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Isaac L
8 abonnés
111 critiques
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3,5
Publiée le 9 octobre 2021
Deuxième spin-off du Conjuring Verse après Annabelle, la Nonne, est un bon film d'horreur, même si il n'atteint pas la cheville d'un Conjuring. L'idée de placer l'action en Roumanie m'a beaucoup plu, j'ai beaucoup aimé les décors naturels ainsi que l'architecture. L'abbaye et très inquiétante, ce qui permet de créer une ambiance sombre, inquiétante et glauque qui va perdurer tout le long du film. Les acteurs sont très bon, notamment
Les jump-scares et effets sonores, utilisés de manière étouffante et épuisante, gâchent la totalité du visionnage. Le seul plaisir est accordé aux décors de qualités remarquables.
Je m'attendais à tout sauf à ça... Le seul point positif est qu'on rentre direct dans le bain de l'horreur et que pour le coup il se passe vraiment tout le temps un truc ce qui devient problématique et surréaliste. Au bout de 15 min on ne comprend plus rien à l'histoire. On n'apprend vaguement le point d'origine des évènements troublants qui se passent au sein de cette abbaye mais rien de plus développé que ces quelques malheureuses minutes. Alors qu'il y'avait matière à creuser et faire une véritable enquête pour rendre le film plus intéressant et accrocheur. C'est vraiment dommage, c'est tellement surfait que le spectateur n'y croit pas une seule seconde. On finit par être complètement largué dans le scénar' qu'on finit par décrocher et finalement on n'est plus du tout dans une ambiance comme on les aime devant ce genre de film
Ce film est un navets Maurice est un cliché, le démon est un clown. spoiler: Elle lui crache le sang de Jésus dessus ? Vraiment ? Aucun intérêt à éviter. 0 frayeurs, j'ai beaucoup ris, j'aurais dû regarder le père Noël est une ordures j'aurais + eu peur.
Alors, si un film est si mauvais que ça, pourquoi plus de 423 critiques ? ça rime à quoi de descendre un film loin d'être mauvais mais qui a la particularité d'ennuyer les âmes blasées par ce genre de cinéma... dont je fais un peu partie j'avoue. Je l'ai vu au ciné et je suis déjà tombé sur bien pire ! les décors sont superbes, sombres et inquiétants, les acteurs sont bons, les effets spéciaux ne sont pas de ces films genre Asylum, cheap et moches !! mention spéciale pour la petite soeur Farmiga qui a fait ses armes depuis longtemps. L'intrigue est un peu lente à se mettre en place, mais même sans être un chef d'oeuvre du genre, the Nun est un film plutôt bon.
Je relance ma série automnale consacré aux films horrifiques avec un long métrage très récent, La Nonne. Ce dernier issue du Conjuring Universe me laisse après coup un peu sur ma faim. Les raisons sont multiples ...
On ressent bien vite que le film tire sur la corde. En touts points, La Nonne est bâclé. L'histoire est très souvent incohérente et tourne grâce à ses facilité, les jumps scares perdent en cela du crédit. Dommage. Valak avait pourtant fait une sacré entré lors du second film Conjuring. La il déçoit.
Du côté des personnages on assure un service minimum. Le cahier des charges et rien de plus.
Une entrée en matière tranquille. Il va falloir rehaussé le programme dans les jours à venir.
A la vue de la bande annonce, on s'attend à un film effrayant qui nous empêchera de dormir (car il s'agit d'un spin-off de Conjuring)... Mais non. Le film n'a pas vraiment d'histoire se qui est dommage, les personnages ne sont pas très attachants et les jumpscares sont soit prévisibles ou inefficaces. Le seul qui aurait bien fonctionné est dans la bande annonce.
