Suite de Conjuring les origines du mal, ce film d'horreur raconte le commencement de toute la saga. Une none possédée par un esprit diabolique hante un les murs d'une eglise. Comme les précédents volets, c'est un film d'horreur plutôt moyen qui se base sur le suspense pour crée un effet, assez raté et peu effrayant...
Comment dire... la veille je me suis rappelé que cela faisait très longtemps que je n'ai pas eu peur lorsque j'ai regardé un film d'horreur (Conjuring, les dossiers du Vatican, Paranormal activity etc... ne m'ont pas donné beaucoup de frissons). Mais alors là, j'étais réellement conquis ! J'ai vraiment eu peur du début jusqu'à la fin, c'était juste exceptionnel ! Les acteurs très bons, une histoire qui a du sens, les effets sont excellents! Merci Corin Hardy pour ce film ( j'ai mis 4.5 et pas 5 car ce qui est légèrement dommage, c'est que les effets sont trop, spoiler: un serpent qui sort de la bouche de la nonne ou du gamin, je dis non....)
Un film qui je suis désolé mais ne sert absolument à rien ! . Il n y a rien de bien intéressant pour ceux qui ont apprécié ce personnage qui apparaît dans Conjuring . Rien de bien nouveau est développé dans ce film et de plus les images sont sombres et les comédiens peu crédibles. Dommage
Impatiente de retrouver Taissa Farmiga et l'univers de Conjuring, malheureusement pour moi ce fut un échec. Le scénario est mauvais, les scènes se succèdent sans aucune logique et sont des purs clichés horrifiques.
Cinquième film de l'univers horrifique "Conjuring" (premier dans l'ordre chronologique des événements racontés), "La nonne" raconte l'enquête mené, par un prêtre au passé trouble et une jeune novice n'ayant pas encore fais ses voeux, au sein d'une abbaye située en Roumanie, sur le suicide d'une nonne. Arrivés sur place, les protagonistes vont se retrouver face à une entité démoniaque qui va se révéler très puissante. Après le succès de "Conjuring 2: Le cas Endfield", le personnage de la nonne, dont l'identité est Valak (du nom d'un démon issu des croyances de la goétie, l'art et la pratique de l'invocation des démons) fait son retour dans un film qui lui est consacré. Niveau scénario, l'écriture manque de détails (on aurait aimé en savoir plus sur l'origine du démon) et la présence de certains éléments mal exploités spoiler: (l'esprit de l'enfant mort après un exorciste, la relique contenant le sang du Christ...) laisse perplexe. En revanche, très bonne réalisation. Les décors et la lumière (ou plutôt l'obscurité ici) rappelle beaucoup les films de La Hammer (le film est d'ailleurs tourné en Transylvanie, terre d'origine du personnage Dracula qui fut le personnage de nombreuses production du célèbre studio Britannique). Même si la présence de plusieurs jumpscares trop prévisibles viennent par moment casser le rythme, celui-ci se retrouve les nombreuses fois ou l'on s'attends à voir quelque chose et finalement rien ne se passe. Même si Jamew Wan reste attaché à la production, on ressens son absence derrière la caméra. Surement pas le meilleur film de la saga, il n'est pas non plus le plus mauvais (de mon avis, "Annabelle" garde cette place). Le film se termine en faisant le lien avec le premier "Conjuring" et laisse à présager une suite qui expliquera le lien entre Valak et Lorraine Warren.
Après Conjuring 1 et 2, La Nonne est à la hauteur et tient ses promesses. On est parfaitement transporté en Bulgarie et l'ambiance tendue du film est palpable. Les personnages sont intéressants et ont un réel background. Les acteurs ne sont pas fantastiques mais campent bien leur rôle. Comme dans le deuxième Conjuring, Valak est vraiment terrifiant et terriblement puissant. On en apprend plus sur ce démon et les retours historiques sont passionnants. Enfin, le lien entre La Nonne et les deux Conjuring, notamment le 1, est parfaitement construit et on est pris de frissons lorsqu'on apprend la vérité.
Le tout desservi par une BO glacial et épique. Je recommande vivement.
Je dois le confesser tout de go, je n’ai jamais particulièrement été adepte de ce genre de films. Oh, j’ai bien dû frissonner en regardant Evil Dead en VHS quand j’étais adolescent, l’une ou l’autre Griffe de la nuit et sans doute un Vendredi 13 et Amityville, toujours dans la même période, mais mon attrait pour le cinéma d’horreur s’arrête il y a trente ans. Quoique… Maintenant que j’y pense, j’ai dévoré l’humour décalé et les scénarios déjantés de la série American Horror Story. Et voilà-t-y pas que l’actrice principale de cette Nonne a également éclaboussé de sa fausse naïveté la série susnommée.
Cette Nonne, mes élèves m’en parlent depuis quelques temps et, puisque j’organise un escape school sur un thème proche, je me suis dit : « pourquoi pas le regarder enfin ? »
Je vais faire l’impasse sur les clichés scénaristiques, visuels et sonores qui parsèment ce film : on n’est pas dans du cinéma d’art et d’essai. L’interprétation ? A l’exception de Taissa Farmiga et Jonas Bloquet (série 1899), c’est figé, stéréotypé, presque faux. Pas nécessairement que les acteur·trices soient mauvais·es mais les dialogues sont calamiteux de banalité, cherchant par exemple au début la punchline sans cesse et tombant à plat. Notons malgré tout un certain renouveau dans la prestance des personnages féminins (dont l’héroïne), bien éloignés des archétypes gnangnan et victimaires et le fait que l’histoire se déroule dans un couvent de femmes. Les hommes sont dépeints comme un peu concons et ça n’est pas plus mal.
Hélas, on pointera aussi quelques fautes de goût assez flagrantes, comme ces Roumains du fin fond de la Roumanie qui s’expriment en un anglais impeccable face à un francophone alors que le français était la deuxième langue du pays, et des transitions entre réalité et fantasme induit plutôt mal amenées (la double porte « deliveries », notamment).
Au niveau des décors, on notera un clin d’oeil, volontaire ou non, au Dracula de Coppola (notamment le chemin qui mène au monastère) et quelques vues intéressantes ponctuant une ambiance bien campée, ce qui est quand même primordial dans ce genre d’exercice.
Sans grande originalité donc (on n’est pas dans un film de Guillermo del Toro), reconnaissons à Corin Hardy un certain talent pour susciter un climat propre à cette histoire qui tient la route pour peu qu’on se laisse aller, avec un final assez bien foutu spoiler: malgré le passage obligé de la « non fin ». On est plus dans un film à se faire peur que dans un film qui fait peur.
Je pourrai dire à mes élèves que c’est beaucoup moins mauvais que ce que je n’imaginais.
La nonne est d'abord et avant tout un film gothique dans la droite ligne des productions de la Hammer des années 60. Ce film en a toute la magie et ressemble à un cauchemar qui ne veut pas prendre fin. Ici, c'est d'abord l'ambiance qui prime, avec une présence essentielle du décor qui tient les premiers rôles, baigné de brume et de ténèbres. La nonne est donc davantage une vision effrayante, horrifique, cauchemardesque, qu'un film d'horreur comme on en voit par pelletées entières sortir sure les écrans. Le réalisateur se sert d'un habile scénario pour nous offrir des images troubles et troublantes, gardant toujours à distance le réel pour nous maintenir en plein fantasme vibrant de terreur. La nonne est une réussite du film de genre, une très belle surprise.
Comme toute la série des conjuring ce film ne fait peur qu'aux personnes qui croient à ces inepties sur les démons le seul point positif ce film est excellent somnifère.