël, et cela suffit manifestement, désormais, à garantir d'apparaître dans la shortlist des Oscars.
Le Parisien
Du côté de l’interprétation, pas grand-chose à signaler avec une Cynthia Erivo pour qui jouer la comédie semble signifier afficher un air boudeur, et une Ariana Grande qui, elle, paraît avoir travaillé le sourire idiot figé comme seule ligne de jeu. Et les chansons ? Pas exceptionnelles et pompeusement orchestrées, ce qui rajoute à l’effet suranné de l’ensemble…
Nice-Matin
Du déjà-vu en somme lors de cette première partie (la suite sortira sur les écrans l’an prochain), qui n’arrive jamais à exister, cinématographiquement parlant.
Sud Ouest
Du déjà-vu en somme, raconté par des chansons plus ou moins réussies et alourdi par une direction artistique rose verdâtre de mauvais goût. Impression accentuée par la multitude d’effets spéciaux peu convaincants… Un pur nanar kitch.