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    La Nonne
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    466 critiques spectateurs

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    RedArrow
    RedArrow

    1 635 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2018
    Même si le frisson escompté est loin d'être au rendez-vous, les grands yeux globuleux de la poupée Annabelle ont prouvé qu'ils pouvaient à eux seuls affoler les box-offices du monde entier. Tout logiquement, le Conjuring-verse dégaine donc une nouvelle cartouche d'épouvante tiroir-caisse en s'intéressant d'un peu plus près à son démon en soutane, Valak, apparu dans le deuxième épisode de la saga-mère. Premier souci et non des moindres, là où Annabelle gardait une certaine aura de mystère en étant finalement une affaire à part entière et extérieure à celles traitées dans les deux films "Conjuring", Valak était, lui, une figure démoniaque prenant une apparence blasphématoire de nonne pour perturber spécifiquement les époux Warren et devenir ainsi partie prenante des évènements du second opus, ce qui lui ôtait quelque part déjà une part d'ombre et nous faisait naturellement douter sur la pertinence de raconter son background. "Pas grave !" semblent nous répondre l'ami James Wan et ses copains producteurs de l'univers, après tout un démon reste un démon et on peut supposer qu'il a accompli suffisamment de trucs démoniaques au cours de sa carrière susceptibles d'être racontés dans une nouvelle vague de spin-offs !
    Le temps de dégoter un réalisateur pas encore très connu mais auteur d'un long-métrage qui a fait son petit effet auprès des aficionados du genre (la méthode Wan depuis un moment, ici, c'est le pauvre Corin Hardy remarqué pour son sympathique "Le Sanctuaire" qui en fait les frais) et hop, nous voilà téléportés dans la Roumanie de 1952 où Valak fait tomber comme des mouches les nonnes d'une abbaye vivant dans l'autarcie la plus complète. Voyant ces pratiques diaboliques d'un sale oeil pour sa réputation dans la région, le Vatican y dépêche un prêtre expérimenté dans le domaine des trucs très louches et une petite apprentie nonne encore en plein doute sur sa vocation...

    Soyons magnanimes et reconnaissons au moins une qualité à cette pathétique "Nonne" : son imagerie. Convoquant tout un pan très européen de l'imaginaire collectif de l'épouvante avec ces décors gothiques nimbés de brume, le cinéaste irlandais rend évidemment hommage à un cinéma d'une autre époque où la Hammer régnait en maître dans le domaine. Bien plus teintée d'une couleur sanglante que ses prédécesseurs (tout en restant très soft), l'esthétique dans laquelle baigne "La Nonne" est sans doute son plus bel atout et permet à Corin Hardy de délivrer un film qui a le mérite de se différencier de ses aînés au détour de quelques plans très séduisants pour notre oeil.
    Mais à quoi bon ? Car "La Nonne" ne raconte absolument rien de neuf à part une sempiternelle histoire d'un démon tout content de pouvoir faire n'importe quoi dans notre monde (bon, il est habillé en nonne mais ça reste un argument assez mince) et, dans le n'importe quoi, l'ami Valak va se révéler impressionnant. Devenant une espèce de prétexte à tous les jumpscares épuisés possibles et imaginables, le démon ne paraît avoir que pour unique but d'apparaître toutes les cinq minutes sous diverses formes pour effrayer des personnages parfaitement idiots ("Oh un truc mort et surnaturel, je vais le suivre de ce pas pour me mettre en danger !") et surtout voués à le détruire, on a connu des créatures issues des Enfers un poil plus futées...
    Pire que tout, "La Nonne" ne trouve à aucun instant le moyen de nous intéresser et de nous convaincre sur la nécessité de raconter cette histoire ressemblant un peu plus à chaque scène à une espèce d'empilement de frayeurs faciles et presque caricaturales de tout ce qui ne va pas dans l'épouvante mainstream. Jamais attachants mais constamment transparents, les personnages déambuleront ainsi en hurlant pendant 1h30 dans cette immense abbaye dont on ne comprendra rien à la gestion de l'espace et où les nonnes de toutes sortes apparaîtront et s'évaporeront jusqu'à faire une overdose de vin de messe.
    Alors qu'on sera heureux de voir cette affaire aussi fatiguée que fatiguante enfin se terminer avec un affrontement final un peu moins mauvais que le reste, "La Nonne" nous achèvera avec un twist d'une facilité totale pour se raccrocher de la manière la plus superficielle qu'il soit à l'univers des "Conjuring" comme pour mieux nous démontrer son inutilité flagrante. C'est bon, messieurs, merci, mais on avait compris par nous-mêmes...

