Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L’attente valait la peine ! Ce premier opus de la trilogie Kaamelott est à la hauteur du défi et annonce une conclusion grandiloquente pour la série initiée en 2006.
Kaamelott - Premier volet tient toutes ses promesses. Alexandre Astier a vraiment su adapter son univers au format du long métrage. Il mélange des éléments propres à satisfaire les fans de la série à des nouveautés conçues pour ceux qui ne la connaissent pas ou peu.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Sans brusquer le spectateur, néophyte ou fan de la première heure, tous les ingrédients qui ont fait le sel de «Kaamelott», la puissance évocatrice du cinéma en plus, se déploient dans une savante alchimie qui confirme les talents de conteurs d'Astier.
La critique complète est disponible sur le site CNews
En l’état, le film n’est pas mauvais, mais on espère que la suite des aventures d’Arthur feront davantage honneur à sa légende et aux grands écrans sur lesquels elle sera projetée.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L’humour absurde est là, avec ses aléas : parfois il frappe fort, parfois il tombe à plat. L’émotion, aussi, accompagne ce roi en plein doute, flirtant avec l’introspection à des moments étonnants. Pirouette de scénariste ou de monteur ? On laisse faire, on applaudit des deux mains, même, cette comédie subtile et décalée.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Truffé de références à la pop culture, que les initiés vont se faire un plaisir de débusquer, ce premier opus, un poil long sur la fin, en appelle irrémédiablement d’autres. En attendant, pour en mesurer toutes les subtilités, on a presque envie de le voir une deuxième fois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Alexandre Astier réussit un film aux images splendides, toutes en clair-obscur, un film dont la brochette d’acteurs mythiques offre toutes les nuances du comique, un film dont il maîtrise, comme à son habitude, jusqu’à la bande originale.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Alexandre Astier s'interroge sur la nature du héros dans une fresque au souffe épique qui mêle fantaisie et heroic fantasy, répliques hilarantes et gravité. Avec un casting époustouflant à la clé.
Malgré le plaisir de retrouver l'univers de Kaamelott et son immense galerie de personnages sur grand écran, Kaamelott : Premier Volet n'est pas le chef-d'oeuvre tant espéré ou même l'aboutissement que tout le monde attendait, mais plutôt un ambitieux prolongement de ce qu'était la série. L'écriture d'Alexandre d'Astier est toujours aussi efficace, mais ne parvient malheureusement pas à masquer ses maladresses en terme de narration ou de réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
En passant du petit format télé au grand format cinéma, la saga décalée du roi Arthur et de son épée Excalibur a muté : les gags sont devenus plus rares, la noirceur s’est invitée, et le mixage des deux n’est pas toujours réussi. Mais les dialogues sont très drôles, certaines scènes sont déjà des classiques d’absurdité comique, et les personnages sont très savoureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Avec sa réalisation et sa photographie soignées, ce film ambitieux alterne à bon rythme la grande aventure et un humour qui fonctionne toujours sur le décalage entre les préoccupations des personnages, très ancrées dans leur quotidien, le cadre médiéval de la geste arthurienne et son territoire aux régions imaginaires.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce sont surtout les fans qui apprécieront les mésaventures de ce premier volet, qui se veut le début d'une trilogie. Pour leur en mettre plein les yeux, Alexandre Astier sort le grand jeu : images soignées, mise en scène fluide, décors et costumes stylisés, effets spéciaux.
(...) il devient relativement clair que Kaamelott passe pour son auteur du stade de la folie douce à celui de la folie dure, seconde peau, doublure existentielle. Son Graal, en un mot.
Ceci dit, on rigole parfois très franchement, grâce à des répliques calibrées et à l’abattage intact de certains personnages (Lionnel Astier, toujours immense) et à l'arrivée de sympathiques nouveaux bien adaptés au verbe astierien (dont Clovis Cornillac et Guillaume Gallienne).
La critique complète est disponible sur le site Première
Alexandre Astier persiste dans son hybridation d’humour absurde et de sombre heroic fantasy discrètement politisée, avec force clins d’œil aux initiés. La mise en scène ? (...) il faut reconnaître qu’elle déçoit, sans relief, de même que le montage, expéditif — il faut tout caser… De belles idées, tout de même, l’emportent (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L’épique s’enlise ainsi dans une geste asthénique aussi poussive que dérythmée, une saga anémiée que la motivation des guest stars ne suffit pas à animer, même si quelques pitreries peuvent ponctuellement arracher un sourire.
Le Journal du Geek
L’attente valait la peine ! Ce premier opus de la trilogie Kaamelott est à la hauteur du défi et annonce une conclusion grandiloquente pour la série initiée en 2006.
20 Minutes
Kaamelott - Premier volet tient toutes ses promesses. Alexandre Astier a vraiment su adapter son univers au format du long métrage. Il mélange des éléments propres à satisfaire les fans de la série à des nouveautés conçues pour ceux qui ne la connaissent pas ou peu.
CNews
Sans brusquer le spectateur, néophyte ou fan de la première heure, tous les ingrédients qui ont fait le sel de «Kaamelott», la puissance évocatrice du cinéma en plus, se déploient dans une savante alchimie qui confirme les talents de conteurs d'Astier.
Closer
On y retrouve des dialogues très drôles et l'irrésistible casting, augmenté de nouveaux venus dont un Sting parfait en chef des Saxons.
Elle
Un réjouissant premier volet.
Filmsactu
En l’état, le film n’est pas mauvais, mais on espère que la suite des aventures d’Arthur feront davantage honneur à sa légende et aux grands écrans sur lesquels elle sera projetée.
