AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,5
2088 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Manhattan Lockdown ?
5
12 critiques
4
44 critiques
3
75 critiques
2
36 critiques
1
10 critiques
0
1 critique
Trier par :
Filtrer par :
- Toutes les notes
-
-
-
-
-
-
PLR
Scénario assez typique et donc classique du genre, surtout quand il s’agit de cinéma américain. Des fusillades, des courses poursuite, quelque chose qui ne tourne pas rond parmi les forces de police... le spectateur se laisse guider pour un final sans surprise. L'originalité réside dans le bouclage (de nuit, c'est plus simple !) de Manhattan mais, au-delà du titre, ce n'est pas vraiment ça qui alimente le récit. C'est seulement un prétexte. Enfin, un titre !
Shawn777
La première semaine de l'année n'est jamais porteuse de très bons films au cinéma, à cause notamment des fêtes de fin d'année, les producteurs de films à gros budget ne prennent pas de risques. Et l'année 2020 ne fait pas exception à la règle et parmi tous les films sortis cette semaine, j'avoue que celui-ci, réalisé par Brian Kirk, ne me paraissait pas trop mal. Mais maintenant, je comprends pourquoi il fait parti de ces films dont personne ne parle. C'est tout simplement l'histoire d'un flic qui court après deux voleurs d'héroïne dans Manhattan. Voilà bon, j'avoue que le synopsis n'est pas très prometteur mais l'idée d'aller voir un film d'action devant lequel on ne réfléchit pas me plaisait particulièrement. Malheureusement, j'ai trouvé le film très long et pas vraiment intéressant. En effet, c'est le genre de film qui passe inaperçu car on a déjà vu ce schéma narratif un nombre incalculable de fois, j'avais même l'impression de me retrouver quelques fois devant un téléfilm policier tout à fait lambda. L'introduction balance directement le ton, nous sommes devant quelque chose de très américain qui met en scène un personnage pseudo torturé, le genre de flic très bon qui prend plein de blâmes à cause de son côté trop bourrin (coucou Riggs). Bon voilà, le portrait du héros est dressé, le reste du film n'insiste pas trop sur son côté psychologique, il est comme ça parce-qu'il a été marqué par la mort de son père, lui-même flic, blablabla. Niveau originalité, on aura vu mieux. En ce qui concerne les méchants, bon c'est peu la même chose, c'est-à-dire que le film va beaucoup trop dans la facilité narrative, un s'en fout de tuer des gens, l'autre est trop sensible (coucou Salver et Utha). En dehors des personnages, ce n'est pas mieux, la trame est beaucoup trop prévisible, faute d'un scénario réellement travaillé, et tout est téléphoné, tout simplement. De plus, l'action ne sauve même pas le reste du film, comme pourrait le faire un épisode de la franchise "Fast and Furious" par exemple, puisque le film privilégie les dialogues longs et inutiles. En ce qui concerne les acteurs, nous avons, entres autres, Chadwick Boseman, Stephan James, J.K. Simmons et Sienna Miller qui jouent plutôt bien. "Manhattan Lockdown" est donc un film policier plus que classique qui ne marque pas mais qui peut faire passer le temps à un spectateur pas trop exigent.
Une poursuite bruyante d un délinquant noir par un policier noir la nuit avec un scénario très très simplet
Vu Manhattan Lockdown film sans grande originalité j'ai trouvé que l'acteur principal et les seconds rôles surjouer de plus l'histoire est brouillonne on comprend pas tout de ces flics corrompus film malheureusement oubliable ⭐⭐
Polar urbain plutôt bien mené, avec ce qu'il faut de fusillades et de rebondissements. Inutile de chercher un semblant de profondeur (dans le même style de film Bad times ou The town sont un cran nettement au dessus), mais le film se laisse voir sans aucun ennui, Chadwick Boseman (qui interprétait génialement James Brown, même si le film était très mauvais) impose sa stature. On pourrait presque parler de bonne surprise. En tout cas les amateurs de thrillers urbains où on ne rigole pas peuvent s'y risquer.
