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Votre avis sur Conjuring 3 : sous l'emprise du diable ?
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Une bonne intrigue à travers une nouvelle affaire d'esprits. Le couple Warren est toujours aussi convaincant.
Les effets spéciaux et les moments de peur sont bien présents.
Les effets spéciaux et les moments de peur sont bien présents.
Shephard69
Dernier volet de l'excellente trilogie "Conjuring", sans compter l'univers étendu qui, lui, s'avère nettement plus décevant, un film d'épouvante qui s'inscrit totalement dans les standards du studio New Line Cinema avec une atmosphère prégnante et angoissante agrémentée de jump-scares mais un ensemble qui a perdu en puissance narrative par rapport aux deux précédents opus à cause d'une mise en scène qui est devenue un peu trop prévisible et des personnages secondaires qui manquent cruellement de profondeur psychologique, tout juste effleurés dans leur présentation pour que l'on s'intéresse vraiment à leurs mésaventures à l'image du personnage pourtant central à l'intrigue incarné par Ruairi O'Connor. Chargé de références criantes au genre horrifique comme "L'exorciste", un long-métrage qui s'oriente de façon plutôt surprenante et agréable vers le polar ou le film noir en suivant le couple Warren mener une véritable enquête policière riche en rebondissements et en faux-semblants donnant aussi à l'ensemble un peu plus alambiqué qu'une classique possession démoniaque comme dans les deux premiers films. Une alchimie entre Patrick Wilson et Vera Farmiga qui est toujours aussi intéressante mais des seconds rôles un peu ternes et un scénario à tiroirs qui manque de cohésion avec un dénouement trop centré sur un axe. Pas mal mais loin de me convaincre pleinement, strictement divertissant.
Très déçu par cet épisode, peut être ont ils abusé de la franchise, que les effets de peur sont trop connus. Je n'ai pas eu peur. Le premier m'avait vraiment marqué. Celui là a oublier
Troisième film de la saga éponyme, référence du genre; ce film, si son univers est toujours aussi accrocheur et ses personnages toujours aussi adorables à voir évoluer, manque peut-être, comparé à ses prédécesseurs, de consistance.
Moins copieux en péripéties malgré une durée similaire, il n’en reste pas moins très satisfaisant à regarder pour les puristes de cette série de films; scénario tenant en haleine, horreurs visuels et subjectifs toujours aussi bien maîtrisés et efficaces, pour une nouvelle réussite, légèrement essoufflée mais aillant tout de même quelque chose d’intéressant à offrir.
Une chose à noter en revanche: le film repose sur une erreur d’inattention dans la première scène trop sidérant pour être crédible, et les films de personnes se sachant possédées mais n’en parlant pas, à la longue ça devient trop "déjà vu". Pourquoi ne pas s’inspirer du film "Verónica" qui dit tout de suite à tout le monde que quelque chose cloche au lieu de s’obstiner à écrire des personnages muets?
Moins copieux en péripéties malgré une durée similaire, il n’en reste pas moins très satisfaisant à regarder pour les puristes de cette série de films; scénario tenant en haleine, horreurs visuels et subjectifs toujours aussi bien maîtrisés et efficaces, pour une nouvelle réussite, légèrement essoufflée mais aillant tout de même quelque chose d’intéressant à offrir.
Une chose à noter en revanche: le film repose sur une erreur d’inattention dans la première scène trop sidérant pour être crédible, et les films de personnes se sachant possédées mais n’en parlant pas, à la longue ça devient trop "déjà vu". Pourquoi ne pas s’inspirer du film "Verónica" qui dit tout de suite à tout le monde que quelque chose cloche au lieu de s’obstiner à écrire des personnages muets?
Clémentine K.
Comme les deux premiers volets, j'ai adoré ce film. Une trilogie de vrais films d'horreur comme on n'en voit plus beaucoup. J'espère tout de même qu'il y aura une suite.