L'Humanité
Alexandre Astier transpose sa cour des Miracles arthurienne sur grand écran. Avec des répliques toujours aussi savoureuses (...).
LCI
Intelligent et divinement drôle.
La Voix du Nord
L’humour absurde est là, avec ses aléas : parfois il frappe fort, parfois il tombe à plat. L’émotion, aussi, accompagne ce roi en plein doute, flirtant avec l’introspection à des moments étonnants. Pirouette de scénariste ou de monteur ? On laisse faire, on applaudit des deux mains, même, cette comédie subtile et décalée.
Le Figaro
À ces réussites de mise en scène, de direction d’acteurs, de filmage s’ajoute un ingrédient nouveau, absent sur le petit écran : l’émotion.
Le Parisien
Truffé de références à la pop culture, que les initiés vont se faire un plaisir de débusquer, ce premier opus, un poil long sur la fin, en appelle irrémédiablement d’autres. En attendant, pour en mesurer toutes les subtilités, on a presque envie de le voir une deuxième fois.
Marianne
Alexandre Astier réussit un film aux images splendides, toutes en clair-obscur, un film dont la brochette d’acteurs mythiques offre toutes les nuances du comique, un film dont il maîtrise, comme à son habitude, jusqu’à la bande originale.
Télé Loisirs
Alexandre Astier s'interroge sur la nature du héros dans une fresque au souffe épique qui mêle fantaisie et heroic fantasy, répliques hilarantes et gravité. Avec un casting époustouflant à la clé.
Voici
Une loufoquerie ambitieuse réservée aux fans.
aVoir-aLire.com
Drôle, déjanté et haletant, le premier opus de la célèbre série française sur les petits écrans a réussi son pari.
Ecran Large
Malgré le plaisir de retrouver l'univers de Kaamelott et son immense galerie de personnages sur grand écran, Kaamelott : Premier Volet n'est pas le chef-d'oeuvre tant espéré ou même l'aboutissement que tout le monde attendait, mais plutôt un ambitieux prolongement de ce qu'était la série. L'écriture d'Alexandre d'Astier est toujours aussi efficace, mais ne parvient malheureusement pas à masquer ses maladresses en terme de narration ou de réalisation.
L'Obs
En passant du petit format télé au grand format cinéma, la saga décalée du roi Arthur et de son épée Excalibur a muté : les gags sont devenus plus rares, la noirceur s’est invitée, et le mixage des deux n’est pas toujours réussi. Mais les dialogues sont très drôles, certaines scènes sont déjà des classiques d’absurdité comique, et les personnages sont très savoureux.
La Croix
Avec sa réalisation et sa photographie soignées, ce film ambitieux alterne à bon rythme la grande aventure et un humour qui fonctionne toujours sur le décalage entre les préoccupations des personnages, très ancrées dans leur quotidien, le cadre médiéval de la geste arthurienne et son territoire aux régions imaginaires.
Le Journal du Dimanche
Ce sont surtout les fans qui apprécieront les mésaventures de ce premier volet, qui se veut le début d'une trilogie. Pour leur en mettre plein les yeux, Alexandre Astier sort le grand jeu : images soignées, mise en scène fluide, décors et costumes stylisés, effets spéciaux.
Le Monde
(...) il devient relativement clair que Kaamelott passe pour son auteur du stade de la folie douce à celui de la folie dure, seconde peau, doublure existentielle. Son Graal, en un mot.
Les Fiches du Cinéma
Portée par le talent d’Alexandre Astier, cette suite longuement attendue sera un régal pour les fans.
Première
Ceci dit, on rigole parfois très franchement, grâce à des répliques calibrées et à l’abattage intact de certains personnages (Lionnel Astier, toujours immense) et à l'arrivée de sympathiques nouveaux bien adaptés au verbe astierien (dont Clovis Cornillac et Guillaume Gallienne).
Télérama
Alexandre Astier persiste dans son hybridation d’humour absurde et de sombre heroic fantasy discrètement politisée, avec force clins d’œil aux initiés. La mise en scène ? (...) il faut reconnaître qu’elle déçoit, sans relief, de même que le montage, expéditif — il faut tout caser… De belles idées, tout de même, l’emportent (...).
Critikat.com
Kaamelott est un drôle de cas dans l’histoire de la télévision française, dont le prolongement cinématographique perpétue l’étrangeté.
Les Echos
Le premier long-métrage d'Alexandre Astier ravira les fans de sa série, au risque d'égarer ceux qui voudraient la découvrir par le cinéma.
Mad Movies
Ce long-métrage n'offre qu'un élargissement de la lucarne au format 2.35, sans remettre en question les gimmicks et l'esthétique du show d'origine.
Ouest France
Parfois, c'est drôle, plus d'ailleurs avec Alain Chabat que Christian Clavier mais, finalement, c'est mieux en format court...
Positif
L’épique s’enlise ainsi dans une geste asthénique aussi poussive que dérythmée, une saga anémiée que la motivation des guest stars ne suffit pas à animer, même si quelques pitreries peuvent ponctuellement arracher un sourire.
Télé 7 Jours
Foutraque, lesté de trop de personnages et de références, le film ne retrouve que par intermittence la rigolade et l’irrévérence d’hier.
Les Inrockuptibles
On a certes du mal à cacher notre agacement lorsqu’on veut ainsi nous vendre un ersatz du Donjon de Naheulbeuk au prix du kilo de légende d’Excalibur.