Au point où on en est, cette franchise attise une certaine curiosité qui se renouvelle à chaque saut qu'elle fait dans les salles obscures : non pas tant à cause de son originalité des concepts remarquables dans les faits, mais - tout simplement - à cause de sa faculté ingénieuse à grossir de façon vertigineuse son catalogue en poupée maléfique, de Nonne, de spectre pleurnicheur... pour un box office qui ne fait que confirmer l'intérêt des spectateurs pour ce genre de projet. Et dit sur cet aspect, on pourrait s'attendre à une diversité conceptuelle qui épuise son sujet en prenant une direction artistique qui pêche pour une direction esthétique dont l'intention serait toujours de surprendre le bon goût avec une créativité qui soit propre à chaque nouveau film plutôt que d'opter pour une industrialisation visant uniquement à se faire de l'argent facile dont l'exemple qui nous est permis de traiter à ce sujet n'est autre que "La Nonne" de Corin Hardy : lui dont la cinématographie débute avec ce film ci, partage avec certains de ses acolytes la faculté créatrice à propulser la narration avec des tours de magie qui n'ont de cesse à ressembler à une anthologie dédiée plutôt à certains classiques de l'horreur tel que Evil Dead de Sam Raimi ou un Buried avec Ryan Reynolds... Car une fois que nos deux protagonistes se rendent dans l'abbaye, le film rend simplement l'âme et se livre cyniquement à tous les tours d'horreur inimaginable empruntées dans les vieilles bibliothèques de l'épouvante (coucou Sam Raimi). Hardi dans tous les sens du terme, avec un courage artistique qui force quelque fois un respect visuelle qui démontre à quel point son géniteur est cultivé dans l'art de l'épouvante. Comme dans ce qui adviendra par la suite avec le mauvais film de Michael Chaves, "La Malédiction de La Dame Blanche" comme "La Nonne" souffrent du même symptôme à vouloir toujours instiller la peur avec une approche mécanique plutôt qu'une compréhension plus profonde de la terreur. "La Nonne" essaye tant bien que mal de nous prendre à revers en multipliant les jump square comme si il voulait créer une atmosphère festive en scènes de saut pas si percutant que ça à travers une grammaire visuelle un peu répétitive. À la différence de leur maître James Wan qui savait instiller une angoisse grandissante (au fur et à mesure que le film avance) en donnant une dimension (transcendante) inaccessible à la menace en question dans sa qualité spectrale comme arrière plan du mystère, dans une instigation paranormale qui utile les canaux habituels (à succès) des lignes de la possession, de la maison hantée... là où Corin Hardy tout comme Chaves ne font que compiler des instants horrifiques (pensés de manière segumentée) qui ressortent finalement du reste. Confusément définit, et même jusqu'au boutiste, les aspirations de la nonne maléfique restent cependant oubliées et oubliable. À croire qu'elle veut tout simplement rôder dans les lieux qu'elle préserve jalousement ! des potentiels locataires qui viendraient lui extirper de son sempiternel confort. Contrairement à James Wan qui savait donner à la menace un but précis, et bien ! cette fois-ci la religieuse maléfique n'en dispose absolument pas : elle se contente de faire des apparitions inutiles (avec des allers et retours dans l'immensité des lieux qu'elle prétend hantée) au lieu d'arriver à son terme. Corin Hardy réussit à déposséder la figure mythique du démon (habillé en tenue de religieuse) de tout son charisme pour en faire une vulgaire relique à ajouter à la panoplie (Annabelle, la dame pleureuse...) de ce Conjuring-Vers. Et quoi dire à propos du scénario si ce n'est le plus chaotique que la plupart des autres films qui se déroulent dans l'univers de The Conjuring. Il tente désespérément de de nous convaincre du rapport que les deux personnages principaux entretiennent avec leurs passés respectifs confrontés à leurs expériences du présent, dans une expression aussi volatile que nécessaire : il emprunte ses thématiques (rêve prémonitoire, l'inéluctabilité du destin, les perceptions supra-rationnelles de la Sœur...) à une philosophie religieuse ou mystique (qui ne peut être que quelconque), ne serait ce que pour donner un minimum de cohérence à ce gloubi-boulga d'idées farfelues. Sans oublier une gestion de l'espace incompréhensible qui ne fait qu'ajouter encore de frustration à ce spectacle interminable qui enchaîne encore et encore des fautes de goût avant de nous achever d'un climax nanardesque digne de ses plus grands auteurs. "La Nonne" aura le mérite d'être saluer que pour ses beaux décors gothiques qu'il projette pour le plaisir de l'œil et sa fidélité à l'époque.
Ce film mérite beaucoup plus d’étoiles ! L’ambiance est a couper le souffle et les jumpscares complètement imprevisibles ! J’ai adoré ce film avec le demon la nonne spoiler:
Ou plutôt VALAK le demon de conjuring 2 l’histoire parle d’une cathédrale ( abbaye ) en Roumanie qui est confrontée a des événements surnaturels a cause d’un demon. Donc un prêtre Anglais avec une sœur viennent les aider dans leur périple. J’ai eu bien peur de ce film la nonne est tres bien réussi. Si vous aimez tous les film qui tournent autour du christ et des catholiques je le recommande vivement.
je vous trouve tous très dur avec ce film ! ce n'est certes pas le chef d'oeuvre Conjuring mais je le trouve juste impéccable ! Les 3 personnages sont très bien développés (il vaut mieux 3 bons personnages que des dizaines livides) L'histoire est bien ficelée, spoiler: la relique, le sang du Christ, le fait qu'ils soient en réalité seuls dans l'Abbaye... , et puis cette fin, INCROYABLE, je ne m'attendais pas du tout spoiler: à ce que Frenchie soit l'exorcisme visible dans Conjuring 1 ! , bref je ne m'étends pas, très bon fiilm !
Frissons garantis! L'atmosphère de cette abbaye, dans une Roumanie bien ancré dans une époque moyenâgeuse, tous les ingrédients d'un film d'horreur sont là, la brume, le cimetière, les corbeaux, et les crucifix, beaucoup de crucifix. Alors on se laisse envouter par cette histoire finement amené avec un lien direct avec Conjuring. Les effets de surprises ou de frayeurs sont souvent les mêmes, mais cela fonctionne. Cela ne renouvelle pas le genre, mais rien ne le trahit non plus. L'essentiel est de faire peur et le résultat est là, un film sombre dans tous les sens du terme qui fonctionne et qui nous cloue à notre siège. Un bon moment.