MediaShow
Ma critique vidéo sur YouTube : https://youtu.be/xXGSVvZ1Lgo
Côté scénario, ce volet repose une nouvelle fois sur une histoire vraie, celle du procès d'Arne Cheyenne Johnson qui est connu pour être la première affaire criminelle américaine durant laquelle l’accusé a invoqué la possession démoniaque pour sa défense. Contrairement aux précédents volets, Michael Chaves change le format du scénario et, à défaut de proposer un pur film d’horreur autour d’une maison hantée, il opte plutôt pour un thriller à mi-chemin entre l’horrifique et le policier. Face à cette nouvelle structure narrative, un point négatif ressort : la présence de longueurs. En effet, hormis la scène d’exorcisme en guise d’introduction, le film peine à réellement démarrer avec un rythme incertain. Fort heureusement, dès lors où l’enquête des Warren débute, le scénario monte progressivement en puissance avec un twist renversant et un dénouement effrayant. Ce choix de scénario apporte également un vent de fraîcheur à la franchise en sortant des sentiers battus et nous proposer une histoire autour de la sorcellerie, une nouvelle thématique. Enfin, ce troisième volet en profite pour développer le couple Warren, afin d’en apprendre davantage sur leur passé. Il reste tout de même le moins bon de la trilogie.
Côté mise en scène, Michael Chaves reprend les codes visuels et sonores de la franchise et n’apporte rien aucune réelle nouveauté. Pour autant, les effets spéciaux sont très bons avec une certaine inspiration par le film horrifique « L’exorciste ». Si le film se révèle moins effrayant que ces prédécesseurs, les décors restent soignés. Enfin, Joseph Bishara se charge une nouvelle fois de la bande originale que j’aime beaucoup, tout particulièrement le morceau « Family Theme ».
Côté casting, c’est un véritable plaisir de retrouver le duo Patrick Wilson et Vera Farmiga. Les deux acteurs sont vraiment attachants, avec de belles interprétations, et l’alchimie est toujours aussi présente. Les seconds rôles sont également convaincants : Ruairi O’Connor, Sarah Catherine Hook ou encore le jeune Hilliard, récemment découvert dans l’excellente série « The Haunting of Hill House ».
Côté scénario, ce volet repose une nouvelle fois sur une histoire vraie, celle du procès d'Arne Cheyenne Johnson qui est connu pour être la première affaire criminelle américaine durant laquelle l’accusé a invoqué la possession démoniaque pour sa défense. Contrairement aux précédents volets, Michael Chaves change le format du scénario et, à défaut de proposer un pur film d’horreur autour d’une maison hantée, il opte plutôt pour un thriller à mi-chemin entre l’horrifique et le policier. Face à cette nouvelle structure narrative, un point négatif ressort : la présence de longueurs. En effet, hormis la scène d’exorcisme en guise d’introduction, le film peine à réellement démarrer avec un rythme incertain. Fort heureusement, dès lors où l’enquête des Warren débute, le scénario monte progressivement en puissance avec un twist renversant et un dénouement effrayant. Ce choix de scénario apporte également un vent de fraîcheur à la franchise en sortant des sentiers battus et nous proposer une histoire autour de la sorcellerie, une nouvelle thématique. Enfin, ce troisième volet en profite pour développer le couple Warren, afin d’en apprendre davantage sur leur passé. Il reste tout de même le moins bon de la trilogie.
Côté mise en scène, Michael Chaves reprend les codes visuels et sonores de la franchise et n’apporte rien aucune réelle nouveauté. Pour autant, les effets spéciaux sont très bons avec une certaine inspiration par le film horrifique « L’exorciste ». Si le film se révèle moins effrayant que ces prédécesseurs, les décors restent soignés. Enfin, Joseph Bishara se charge une nouvelle fois de la bande originale que j’aime beaucoup, tout particulièrement le morceau « Family Theme ».
Côté casting, c’est un véritable plaisir de retrouver le duo Patrick Wilson et Vera Farmiga. Les deux acteurs sont vraiment attachants, avec de belles interprétations, et l’alchimie est toujours aussi présente. Les seconds rôles sont également convaincants : Ruairi O’Connor, Sarah Catherine Hook ou encore le jeune Hilliard, récemment découvert dans l’excellente série « The Haunting of Hill House ».
Franchement déçu de ce troisième volet. C'est la première fois que je ressens des longueurs dans un des films Conjuring. On en a discuté avec les personnes qui ont vu le film avec moi et nous sommes d'accord sur le fait que le problème vient principalement de la réalisation.