    On remerciera tout de même Corin Hardy d'avoir rendu ce calvaire vaguement plus supportable mais quand on n'a rien à raconter... ben... on ne raconte rien, point. On en vient à regretter les aventures ennuyeuses de la poupée Annabelle, c'est dire l'étendue des dégâts...
    Thomas D.
    Thomas D.

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    épouvante présent mais prévoyant rien qu'au son des musique et des bruits
    et mauvais scénario dommage

    Je ne conseil pas ou sinon aller voir juste une fois pour être déçu
    HarleyQuinn52
    HarleyQuinn52

    23 abonnés 80 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Film très bien mené qui met mal à l'aise dès les premiers instants. L'ambiance est angoissante tout au long du film. Certains jumscares sont prévisibles, mais même quand on les voit arriver on ne peut s'empêcher de sursauter. Très bonne mise en scène.
    Les acteurs sont convaincants.
    Les décors sont époustouflants et effrayants. L'abbaye est tellement austère, on ne peut s'empêcher de s'y sentir complètement oppressé dans ce lugubre lieu. Cette omniprésence du démon nous rend totalement dingue au bout du compte. Pourtant adepte des films d'horreur, j'ai eu des frissons à certains endroits...
    De plus le lieu n'est pas sans nous rappeler un autre monstre légendaire... Évidemment, qui dit Roumanie dit Dracula... Aaah les Carpates, une sacrée région quand même. ;)
    Vraiment un très bon film qui m'a littéralement empêchée de dormir...
    Januzaz
    Januzaz

    2 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Effrayante dans Conjuring, la Nonne revient (essayer) de nous hanter encore une fois dans cette adaptation horrifique du réalisateur Corin Hardy, qui a rapidement su nous montrer que "n'est pas James Man (réalisateur des 2 Conjuring) qui veut".
    Malgré une introduction sublime, ou l'horreur et la mise en scène sont maîtrisées du bout des doigts, le film perd en qualité au fur et à mesure qu'il avance. Sa crédibilité prends un sérieux coup vers l'acte final ou le film tombe presque malheureusement dans le nanar, ou se mêlent incohérences, éllipses scénaristiques faciles et délires visuels qui n'apportent rien ... pire ... qui ne font pas peur!

    La Nonne souffre de Conjuring qui lui avait donné une dimension angoissante grâce à une réalisation de qualité. On voit souvent les mêmes types de plans et de mise en scène pour faire peur (jeu dans le miroir, fenêtre, etc.) qui prouvent une lassitude au bout d'un moment.

    Cependant, la photographie et les décors restent de très bonne facture, et le casting, bien que stéréotypé, s'en sort plutôt bien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 septembre 2018
    Tout d'abord je tiens à dire que j'ai été voir ce film avec beaucoup d'appréhension au vue des critiques presses comme spectateurs. Je voulais me faire mon propre avis dessus. Je le trouve bien et efficace. Les scènes d'horreur font sursauter et les scènes type exorcisme fonctionnent bien. Étant un film de la franchise conjuring (conjuring 1 et 2; annabelle..) je m'attendais à un peu plus flippant quand même. Ce n'est pas non plus un navet comme annabelle sans pour autant surpasser les conjuring. Les liens avec conjuring sont cependant bien fait et pertinant. Le jeu d'acteur est bon (tessa fargima en prime) et les effets speciaux sont biens. D'où mes 4 * même si je m'attendais à mieux vu le sujet prometteur.
    Benito G
    Benito G

    647 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2019
    Au vue des 1er retour pas tu top, je n' aïs pas mis mes attentes trop haute. Et bien en fin de compte même si ce 'est pas culte. La cahier des charges est remplit et l ensemble demarre assez vite. Prenant parfois un tournant ou à trop vouloir impressionner, cela perd de crédibilité. Le réal on le connaît donc jumpscares, plus ou légèrement moins prévisible. Pour ce qui est du climat et de l ambiance elle aide le film à tenir la route. Sans rester sur notre faim, quelques question restent en attente... Mais c était à se douter pour celui ci lors du clin d œil à conjuring et donc celui pour évidemment une suite. Dans le genre l endroit etc. Font que l I on change des maisons habituelle et c est un bon point. Après comme tout film du genre quelques incohérences mais que l on passe outre assez facilement. Dans son genre, il a sa place et plaira où non suivant ce que le spectateur attends. Mais il fait son travail et garde un rythme gentiment constant et sa durée, la ou conjuring et compagnie s approcher des 2h. Ici cela aurait été trop long. Bref dans le genre, sa se laisse voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Le film se regarde sans déplaisir, on suit cette histoire sans réelle surprise, mais on ne nous propose rien de bien nouveau... Il manque un scénario anxiogène et une réalisation à la James Wan... Dommage...
    Pierba
    Pierba