Un polar musclé sur une traque nocturne à Manhattan, enchaînant courses-poursuites et scènes d'action à un rythme soutenu, malheureusement desservi par une intrigue bien pipée.
Un scénario conventionnel qui se déroule sur une nuit au coeur de Manhattan. De la 1ère fusillade à la chasse à l'homme, jusqu'à la découverte d'une intrigue cachée, l'ensemble, plutôt rythmé, s'avère prenant. Le charismatique C. Boseman en flic intègre et honnête est le principal atout de ce thriller qui assure le strict minimum et au dénouement décevant.
Rattrapage Manhattan Lockdown. Série B policière classique, qui n'offre rien de bien nouveau dans le paysage du genre. Le film amoncèle les poncifs du genre. Reste Chadwick Boseman visiblement fatigué et Taylor Kitsch méconnaissable.
https://www.cineserie.com/news/cinema/manhattan-lockdown-le-beau-geste-de-chadwick-boseman-envers-sienna-miller-5526326/
https://www.cineserie.com/news/cinema/manhattan-lockdown-le-beau-geste-de-chadwick-boseman-envers-sienna-miller-5526326/
Roub E.
C’est quasiment sans aucune surprise, Manhattan Lockdown est un film d’action nerveux qui donne souvent l’impression d’avoir été déjà fait mais qui atteint sa mission de divertissement en grande partie grâce au charisme de Chadwick Boseman qui semble tenir le film sur ses épaules. Dommage que les autres acteurs soient sous exploités avec des rôles trop caricaturaux, mais bon on est pas la pour une étude psychologique mais pour se détendre avec de l’action simpliste et à ce niveau ça le fait.
Cinememories
Le scénario qui tombe à pic est plus proche du scénario qui tombe à plat. Brian Kirk, issu des séries, arpente ce long-métrage avec une idée, celle de révéler qu’un uniforme n’est pas tout blanc ou tout noir. Autant dire qu’à première vue, ce n’est pas dans l’originalité qu’on va puiser de l’intérêt pour le film, mais bien dans le charisme de ses héros. Et une fois encore, le jeu n’est que suffisant, malgré une série B qui se dessine et qui aurait pu se distinguer de ses concurrents. Rien ne brille, la mécanique est presque automatique, si bien que les fils blancs se multiplient et ne laisse même pas une once de suspense nous atteindre.
Andre Davis est un inspecteur qui n’a pas de quoi rendre jaloux un certain Harry Callahan, car se définit d’entrée par un traumatisme émotionnel. Chadwick Boseman le campe pourtant avec un certain engouement et s’applique à la tâche. Malheureusement, nous sommes loin de sa prestation dans « Get On Up » ou « Message from the King ». Après s’être enterré dans les coulisses de Marvel, il nous revient avec un costume plus complexe à étudier, mais pour ce qu’on en fait, il y aura peu à discuter. Ce que l’on souhaite mettre en relief, c’est pourtant une traque sur une île connectée par 21 ponts, mais jamais on ne joue sur ce moyen de pression ou cette tension. On peut donc résumer cela à une partie de cache-cache dans des quartiers de nouveaux riches, avec option métro afin de confirmer l’atmosphère New-yorkaise. Le film ne cherche ni à rentrer dans l’actionner movie et c’est sans doute ce qui le trahit, car on nous ampute d’un certain intérêt dans une course-poursuite qui ne prend pas réellement le temps de se poser.
On accélère toujours plus vite, on évite les temps morts mais on ne retient que des raccourcis maladroits. En insistant sur l’efficacité, le film perd peu à peu en substances et tout se déconstruit à vue d’œil. Même après avoir saisi l’ampleur du sujet, à savoir dénoncer les agents de l’ordre qui ne justifient plus l’usage de leurs armes et de leur pouvoir, il reste toute une intrigue à développer et la traque vient à peine de démarrer. Ce portrait de l’Amérique avait pourtant de quoi plaire, même dans une démarche testostéronée, mais le réalisateur échoue à rendre le divertissement plus que convenable. Le visionnage en devient stérile et la plupart pourrait saturer de cette recette, maintes fois recyclée et maintes fois malmenée. Et malgré le faux-rythme soutenu, la narration assomme.