Trop de plans dans le noir complet, dans le but de faire peur, qui tombent très souvent à plat. Photographie pas terrible et peut-être un peu trop axé dans l'enquête plus que dans les éléments flippants de l'histoire.
Trop souvent j'ai crû "Ah ça y est là ça va démarrer" pour au final être déçu.
Bref, le 1 et le 2 restent mes films d'horreur préférés mais ce dernier volet est à oublier!
Trop de plans dans le noir complet, dans le but de faire peur, qui tombent très souvent à plat. Photographie pas terrible et peut-être un peu trop axé dans l'enquête plus que dans les éléments flippants de l'histoire.
Trop souvent j'ai crû "Ah ça y est là ça va démarrer" pour au final être déçu.
Bref, le 1 et le 2 restent mes films d'horreur préférés mais ce dernier volet est à oublier!
Le mal que font les hommes
La troisième enquête du célèbre couple d’enquêteurs paranormaux, Ed et Lorraine Warren, les amènent à enquêter sur le non moins marquant "Procès d'Arne Cheyenne Johnson", également connu sous le nom de l'affaire "Devil Made Me Do It", qui est le premier procès connu aux États-Unis dans lequel la défense a cherché à prouver son innocence en se fondant sur l'allégation de possession démoniaque et le déni de responsabilité personnelle.
Un œil humain typique répondra à des longueurs d'onde d'environ 380 à environ 750 nanomètres. En termes de fréquence, cela correspond à une bande voisine de 400 à 790 térahertz. Ces limites ne sont pas clairement définies et peuvent varier d'un individu à l'autre. En dehors de ces frontières existe donc tout ce que nous ne pouvons pas voir directement. Et la théorie quantique prouve que la conscience se déplace vers un autre univers après la mort dans ce monde.
Aussi, dans toutes les croyances humaines, qu'elles soient politiques, religieuses ou sociales, inculquées par des institutions qui sont le fruit de l'imagination des hommes, il ne s'agit pas d'appartenir à une quelconque étiquette, mais d'être intelligent, respectueux et sage. Afin d’ainsi pouvoir voir au-delà des ombres et des mensonges et faire face au mal que font les hommes, d'où qu'ils viennent et quelles que soient les croyances qui les affectent.
Car, si tout culte aliénant dont le but est d'amasser un maximum de gains et de pouvoir au détriment de ce qui nous est bénéfique, dans le plus grand mépris des Enseignements Philosophiques est méprisable, la spiritualité est une dimension qui réside dans et autour de chaque être.
En tant que personne spirituelle, je ressens profondément, et autant que cette incarnation humaine me le permet, les liens qui nous unissent à tout ce qui existe entre l'infiniment petit et l'infiniment grand. A mon humble avis, c'est précisément là qu'il faut trouver la vérité ou les vérités, qui sont la somme des raisons inhérentes à toutes les théories scientifiques et spirituelles.
Techniquement, ce troisième épisode de la franchise Conjuring, et huitième volet de l'univers éponyme, est bien écrit, réalisé et joué. Il sait créer l'ambiance et la tension propices à nous envelopper d'un épais mystère tout en nous réservant de belles frayeurs. Avec des notes romantiques qui adoucissent l'emprise des ténèbres.
3.6/5
La troisième enquête du célèbre couple d’enquêteurs paranormaux, Ed et Lorraine Warren, les amènent à enquêter sur le non moins marquant "Procès d'Arne Cheyenne Johnson", également connu sous le nom de l'affaire "Devil Made Me Do It", qui est le premier procès connu aux États-Unis dans lequel la défense a cherché à prouver son innocence en se fondant sur l'allégation de possession démoniaque et le déni de responsabilité personnelle.
Un œil humain typique répondra à des longueurs d'onde d'environ 380 à environ 750 nanomètres. En termes de fréquence, cela correspond à une bande voisine de 400 à 790 térahertz. Ces limites ne sont pas clairement définies et peuvent varier d'un individu à l'autre. En dehors de ces frontières existe donc tout ce que nous ne pouvons pas voir directement. Et la théorie quantique prouve que la conscience se déplace vers un autre univers après la mort dans ce monde.