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2018
    Imaginez vous taper un train fantôme sur le dos d'une vache mécanique ou vous pouvez voir tout le parcours à l'avance, le tout entrecoupé de blagues de Kev Adams. Pendant tout le film vous pouvez prédire à l'avance les jumpscare. C'est comme des gros panneaux avec écrit "attention l'ami prépare toi à sursauter d'ici quelques petites secondes" ou encore "regarde bien au centre de l'écran car quelque chose va surgir d'ici quelques instants" ou bien "tu vois ce silence, eh bien prépare toi à décoller de ton fauteuil car on va te balancer un méchant bruit en pleine gueule". Et puis ensuite pour faire redescendre une pression déjà inexistante on vous fait rire comme un niais avec des situations tout à fait cocasses. En bref un mélange complètement foireux de Dracula (l'abbaye en guise de château), l'Exorciste (le prêtre censé jouer le vieux mâle alpha rassurant) avec un côté Fort Boyard en toile de fond (qu'est ce qui va se passer dans cette pièce ?) pour un résultat savoureusement poilant.
    zorro50
    zorro50

    113 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Un nanar horrifique dont la bande-annonce à elle seule suffit à dégouter un éventuel public amateur de sensations fortes car l’ensemble est grotesque au lieu d’être effrayant. En essayant de regarder le film dans son entier, on s’aperçoit qu’il ne s’agit que d’un gâchis de pellicule de 95 minutes, mais comme les 2 tiers sont filmés de nuit dans des endroits non éclairés avec des personnages vêtus de noir, cela cache la misère ! Reste l'inévitable bande sonore qui avertit les spectateurs pas dégourdis, soit qu'il ne se passe rien, soit qu'il va bientôt se passer quelque chose, soit qu'il se passe enfin quelque chose, soit que ce quelque chose est passé ! Franchement, c'est un navet pitoyable mais je suis convaincu qu'il sera suivi de nombreuses suites.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Du conjuring 1, il a fallu développer un film sur la poupée Annabelle, cette fois, c’est au tour de conjuring 2 avec le personnage de la Nonne. Dans les années 50, le suicide d’une sœur dans un couvent isolée en Roumanie conduit le Vatican a envoyé un prêtre exorciste pour enquêter. Il va être accompagné d’une novice, une jeune religieuse américaine qui n’a pas encore prononcé ses vœux. Le lieu étant réputé maudit, seul un canadien surnommé « frenchy » va les accompagner. Dès lors, ils vont être confrontés à une succession d’attaques paranormales, et le film n’est que ça. Devant l’absence de scénario, ce film n’est qu’une succession d’effets plus ou moins réussis, comme dans un train fantôme, avec des jumpscares à foison ; ça en devient lassant à force. Les acteurs sont tellement insipides qu’ils ne relèvent pas le niveau. Le personnage de « Frenchy » est même parfois ridicule. Bref, la Nonne, pourtant crédité à la production et à l’écriture de James Wan, n’est vraiment pas une réussite.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    623 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 septembre 2018
    "La Nonne", spin-off tant attendue de la saga horrifique créée par James Wan, le grand maestro du genre depuis maintenant des années, arrive en salle sans l'effet escompté. En effet, moi qui pensais avoir une bonne frousse, je suis resté de marbre face à ce pur produit hollywoodien banal et totalement décevant d'un point de vue scénaristique.
    C'est vrai, le fait que l'histoire se déroule dans un autre cadre spatio-temporel apporte cachet et singularité à ce volet. Cette abbaye gothique, sauvage et isolée en pleine nature roumaine instaure un cadre atypique, propice à de grands mystères et de belles frayeurs. La photographie, bien que trop aidée par les images de synthèse, plante un décor riche et prometteur mais qui, malheureusement, se trouve mal exploitée dès les premières minutes du film.
    Ce qui m'a le plus déçu, c'est avant tout le manque de rythme : on met un temps fou à rentrer dans l'histoire et à découvrir le démon Valak qui ne devient ici qu'un prétexte pour nous faire sursauter. Aucune information croustillante ne viendra combler le cinéphile aguerri qui devra se contenter de quelques apparitions maladroites et une confrontation finale digne d'un Marvel, sans surprises donc ! On se contente d'une vulgaire incarnation du Mal sous la forme d'une Nonne... Et suite aux apparitions marquantes du personnage dans les volets précédents, on s'attendait à mieux, voire à quelque chose de similaire mais pas à pire...
    Tout est prévisible, les phénomènes étranges arrivent comme un cheveux sur la soupe et ne procurent aucune sensation de malaise ou d'angoisse tellement c'est du remâché. Ce qui s'avérait intéressant et exploitable au début (les jeux d'ombres et de lumières essentiellement) perd en inventivité et se confond dans de très prévisibles jumpscares et dans une surenchère d'incohérences scénaristiques, de piètre qualité. Pourtant, de bonnes idées parsèment l'ensemble et contribuent au climat obscur (les clochettes sur les tombes, le rituel de prière, la Mère Supérieure, les visions du Père Burke) mais celles-ci sont très vite banalisées par des effets nanardesques. Aucun approfondissement, aucun indice, tout est servi par grosse louche comme à la cantine et le gout est des plus amer. On a l'impression que le symbolisme autour de la religion n'est là que pour apporter une esthétique et se contente de son cadre pour laisser le spectateur patauger dans sa pop-culture pour se faire des propres frayeurs. Bien que visuellement irréprochable, il est difficile de cacher la misère scénaristique de ce volet.
    Même les acteurs jouent mal. Seule Taissa Farmiga s'en sort sans trop en faire dans le rôle sage et innocent d'une jeune religieuse qui n'a pas encore prononcé ses voeux. A ses côtés, on a le droit à un prêtre (Demian Bichir) qui semble totalement serein dans ce milieu a priori hostile et un jeune livreur de provisions, québécois sans accent qui s'appelle Frenchie (belle trouvaille de scénariste !), qui passe son temps à draguer et revendiquer sa nationalité ! Mise à part la première, la peur et l'inquiétude ne se lisent pas sur leur visage. Simples protagonistes affrontant le Mal, le scénario n'apprend rien sur leur psychologie, leur expérience ou leur rapport à la religion ou la foi. "Quelle perte de temps ! Mets un jumpscares, c'est mieux !" Ha si, le jeune est un français québecois, je vous l'ai déjà dit ?
    Film "pop-corn" rempli d'effets grotesques, de prières et d'un Démon Valak qui fait la grève... Je réfléchirai personnellement à deux fois quand je lirai à nouveau "Le chapitre le plus terrifiant de l'univers de Conjuring"...
    D antuoni S
    D antuoni S

