Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
(...) tout à la fois morbide et plein d'espoir, Presque rien travaille sur ce fond de solitude qui tenaille le coeur des hommes.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) le nouveau film de Sébastien Lifshitz travaille avant tout sur l'ellipse et le non-dit, prenant le risque de privilégier les temps morts aux temps forts.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Judith Lindenberg
Le mérite de "Presque rien" réside dans l'absence de stigmatisation du sujet : ce n'est pas un film sur l'homosexualité, mais un film, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Michel Guilloux
Saisir le maelström souterrain du désir, des pulsions, de vie comme de mort, sous l'apparence de la banalité ou de l'insouciance - c'est selon le temps et l'humeur - du quotidien, tel est le programme qui ne passionne rien tant que Sébastien Lifshitz.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Gérard Lefort
Presque rien (...) est tout entier suspendu à la fragilité de son titre. Le fil est ténu qui raconte quelques saisons dans la vie de Mathieu, mais il tient bon. Parce que c'est le cinéma qui le trempe et le rend incassable.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Repérages
par Julien Welter
Problématique peu loquace et liberté interprétative se chargent de creuser une louable banalisation du geste homosexuel, mais Lifshitz réussit finalement davantage sa radiographie rudimentaire d'un lieu de vacances délavé.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
A travers des sensations contraires, Sébastien Lifshitz raconte une fracture, une rupture, et trouve la cohérence d'un film littéraire qui ne parle que le langage de l'image.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cplanet.com
par Olivier Pélisson
Il manque du fond à cette chronique de Mathieu sur plusieurs saisons. Dommage car Sébastien Lifshitz n'est pas dénué de talent, et l'ensemble des comédiens s'investissent avec une bonne volonté évidente.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par J.M.
(...) l'histoire de ces adolescents, bien que sincère, n'a rien de transcendant (...). Plus convaincante en revanche, la vision que Lifshitz offre d'une personnalité en construction.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Pierre Eisenreich
(...) la rigueur des cadrages et le talent photographique de Pascal Poucet (...) procurent par moments à ce film une vraie richesse sensorielle, à l'image des très belles scènes de plage.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Olivier de Bruyn
(...) à la fois brut au physique (...) et ampoulé au mental (...), Presque rien lorgne avec ostentation sur les thèmes et l'esthétique d'André Téchiné. Il en reproduit les tics avec moins de talent que, par exemple, un Gaël Morel. Tristesse totale donc.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
(...) tout à la fois morbide et plein d'espoir, Presque rien travaille sur ce fond de solitude qui tenaille le coeur des hommes.
Chronic'art.com
(...) le nouveau film de Sébastien Lifshitz travaille avant tout sur l'ellipse et le non-dit, prenant le risque de privilégier les temps morts aux temps forts.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Le mérite de "Presque rien" réside dans l'absence de stigmatisation du sujet : ce n'est pas un film sur l'homosexualité, mais un film, tout simplement.
L'Humanité
Saisir le maelström souterrain du désir, des pulsions, de vie comme de mort, sous l'apparence de la banalité ou de l'insouciance - c'est selon le temps et l'humeur - du quotidien, tel est le programme qui ne passionne rien tant que Sébastien Lifshitz.
Libération
Presque rien (...) est tout entier suspendu à la fragilité de son titre. Le fil est ténu qui raconte quelques saisons dans la vie de Mathieu, mais il tient bon. Parce que c'est le cinéma qui le trempe et le rend incassable.
Repérages
Problématique peu loquace et liberté interprétative se chargent de creuser une louable banalisation du geste homosexuel, mais Lifshitz réussit finalement davantage sa radiographie rudimentaire d'un lieu de vacances délavé.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
A travers des sensations contraires, Sébastien Lifshitz raconte une fracture, une rupture, et trouve la cohérence d'un film littéraire qui ne parle que le langage de l'image.
Cplanet.com
Il manque du fond à cette chronique de Mathieu sur plusieurs saisons. Dommage car Sébastien Lifshitz n'est pas dénué de talent, et l'ensemble des comédiens s'investissent avec une bonne volonté évidente.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
(...) l'histoire de ces adolescents, bien que sincère, n'a rien de transcendant (...). Plus convaincante en revanche, la vision que Lifshitz offre d'une personnalité en construction.
Positif
(...) la rigueur des cadrages et le talent photographique de Pascal Poucet (...) procurent par moments à ce film une vraie richesse sensorielle, à l'image des très belles scènes de plage.
Première
(...) à la fois brut au physique (...) et ampoulé au mental (...), Presque rien lorgne avec ostentation sur les thèmes et l'esthétique d'André Téchiné. Il en reproduit les tics avec moins de talent que, par exemple, un Gaël Morel. Tristesse totale donc.