Note moyenne
2,5
15 titres de presse
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20 Minutes
Michael Chaves, le réalisateur de « La Malédiction de la dame blanche » prend un malin plaisir à s’inspirer d’un fait divers pour faire frissonner.
Le Parisien
« Sous l’Emprise du Diable » a été confié à Michael Chaves, qui avait déjà réalisé « La Malédiction de la Dame blanche » (2019), situé dans le même univers. Non content de dépoussiérer sérieusement la franchise, il livre carrément le meilleur opus des trois « Conjuring ».
Mad Movies
Contre toute attente, Michael Chaves, auteur de l'insipide La Malédiction de la Dame Blanche, reprend le flambeau avec une certaine habileté, en s'appuyant sur un scénario qui renouvelle les données de l'univers Conjuring.
Filmsactu
Reste une série B efficace, emmenée par le duo Vera Farmiga/Patrick WIlson, mais qui manque sincèrement de panache.
Le Figaro
On n'a pas le temps d'analyser les ficelles souvent grossières du scénario qu'un énième cri retentit. Avec cette surenchère, il aurait été difficile que le nouvel opus de la franchise américaine inspirée des chasseurs de fantôme Ed et Lorraine Warren manque sa cible.
Les Fiches du Cinéma
Pas très futé, foutraque et foncièrement bigot - et pourtant, un certain charme subsiste.
CinemaTeaser
Si "Conjuring" avait jusque-là réussi à créer et imposer de nouvelles images de cinéma d’horreur aussi fantaisistes soient-elles, voir ce troisième opus recycler le cliché de la sorcière maigrichonne, toute de noir vêtue, les cheveux tirés dans un chignon haut, entourée de pentacles, nous désole.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ce huitième opus de la franchise (les séries Conjuring et Annabelle) tirée de l’histoire des Warren, ne ménage pas ses gros effets horrifiques, ses rebondissements, sans vraiment faire peur – il y est question de possession, et non de maison hantée.
Ecran Large
Conjuring 3 donne enfin l'occasion à la saga de raconter quelque chose... avant de sombrer dans le jumpscare facile et le mercantilisme de bas étage. La déception n'en est que plus cuisante.
L'Ecran Fantastique
Ce changement d'axe rend le métrage, échappant aux traditionnels jump scares, moins effrayant que les deux qui l'ont précédé, même si certaines séquences frappent.
Le Dauphiné Libéré
Ce huitième opus de la franchise (les séries Conjuring et Annabelle) tirée de l’histoire des Warren, ne ménage pas ses gros effets horrifiques, ses rebondissements, sans vraiment faire peur – il y est question de possession, et non de maison hantée.
Le Journal du Dimanche
On retrouve la mise en scène élégante de la saga qui distille subtilement la peur avec un scénario malin à l’appui.
Le Monde
Ces bondieuseries laissent pensif sur l'évolution d'une certaine terreur cinématographique.
Première
Suivant la volonté de Wan, Sous l’emprise du diable tient finalement tout autant voire plus du film d’enquête policière que du film d’horreur.
Télérama
Troisième enquête occulte des époux Warren, exorcistes free lance rencontrés dans les deux premiers Conjuring, ce film d’horreur « inspiré d’une histoire vraie » (plaît-il ?) empile les frayeurs molles et les effets prévisibles — à l’exception d’un matelas à eau hanté, assez rigolo.