En somme, « Manhattan Lockdown » (21 Bridges) peine à convaincre et se cache derrière son classicisme pour mieux jouer sur la sensibilité des spectateurs. Mais il n’y a rien d’aussi implicite, dans un film qui catalogue trop rapidement ses personnages secondaires, comme une Sienna Miller en retrait et une J.K. Simmons presque farceur. Le tout sonne comme stérile et les rebondissements n’ont plus besoin de compte à rebours pour s’annoncer. L’image que l’on peut avoir de la justice est donc fiévreuse, de même que le concept qui se limite à son titre et dont on ne tire pas avantage, pour raconter une mise en scène qui résume plus les situations de crise qu’elle ne les suggère.
Andre Davis est un inspecteur qui n’a pas de quoi rendre jaloux un certain Harry Callahan, car se définit d’entrée par un traumatisme émotionnel. Chadwick Boseman le campe pourtant avec un certain engouement et s’applique à la tâche. Malheureusement, nous sommes loin de sa prestation dans « Get On Up » ou « Message from the King ». Après s’être enterré dans les coulisses de Marvel, il nous revient avec un costume plus complexe à étudier, mais pour ce qu’on en fait, il y aura peu à discuter. Ce que l’on souhaite mettre en relief, c’est pourtant une traque sur une île connectée par 21 ponts, mais jamais on ne joue sur ce moyen de pression ou cette tension. On peut donc résumer cela à une partie de cache-cache dans des quartiers de nouveaux riches, avec option métro afin de confirmer l’atmosphère New-yorkaise. Le film ne cherche ni à rentrer dans l’actionner movie et c’est sans doute ce qui le trahit, car on nous ampute d’un certain intérêt dans une course-poursuite qui ne prend pas réellement le temps de se poser.
On accélère toujours plus vite, on évite les temps morts mais on ne retient que des raccourcis maladroits. En insistant sur l’efficacité, le film perd peu à peu en substances et tout se déconstruit à vue d’œil. Même après avoir saisi l’ampleur du sujet, à savoir dénoncer les agents de l’ordre qui ne justifient plus l’usage de leurs armes et de leur pouvoir, il reste toute une intrigue à développer et la traque vient à peine de démarrer. Ce portrait de l’Amérique avait pourtant de quoi plaire, même dans une démarche testostéronée, mais le réalisateur échoue à rendre le divertissement plus que convenable. Le visionnage en devient stérile et la plupart pourrait saturer de cette recette, maintes fois recyclée et maintes fois malmenée. Et malgré le faux-rythme soutenu, la narration assomme.
En somme, « Manhattan Lockdown » (21 Bridges) peine à convaincre et se cache derrière son classicisme pour mieux jouer sur la sensibilité des spectateurs. Mais il n’y a rien d’aussi implicite, dans un film qui catalogue trop rapidement ses personnages secondaires, comme une Sienna Miller en retrait et une J.K. Simmons presque farceur. Le tout sonne comme stérile et les rebondissements n’ont plus besoin de compte à rebours pour s’annoncer. L’image que l’on peut avoir de la justice est donc fiévreuse, de même que le concept qui se limite à son titre et dont on ne tire pas avantage, pour raconter une mise en scène qui résume plus les situations de crise qu’elle ne les suggère.