Aussi, dans toutes les croyances humaines, qu'elles soient politiques, religieuses ou sociales, inculquées par des institutions qui sont le fruit de l'imagination des hommes, il ne s'agit pas d'appartenir à une quelconque étiquette, mais d'être intelligent, respectueux et sage. Afin d’ainsi pouvoir voir au-delà des ombres et des mensonges et faire face au mal que font les hommes, d'où qu'ils viennent et quelles que soient les croyances qui les affectent.
Car, si tout culte aliénant dont le but est d'amasser un maximum de gains et de pouvoir au détriment de ce qui nous est bénéfique, dans le plus grand mépris des Enseignements Philosophiques est méprisable, la spiritualité est une dimension qui réside dans et autour de chaque être.
En tant que personne spirituelle, je ressens profondément, et autant que cette incarnation humaine me le permet, les liens qui nous unissent à tout ce qui existe entre l'infiniment petit et l'infiniment grand. A mon humble avis, c'est précisément là qu'il faut trouver la vérité ou les vérités, qui sont la somme des raisons inhérentes à toutes les théories scientifiques et spirituelles.
Techniquement, ce troisième épisode de la franchise Conjuring, et huitième volet de l'univers éponyme, est bien écrit, réalisé et joué. Il sait créer l'ambiance et la tension propices à nous envelopper d'un épais mystère tout en nous réservant de belles frayeurs. Avec des notes romantiques qui adoucissent l'emprise des ténèbres.
3.6/5
Les 2 experts en démonologie s'éclatent.
OK c'est une histoire vraie avec un procès particulier : l'accusé se défend d'avoir été sous emprise satanique.
La scène "délire" dans le chenil sur la musique de BLONDIE est intéressante.
La scène avec l'esprit dans le matelas d'eau est originale.
Mais les scènes dans les sous-sols de la maison sont ridicules. Il frappe tous azimuts avec son gros marteau et tout se révèle après avoir coupé en deux un autel où était emprisonné un esprit.
Trop exagéré!
OK c'est une histoire vraie avec un procès particulier : l'accusé se défend d'avoir été sous emprise satanique.
La scène "délire" dans le chenil sur la musique de BLONDIE est intéressante.
La scène avec l'esprit dans le matelas d'eau est originale.
Mais les scènes dans les sous-sols de la maison sont ridicules. Il frappe tous azimuts avec son gros marteau et tout se révèle après avoir coupé en deux un autel où était emprisonné un esprit.
Trop exagéré!
Les Conjuring sont toujours aussi excellent bien effrayant. Pour moi Conjuring c'est les meilleurs films d'horreur que j'ai vu.
Jorik V
L’univers partagé créé par la Warner depuis le premier volet de « The Conjuring » est en dents de scie. Si cette saga principale, basée sur les enquêtes des époux Warren, est très qualitative dans le genre horrifique, on peut même dire qu’elle est devenue le porte-étendard des films de possession des dernières années, il n’en est pas de même pour les films dérivés tous aussi mauvais les uns que les autres (« La Nonne », les « Annabelle », …). Et quand on voit que James Wan a laissé sa place de metteur en scène à Michael Chaves, réalisateur de l’un des pires films de cet univers (« La malédiction de la Dame blanche ») on s’inquiétait de la qualité de ce troisième opus. Fort heureusement, il n’en est rien. Et cet épisode, s’il n’atteint pas la perfection du premier, égale sans souci le second plutôt bon également.
Chaves s’approprie les effets de son prédécesseur, sans innover certes, mais avec brio. La scène d’ouverture est tétanisante et les frissons qu’elle procure sont du meilleur effet. On a droit à des visions assez inédites et mémorables (on pousse la torsion des corps à son paroxysme) Pareil pour le final tout aussi réussi que pour les deux autres volets, entre atmosphère baroque et sombre dans les souterrains et clin d’œil au magistral « Stigmata » sorti il y a vingt ans dans la prison. Le fait d’insérer dans cette enquête - encore une fois inspirée d’une histoire vraie - le satanisme et les sectes qui y sont rattachées est une valeur ajoutée très intéressante. La direction artistique est toujours de qualité entre la reconstitution des eighties et des images savamment choisies tout en nous gratifiant de plans bien trouvés. Les jump scares poussifs sont évités et il est vrai que si ce n’est pas le film de peur du siècle, il fait gentiment son office et on ne s’ennuie pas un seul instant.
On aime également le fait qu’un flashback reconstitue la rencontre des Warren. Il dénote du reste mais nous conquiert en apportant une dose d’humanité supplémentaire à ce couple. On en voudrait même plus tant on finit par s’attacher à ces enquêteurs de l’étrange, ancêtres des Mulder et Scully des années 90. Après, il faut avouer que si l’histoire de fond et l’intrigue mise en branle pour l’occasion sont tout à fait honorables, « The Conjuring 3 » n’est pas non plus un sommet du genre. Il y a forcément un peu de déjà-vu et rien d’extraordinaire au niveau de l’horreur et des effets qui vont avec. Mais, sur près de deux heures, le train fantôme proposé ici contient assez de frissons, de tension et d’épouvante pour qu’on en sorte satisfait et on ne dira pas non à un quatrième volet.
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Chaves s’approprie les effets de son prédécesseur, sans innover certes, mais avec brio. La scène d’ouverture est tétanisante et les frissons qu’elle procure sont du meilleur effet. On a droit à des visions assez inédites et mémorables (on pousse la torsion des corps à son paroxysme) Pareil pour le final tout aussi réussi que pour les deux autres volets, entre atmosphère baroque et sombre dans les souterrains et clin d’œil au magistral « Stigmata » sorti il y a vingt ans dans la prison. Le fait d’insérer dans cette enquête - encore une fois inspirée d’une histoire vraie - le satanisme et les sectes qui y sont rattachées est une valeur ajoutée très intéressante. La direction artistique est toujours de qualité entre la reconstitution des eighties et des images savamment choisies tout en nous gratifiant de plans bien trouvés. Les jump scares poussifs sont évités et il est vrai que si ce n’est pas le film de peur du siècle, il fait gentiment son office et on ne s’ennuie pas un seul instant.
On aime également le fait qu’un flashback reconstitue la rencontre des Warren. Il dénote du reste mais nous conquiert en apportant une dose d’humanité supplémentaire à ce couple. On en voudrait même plus tant on finit par s’attacher à ces enquêteurs de l’étrange, ancêtres des Mulder et Scully des années 90. Après, il faut avouer que si l’histoire de fond et l’intrigue mise en branle pour l’occasion sont tout à fait honorables, « The Conjuring 3 » n’est pas non plus un sommet du genre. Il y a forcément un peu de déjà-vu et rien d’extraordinaire au niveau de l’horreur et des effets qui vont avec. Mais, sur près de deux heures, le train fantôme proposé ici contient assez de frissons, de tension et d’épouvante pour qu’on en sorte satisfait et on ne dira pas non à un quatrième volet.
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Benito G
Évidemment l originalité de la saga principale qui se veut au dessus des différents spin off ou autre qui en ont decoulé, n est plus de mise. Le pari est donc plus dur et le duo ne pouvait qu être présent... Bonne idée mais qui tire le film un peu plus dans un thriller horrifique, mais pour qui aura vu la BA, risque comme souvent d être peut être déçu.
Débuter le film par un exorcisme n a rien de nouveau mais nous laisse imaginer que l on va être fasse a du lourd... Mais ce n' était peut être pas l idée la plus bonne ou du moins en montrer moins aux spectateurs auraient pu être plus judicieux. Mais au moins, le réal lance le sujet d entrer de jeu... Mais pour le reste, on sent bien là touche Conjuring, mais on aurait aimé que cela se démarque un peu... Amener plus ou moins habillement l ensemble de l horreur a une touche un peu plus thriller. En laissera sans doute sur leur faim. Sans pour autant, être en deçà des soins off, Annabelle et compagnie.... Mais il faut se rappeler qu il s agit du 3eme opus... Donc pour un 3eme, globalement le film ne se perde pas dans de longueurs interminable malgré près de 2h. Le titre pourrait résumer l histoire... Avec toutefois, notons le ; une petite touche d amour que les précédents opus ni tenait pas vraiment compte... Donc tenter de rafraîchir la saga avec une thriller / enquête policière ; parallèlement au diable... Sera t il vraiment ce que cherche le public et en sera t il convaincu? On est tout de même loin d un opus totalement ennuyeux... Mais ne pas s'attendre à certains jumpscares des précèdents dont certains s en rappelle encore. Après il arrive a garder le côté épouvante avec divers péripéties sans vouloir spoilers. Et cet opus possède un véritable angle d'approche, ou il fait un effort conséquent pour ne pas se répéter. Qui sera a la hauteur pour certains et moins pour d autres.
S'il tente d'autres approches de la démonologie (malédiction, Sabbath,...) le film ne parvient pas à sortir d'un genre hyper codifié et fortement utilisé par les films de ses dernières années et cela sera le cas, peut importe le réalisateur etc.... Bref un opus qui se respecte dans la lignée des deux précédents qui peut clôturer la saga par rapport a Conjuring ou les attentes sont bien plus forte que pour les réalisations qui les entourent.... Mais globalement, ce fut une bonne surprise, de préférence a apprécier en salle évidemment.
Débuter le film par un exorcisme n a rien de nouveau mais nous laisse imaginer que l on va être fasse a du lourd... Mais ce n' était peut être pas l idée la plus bonne ou du moins en montrer moins aux spectateurs auraient pu être plus judicieux. Mais au moins, le réal lance le sujet d entrer de jeu... Mais pour le reste, on sent bien là touche Conjuring, mais on aurait aimé que cela se démarque un peu... Amener plus ou moins habillement l ensemble de l horreur a une touche un peu plus thriller. En laissera sans doute sur leur faim. Sans pour autant, être en deçà des soins off, Annabelle et compagnie.... Mais il faut se rappeler qu il s agit du 3eme opus... Donc pour un 3eme, globalement le film ne se perde pas dans de longueurs interminable malgré près de 2h. Le titre pourrait résumer l histoire... Avec toutefois, notons le ; une petite touche d amour que les précédents opus ni tenait pas vraiment compte... Donc tenter de rafraîchir la saga avec une thriller / enquête policière ; parallèlement au diable... Sera t il vraiment ce que cherche le public et en sera t il convaincu? On est tout de même loin d un opus totalement ennuyeux... Mais ne pas s'attendre à certains jumpscares des précèdents dont certains s en rappelle encore. Après il arrive a garder le côté épouvante avec divers péripéties sans vouloir spoilers. Et cet opus possède un véritable angle d'approche, ou il fait un effort conséquent pour ne pas se répéter. Qui sera a la hauteur pour certains et moins pour d autres.
S'il tente d'autres approches de la démonologie (malédiction, Sabbath,...) le film ne parvient pas à sortir d'un genre hyper codifié et fortement utilisé par les films de ses dernières années et cela sera le cas, peut importe le réalisateur etc.... Bref un opus qui se respecte dans la lignée des deux précédents qui peut clôturer la saga par rapport a Conjuring ou les attentes sont bien plus forte que pour les réalisations qui les entourent.... Mais globalement, ce fut une bonne surprise, de préférence a apprécier en salle évidemment.
franchement bien nul ce 3eme volet, aucun moment angoissant ou qui fait peur. il se passe pas grand chose
C est encore une fois un 3 raté, je pense qu'il y avait bien mieux à faire avec le scénario et surtout pour moi le climax du film qui tombe totalement à plat, scénario pas du tout à la hauteur, des enjeux inexistants, l'implication des personnages auxquels on ne s'attache à aucuns moment, il y avait une continuité qu'on retrouve dans l'univers sur pratiquement tout les films de la franchise qui a totalement disparu avec un "méchant" pour ne pas spoiler qui n'a rien à faire dans un conjuring. Un gros manque de rythme et surtout d'ambitions dans ce troisième volet à mettre à la poubelle malheureusement.
Le film d'horreur le plus nul que j'ai jamais regardé, je conseille de ne pas le voire c'est trop trop mauvais il y'a meme pas une scène qui m'a vraiment fait peur
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