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2018
    Heu film très attendu hé bien film bien décevant pour les frissons c louper aucun intérêt à faire un film comme ça c du temps perdu pour les fans de frissons
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    241 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 septembre 2018
    Annoncé comme l’épisode le plus terrifiant de la saga Conjuring, La Nonne est en réalité le plus raté de tous. Sans aucun scénario, les origines du démon Valak se montreront clairement décevantes tant on s’attendait à mieux après son rôle dans Conjuring 2 : Le Cas Enfield. Production fauchée sans aucune bonne idée, on a du mal à croire que James Wan est encore vraiment derrière la saga. C’est aussi une grosse déception pour le réalisateur Corin Hardy qui semblait si prometteur après son premier film Le Sanctuaire. Avec des films comme ça, la Warner risque de tuer la poule aux œufs d’or tant le film nous coupe tout envie de voir un nouvel épisode. [lire la critique compléte sur FreakinGeek.com]
    Dorian
    Dorian

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2018
    La Nonne est à des années-lumière des Conjuring. Son atmosphère autour de l'abbaye est très bien amenée.
    Des idées de screamers intéressants, spoiler:
    dont l'un inspiré du 2ème Conjuring, bien que les screamers soit beaucoup trop présent. Des clichés de films d'horreur comme : j'entends ou je vois quelque chose de bizarre je vais voir d'ou en provient la source. Une incohérence qui m'a personnellement attiré spoiler:
    Quand Frenchie tue un démon... Avec un fusil...
    La fin et le lien entre Frenchie et le 1er Conjuring est plutôt bien trouvé. Bien joué aussi de nous laisser imaginer une théorie sur le lien entre l'arrivée de la Nonne et le lien entre celle-ci et Lorraine Warren dans le 2ème Conjuring.
    L'ambiance bien maîtrisée du film n'efface pas ses défauts, mais il reste un film sympa à regarder.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    406 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2018
    Hardy fait ce qu’il peut avec un scénario faiblard, ronflant et prévisible. Seule l’excellente scène d’ouverture remplit son contrat et rappelle qu’il s’agit d’un film d’épouvante. Pour le reste, l’intrigue est inexistante, aussi rationnée que la bouffe pendant les 40 jours de Carême. Les effets spéciaux font « cheap », et l’esthétique est beaucoup trop léchée pour susciter une once d’effroi. Est-ce que le film est supposé faire peur ? On s’est sincèrement posés la question pendant les 1h37 de scènes convenues.
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