Dommage, le film avait une plastique assez travaillée qui rendait pas mal à l'image. Mais ce scénario caricatural et sans surprise casse tout l'intérêt. Le jeu des acteurs n'est pas non plus exceptionnel. Une ou deux bonnes scènes d'action, pour un film franchement bof
Film policier sous-titré assez violent et qui tient en haleine. On peut peut regretter le scénario prévisible et certaines scènes d'action provoquant "la HEAT nostalgie"... Heureusement, le personnage principal supporte à lui tout seul l'ensemble, aidé par les apparitions sporadiques du patron de SPIDERMAN à la ville (le directeur du Journal de Tony PARKER : sans les moustaches pour l'occasion, ça change !). Un film vraiment moyen mais qui se laisse voir, avec un sous-titrage dont la bonne digestion explique la légèreté des textes...
En l’espace de quelques jours, j’ai vu deux films américains sortis en janvier : « La Voie de la justice » (Just Mercy) & Manhattan Lockdown (21 Bridges). Outre que ces films ont tous les deux eu droit à un changement de titre pour leur sortie au cinéma en France, il faut noter que ces deux films bénéficient d’un casting à dominante noire - et c’est assez rare pour le souligner … et cela sera de moins en moins rare grâce à la clause « inclusion rider » dont ils ont bénéficié et qui va aller jusqu’à exclure les films qui ont un casting non diversifié dans les sélections des Oscars – et que leurs acteurs principaux s’étaient donnés la réplique dans « Black Panther ». Comme quoi, les films de super-héros, cela mène à tout, à condition d’arriver à sortir de cet univers cinématographique particulier. Par les choix opérés, le méchant de « Black Panther », Michael B. Jordan, qui a obtenu le rôle principal de « La Voie de la justice », a eu plus de flair et de chance que le gentil, Chadwick Boseman, qui, lui, a signé pour « Manhattan Lockdown » ! Ici, entre flics véreux et voyous, rien d’original depuis « Flic ou Voyou » avec Bébel en 1979. Néanmoins, à défaut d’une histoire originale, le film est court et rythmé et c’est déjà ça !
Sympathique mais pas mémorable. C'est vif dans l'action, scénario simple et vite compris dès le début (pas de surprise comme les indices sont montrés) on suit ce braquage-enquête-chasse à l'hommes avec juste ce qu'il faut de plaisir pour décompresser devant un film policier. Ne pas être surpris par quelques facilités scénaristiques pour allonger quelques courses poursuite. Le titre original aurait pu être conservé (21 bridges) mais les idées ne sont pas exploitées à fond. Film pop-corn pour soirées détente entre potes.
Film moyen : on ne s'ennuie pas mais le scénario manque d'originalité. Les twists sont prévisibles et le blocus de Manhattan qui donne son titre est finalement assez anecdotique.
Mais ce qui me dérange c'est le message du début du film, on a un passage à l'église suivi par un dialogue à propos de la légitimité pour un flic de faire feu pour tuer. Cela résume assez cette Amérique républicaine pro-arme et religieuse que je n'aime pas et à qui semble s'adresser ce film (on a d'ailleurs un pique au maire démocrate de New York via une référence au pizzagate - un polémique suite à une pizza mangée à la fourchette...).
Et donc comme je m'y attendais, ça flingue, ça tue, la drogue c'est mal mais la nocivité des armes passe sous silence (parce que 2 délinquants qui ont des armes lourdes automatiques, c'est pas grave tant qu'on tue pas des flics avec visiblement).
Mais ce qui me dérange c'est le message du début du film, on a un passage à l'église suivi par un dialogue à propos de la légitimité pour un flic de faire feu pour tuer. Cela résume assez cette Amérique républicaine pro-arme et religieuse que je n'aime pas et à qui semble s'adresser ce film (on a d'ailleurs un pique au maire démocrate de New York via une référence au pizzagate - un polémique suite à une pizza mangée à la fourchette...).
Et donc comme je m'y attendais, ça flingue, ça tue, la drogue c'est mal mais la nocivité des armes passe sous silence (parce que 2 délinquants qui ont des armes lourdes automatiques, c'est pas grave tant qu'on tue pas des flics avec visiblement).
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse