AlloCiné
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Vu... et quelle claque.. une Florence foresti magnifique de talents et de justesse.. nous faisant passer des sourires aux larmeS... une réalisation intense et fine qui ne tombe jamais dans le pathos !! Un vrai bon moment de cinéma.. qui nous parle du réel tout en donner une belle leçon de vie et d espérance..
un film qui nous remplie d émotions et ne nous laisse pas indemne ...
A voir absolument ....
un film qui nous remplie d émotions et ne nous laisse pas indemne ...
A voir absolument ....
Malgres tous les efforts de florence Foresti pas mal dans un role et un sujet pas vraiment drole, difficile de croire a cette romance et aux autres personnages de ce film.
sur un sujet délicat et souvent employé sur les longs métrages
Florence Foresti tire son épingle du jeu.
quelques maladresses, des incohérences mais l'ensemble reste cohérent.
le point en plus c'est que les seconds rôles sont forts et superbement interprétés.
Florence Foresti tire son épingle du jeu.
quelques maladresses, des incohérences mais l'ensemble reste cohérent.
le point en plus c'est que les seconds rôles sont forts et superbement interprétés.
Une comédie romantique qui parle de la reconstruction après une grave maladie. Sujet intéressant certes mais le film se révèle trop téléphoné, manquant d’humour, malgré une Florence Foresti émouvante. Peut-être que le problème vient de Kassovitz, bien meilleur dans le bureau des légendes !
defleppard
Comédie qui ne décolle jamais, "comme un avion sans ailes", dit la chanson, c'est exactement ça.............2 étoiles.....!!!!!
[...]
Je n’aime pas le synopsis d'Allo Ciné. Je ne sais pas si c’est pour attirer le client mais il donne l’impression d’avoir un énième film sur la redécouverte de l’amour après un cancer. Ce n’est pas le cas!! Nous n’avons pas ici une bluette sentimentale où Matthieu Kassovitz va montrer la beauté de la vie à Florence Foresti!! Alors pour ceux qui auraient été refroidis par ce synopsis, s’il vous plaît, ne vous arrêtez pas à ça.
[...]
La subtilité du film est là: cette fois-ci on aborde l’après: comment se reconstruire? Comment s’ouvrir aux autres? Comment vivre avec la peur de la récidive? De fait, on comprend très vite la difficulté de Lucie de sourire à la vie, même si au départ on pouvait avoir la bêtise de penser « mais c’est bon, t’es guérie, détends-toi un peu ». D’ailleurs, elle va être confrontée à ce genre de remarque de ses proches et cela m’a vraiment marquée. Cet égoïsme que l’on peut reprocher aux gens malades, tout en comprenant l’impatience des gens qui les entourent depuis des années. [...]
Au niveau du jeu d’acteur, là je dis bravo. Je parlais plus haut de la difficulté pour un humoriste de passer du côté obscur du cinéma (le drame) et ici on a quand même l’humoriste française qui a le plus de succès et qui en fait des tonnes à chaque spectacle pour le plus grand plaisir de ses spectateurs. J’ai été bluffée par sa maîtrise des émotions. Le danger aurait été d’en faire trop, de pleurer à chaque scène, d’être dans le drame à 100% etc. mais ici, Florence Foresti nous livre une prestation toute en retenue, en finesse. Même les scènes où elle sourit (oui oui, elle y arrive quand même), elle ne rentre pas dans la peau de ses personnages de spectacle et elle est pleinement Lucie. J’avoue qu’au début du film, ses premières paroles m’ont quelque peu désarçonnée car en entendant sa voix, si caractéristique, on pense directement à la bonne blague derrière mais non. On oublie vite Florence pour apprendre à connaître Lucie. Je dis bravo, tout simplement, le défi est réussi. [...]
Enfin, notons la belle performance de Nicole Garcia. Si j’avais un a priori sur elle, elle a su me le faire oublier. Elle joue ici le rôle d’une femme que j’aimerais vraiment rencontrer. Une de celles qui aide les autre à se reconstruire, à s’affirmer, à prendre conscience de ce qu’elles sont. Ce qu’elle va apporter à Lucie (et du coup à nous spectateur) est inestimable. Petit bémol: cette façon de parler à la Mia Fraye (Allez les filles, come on. Bien, vous allez vous regardez et be kind please, voilà. What’s your name girl? ». Ouh la la mais non, à part provoquer le rire moqueur, l’utilisation du franglais n’a aucun intérêt!
