Un policier complètement à l’Ouest, il travaille au Texas, affecté dans ce service pour cette histoire absurde et une mise en scène qui rend son personnage bête, sel control easy man police mentality.....! Que de sensibilité au masculin.
Que de larmes jusqu’à l’émotion poussée au bout du jeu, pour sa maman RIP, une grande fan de Bruce Springsteen, ayant tous ces CD, assistée à ses concerts, le chanteur des travailleurs sociaux blue collar hungry heart.
Sa femme le quitte, leur enfant à partager, riez-bien rira le dernier, seule des deux côtés parentaux, dans cette tragédie comique qui donne un bonne claque au scénario portrait qui vacille, il n’est pas dépressif, le boulot qu’est le sens de la justice.
Continue à interpeller, à travailler avec des collègues qui connaissent leurs métiers, déprimé, maladroit, stressé, prompt, imprévisible, y’a rien qui se passe autour de lui, pas de colère sur impulsion, d’impuissance à signaler.
Surveillons-le, la bêtise n’est pas loin, l’arme et la matraque bâton, le cinéma indépendant Southwest, au sud de l’Etat du Texas, l’agent de police officer fantasque contrôle plus peur de rien, fragile et dérangeant.
Suspendu de ses fonctions pour faute grave, y’en a marre que constateront les coéquipiers de ce partenaire qui perd les boules, trop c’est trop, il prend des décisions sur le qui-vive, que de casseroles, évitant la descente aux enfers.
Une réalisation interprète scénariste composition interesting, policier moustachu, c’est familier, le prochain comique du cinéma américain, quoi de neuf à proposer docteur pour sa santé mentale ? Une feuille de soin prescription de médicaments.
Des calmants, du paracetamol de la Doliprane, ce sera tout pour ce soir, arrêt maladie, il va craquer, de la fièvre et des douleurs imaginatives, à laisser reposer chez cette fiction drame comédie style Don Quichotte de la manche texane.