[...]
En résumé, on n’a pas ici un film sur la relation déplorable mère-fille, on n’a pas une romance à l’eau de rose, on n’a pas un film sur la dépression post cancer ni sur le travail sur l’estime de soi et les difficultés des femmes (malades ou non) à accepter leur corps. On a un mélange d’un peu de tout ça, de manière plus que subtile et avec des acteurs absolument géniaux.
Note: 16/20
Je n’aime pas le synopsis d'Allo Ciné. Je ne sais pas si c’est pour attirer le client mais il donne l’impression d’avoir un énième film sur la redécouverte de l’amour après un cancer. Ce n’est pas le cas!! Nous n’avons pas ici une bluette sentimentale où Matthieu Kassovitz va montrer la beauté de la vie à Florence Foresti!! Alors pour ceux qui auraient été refroidis par ce synopsis, s’il vous plaît, ne vous arrêtez pas à ça.
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La subtilité du film est là: cette fois-ci on aborde l’après: comment se reconstruire? Comment s’ouvrir aux autres? Comment vivre avec la peur de la récidive? De fait, on comprend très vite la difficulté de Lucie de sourire à la vie, même si au départ on pouvait avoir la bêtise de penser « mais c’est bon, t’es guérie, détends-toi un peu ». D’ailleurs, elle va être confrontée à ce genre de remarque de ses proches et cela m’a vraiment marquée. Cet égoïsme que l’on peut reprocher aux gens malades, tout en comprenant l’impatience des gens qui les entourent depuis des années. [...]
Au niveau du jeu d’acteur, là je dis bravo. Je parlais plus haut de la difficulté pour un humoriste de passer du côté obscur du cinéma (le drame) et ici on a quand même l’humoriste française qui a le plus de succès et qui en fait des tonnes à chaque spectacle pour le plus grand plaisir de ses spectateurs. J’ai été bluffée par sa maîtrise des émotions. Le danger aurait été d’en faire trop, de pleurer à chaque scène, d’être dans le drame à 100% etc. mais ici, Florence Foresti nous livre une prestation toute en retenue, en finesse. Même les scènes où elle sourit (oui oui, elle y arrive quand même), elle ne rentre pas dans la peau de ses personnages de spectacle et elle est pleinement Lucie. J’avoue qu’au début du film, ses premières paroles m’ont quelque peu désarçonnée car en entendant sa voix, si caractéristique, on pense directement à la bonne blague derrière mais non. On oublie vite Florence pour apprendre à connaître Lucie. Je dis bravo, tout simplement, le défi est réussi. [...]
Enfin, notons la belle performance de Nicole Garcia. Si j’avais un a priori sur elle, elle a su me le faire oublier. Elle joue ici le rôle d’une femme que j’aimerais vraiment rencontrer. Une de celles qui aide les autre à se reconstruire, à s’affirmer, à prendre conscience de ce qu’elles sont. Ce qu’elle va apporter à Lucie (et du coup à nous spectateur) est inestimable. Petit bémol: cette façon de parler à la Mia Fraye (Allez les filles, come on. Bien, vous allez vous regardez et be kind please, voilà. What’s your name girl? ». Ouh la la mais non, à part provoquer le rire moqueur, l’utilisation du franglais n’a aucun intérêt!
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En résumé, on n’a pas ici un film sur la relation déplorable mère-fille, on n’a pas une romance à l’eau de rose, on n’a pas un film sur la dépression post cancer ni sur le travail sur l’estime de soi et les difficultés des femmes (malades ou non) à accepter leur corps. On a un mélange d’un peu de tout ça, de manière plus que subtile et avec des acteurs absolument géniaux.
Note: 16/20
Lucie est guèrie de son cancer du sein mais elle est mal dans sa peau, fatiguèe, un peu perdue, un peu seule aussi! Rèsoudre ses problèmes avec sa fèminitè, s'assumer devant tout le monde, profiter de la vie avec un mec, peuvent être une solution pour cette allergique au bonheur! Les intentions de Anne-Gaëlle Daval sont claires : faire un film sur la maladie et le corps d’une manière positive, raconter aussi et surtout le parcours d'une femme qui tente de se reconstruire malgrè la rècidive! Malheureusement le concept n'est pas nouveau et la cinèaste opte ici pour une veine comico-dramatique romantique qui ne convainc guère! Ça dègouline de bons sentiments, de clichès et l'ensemble (hormis le show final) ne dègage aucune èmotion en secrètant un certain ennui! Florence Foresti joue la carte du contre emploi et on n'y croit pas un instant! Pire son alchimie avec Mathieu Kassovitz tombe à l'eau! Le 1* est pour l'excellent Jonathan Cohen...
FaRem
Un joli premier film pour Anne-Gaëlle Daval qui en plus d'éviter certaines facilités traite un angle différent en parlant de l'après-maladie. Son histoire ne tombe jamais dans le pathos malgré le sujet et encore moins dans les clichés habituels quand il s'agit de la romance. Dans ce film, il y a un peu de tout donc certains aspects de cette histoire ne sont pas aboutis, mais cela permet d'aborder l'essentiel qui est l'acceptation de son corps et du regard des autres. C'est vraiment le point principal de ce film et l'on s'en rend compte si on fait attention au comportement de Lucie qui a un vrai blocage dont elle se libère à la fin lors d'une scène au symbole assez fort. Le film est porté par une étonnante Florence Foresti qui est également touchante dans ce rôle à contre-emploi. Il ne faut pas non plus oublier Mathieu Kassovitz, Nicole Garcia, Jonathan Cohen et certaines filles de la troupe qui apportent tous quelque chose de différent. "De plus belle" est un bon petit film au ton léger et grave qui est sobre et simple, mais aussi émouvant.
Chronique familiale, romance, drame sur la maladie, ça fait beaucoup de sujets lourds, de douleur, de dialogues où on nous martèle que la vie c'est dur, qu'on est mal aimé, tout le temps seul. Ça m'a paru indigeste de voir tout ça devant une caméra. Ce n'est pas tellement ce que j'ai envie de voir. Je ne sais pas si c'est de la pudeur. Mon tempérament m'inciterait à garder tout ça pour moi. Secret. Lucie, non seulement elle souffre de la maladie et des dégradations produites sur son corps mais aussi de la solitude et de ne pas avoir été assez aimée par sa mère. D'où son caractère désagréable, son refus de se laisser une chance d'être à nouveau heureuse, son pessimisme. C'est compliqué de la juger vu ce qu'elle connaît. C'est une sacrée épreuve. J'en suis conscient. Mais voilà, son couple avec Clovis sonne faux. Ses relations familiales sont tendues. Sa fille est en pleine crise d'adolescence. Ça manque d'humanité (à part la vendeuse de perruques/professeur de danse, la seule à amener un peu de gaieté bien que je n'ai pas compris sa manie de parler anglais une phrase sur deux) et c'est pour ça je n'ai pas de sympathie ni de compassion pour De plus belle et les personnages qui le composent. Je trouve que ce sont des thématiques suffisamment lourdes comme ça pour ne pas qu'on en rajoute encore une couche. Certaines femmes se sont sûrement retrouvées en elle et ça leur aura fait du bien. Si c'est le cas, eh bien, tant mieux.
WutheringHeights
Le film aborde le cancer et le rapport au corps avec une belle sensibilité. (...) Florence Foresti, étonnante, nous fait passer du rire aux larmes et prouve qu’elle est – avant tout – une actrice douée.
LA SUITE :
LA SUITE :
C’est un mélange de comédie romantique et de drame, en évitant les pièges du pathétique. Le sujet est touchant et traité avec délicatesse et de sobriété. Un peu trop cependant, il manque de la dynamique. La romance est molasse, rien n’accroche vraiment pour comprendre ce qui les attire, on glisse sur la surface des sentiments. Florence Foresti est à contre-emploi, elle fait des efforts, mais il ne suffit pas de ne pas sourire pour que ça fonctionne. Nicole Garcia en chef de troupe matinée d’une touche de Karl Lagerfeld fait sourire. La syntaxe du titre du film laisse dubitatif, il se termine toutefois sur une belle image d’espoir.
Film correct avec un personnage dont on comprend aisément le caractère méfiant. Il y a un peu d'humour, les acteurs jouent correctement, le sujet peut intéresser mais il me manque plus de profondeur dans le scénario. Normalement, on fait des films quand l'histoire est au-dessus, moins commune. Beaucoup de femmes, même d'hommes se reconnaîtront
3,2/5
3,2/5
Jorik V
Anne-Gaëlle Daval signe un premier film empli de délicatesse. C’est d’ailleurs ainsi qu’on aurait pu le nommer tant le regard porté sur les personnages est délicat. Il se dégage une infinie plénitude à la vision de « De plus belle », c’est un film qui procure une sensation de bien-être sans pour autant être un feel-good movie. La réalisatrice développe une vision empathique et pleine de douceur envers ses personnages, ce qui ne l’empêche pas d’être aiguisée. En choisissant de traiter du cancer tout en y injectant une romance, elle n’a pas choisi la facilité. Mais la pertinence de son écriture compilée à des dialogues et des situations qui sonnent profondément justes font le travail.
Certes, la partie romantique fonctionne moins bien que le reste. Si au final leur couple emporte l’adhésion sur la longueur, au début on a un peu de mal à croire à l’histoire qui débute entre Lucie (Florence Foresti) et Clovis (Mathieu Kassovitz). Leur début de relation apparaît mal écrit - ou grossièrement - et n’est pas crédible. Il faut en faire l’impasse sous peine de ne jamais pouvoir y accrocher. Pourtant, lui est tout à fait convaincant dans un rôle de charmeur dans lequel on ne l’attendait vraiment pas. Quant à Florence Foresti, elle signe là une performance bluffante. D’abord parce que ce n’est pas son registre habituel et que beaucoup de comiques se sont cassé les dents à vouloir tenter le registre dramatique, mais surtout parce qu’elle est même carrément excellente et n’en fait jamais trop. Même ces quelques mimiques, héritées de ses spectacles comiques, que l’on peut retrouver parfois au détour d’une scène servent le film et son léger aspect comique. Elle passe là son examen avec brio et jamais dans la prestation forcée.
Là où « De plus belle » est néanmoins le plus réussi est sans conteste la partie dramatique. Traiter du cancer du sein et du rapport de la femme avec son corps meurtri n’est pas chose aisée, surtout lorsqu’on choisit un film à la tonalité plutôt douce, voire joyeuse par moments. Daval s’en sort avec les honneurs, grâce à des situations pleines de bon sens et un traitement frontal et pudique à la fois. Elle s’en tire donc avec les honneurs tout comme elle parvient à s’échapper d’une mise en scène télévisuelle que ce genre de film adopte trop souvent. Ses images n’en oublient pas d’être soignées et agréables à l’œil. On aime également la galerie de seconds rôles qui constitue la famille de Lucie et nous procurent de jolis moments tour à tour drôles ou émouvants. Un premier film frais et charmant sur un sujet pas forcément simple.
Certes, la partie romantique fonctionne moins bien que le reste. Si au final leur couple emporte l’adhésion sur la longueur, au début on a un peu de mal à croire à l’histoire qui débute entre Lucie (Florence Foresti) et Clovis (Mathieu Kassovitz). Leur début de relation apparaît mal écrit - ou grossièrement - et n’est pas crédible. Il faut en faire l’impasse sous peine de ne jamais pouvoir y accrocher. Pourtant, lui est tout à fait convaincant dans un rôle de charmeur dans lequel on ne l’attendait vraiment pas. Quant à Florence Foresti, elle signe là une performance bluffante. D’abord parce que ce n’est pas son registre habituel et que beaucoup de comiques se sont cassé les dents à vouloir tenter le registre dramatique, mais surtout parce qu’elle est même carrément excellente et n’en fait jamais trop. Même ces quelques mimiques, héritées de ses spectacles comiques, que l’on peut retrouver parfois au détour d’une scène servent le film et son léger aspect comique. Elle passe là son examen avec brio et jamais dans la prestation forcée.
Là où « De plus belle » est néanmoins le plus réussi est sans conteste la partie dramatique. Traiter du cancer du sein et du rapport de la femme avec son corps meurtri n’est pas chose aisée, surtout lorsqu’on choisit un film à la tonalité plutôt douce, voire joyeuse par moments. Daval s’en sort avec les honneurs, grâce à des situations pleines de bon sens et un traitement frontal et pudique à la fois. Elle s’en tire donc avec les honneurs tout comme elle parvient à s’échapper d’une mise en scène télévisuelle que ce genre de film adopte trop souvent. Ses images n’en oublient pas d’être soignées et agréables à l’œil. On aime également la galerie de seconds rôles qui constitue la famille de Lucie et nous procurent de jolis moments tour à tour drôles ou émouvants. Un premier film frais et charmant sur un sujet pas forcément simple.
L'AlsacienParisien
"De plus belle" est un film qui prend des risques car il sort des sentiers battus ; que ce soit par son équipe artistique (la réalisatrice Anne-Gaëlle Daval est avant tout costumière et met en scène son premier film, on a l'habitude de voir Florence Foresti dans ses sketchs et loin de toute forme dramatique et Nicole Garcia est plus connue derrière la caméra que devant) que par son scénario qui relate d'une quête de féminité, d'une réappropriation de son identité suite à un cancer. Le fait d'aborder la phase de guérison plutôt que la maladie en elle-même donne un autre ton, plus léger. Mais tous ces éléments combinés n'assurent pas un résultat parfait car il reste de nombreuses approximations et d'éléments qui arrivent comme des cheveux sur la soupe, sans doute par un manque de fluidité dans la narration. En effet, l'un des défauts premier du film, c'est son manque d'audace face à une telle histoire : on en attend plus de la part de Florence Foresti qui reste dans une zone de jeu très confortable et on voit bien que la réalisatrice n'a pas voulu la brusquer face au drame de cette histoire. Il y a comme une bienséance volontaire, pour ne pas dire censure, dans des scènes qui auraient pu gagner en profondeur et en force. J'aurai aimé voir plus de sensibilité et de fragilité de la part de l'actrice. Mais bien entendu, la surprise de la voir dans un tel rôle est déjà là et elle se révèle très touchante dans certaines scènes mais pas dans la globalité malheureusement. Une justesse irrégulière qui se maintient grâce à ses partenaires de jeu qui lui tiennent la main et l'accompagnent : Matthieu Kassovitz est plutôt touchant en coureur de jupons et Jonathan Cohen apporte beaucoup de tendresse et de dérision, très souvent servis avec humour ! Par contre, on se demande ce que fait Nicole Garcia avec ses phrases en anglais alors qu'elle n'a aucun accent et que ses interlocuteurs ne le parlent pas... Mais heureusement, plus le film avance, plus on se laisse prendre et séduire par cette histoire malgré des ellipses mal gérées dans le scénario. Florence Foresti nous touche par sa pudeur d'actrice, par les relations qu'elle tisse avec les autres personnages, par son envie de retomber follement amoureuse. Et la scène finale montre tout de même son investissement dans ce film qui la sort de ses prestations pour lesquelles on la connait ! Approximatif dans l'ensemble, "De plus belle" prend tellement de risques qu'il s'empare d'un charme singulier, un film en quête d'une identité...
un film délicat tout en finesse traitant d'un sujet difficile.
Florence Foresti est épatante et pour le coup à un vrai rôle de cinéma où l'on voit qu'elle a bien travaillé sur l'émotion.
Rien à voir avec ses personnages de ses spectacles.
J'ai bien aimé
Florence Foresti est épatante et pour le coup à un vrai rôle de cinéma où l'on voit qu'elle a bien travaillé sur l'émotion.
Rien à voir avec ses personnages de ses spectacles.
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