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    La Sainte Famille
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    48 critiques spectateurs

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    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    710 abonnés 3 093 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2020
    La deuxième réalisation de l’acteur Louis-Do de Lencquesaing part d’une idée savoureuse : mettre en scène l’éclatement de l’unité familiale et le profond détachement avec lequel ses membres l’acceptent comme point de départ de la nomination ministérielle, Jean étant appelé à quitter ses fonctions de professeur à l’université pour devenir ministre de la famille. C’est dire l’hypocrisie qui règne et dans le milieu bourgeois ici investi et dans le microcosme du gouvernement, tous deux s’octroyant le droit de faire la morale et de donner des leçons de vie alors que la leur est définie par la débauche, l’infidélité, la « névrose ». Le film peint une collection de personnages grotesques enfermés dans un type de caractère et contraint d’errer dans des appartements immenses et vides, que l’on débarrasse après un décès ou un divorce. Tous sont à l’image du portrait de la jeune fille réalisé par Pissarro et accroché, vite fait bien fait, sur le mur de grand-maman : des figures tristes dans un cadre trop grand pour eux, sans âme ni couleur. Leur mouvement trouve dans l’histoire des anguilles évoquée en début et fin de long métrage une métaphore assez juste : ce petit personnel de théâtre s’agite sans qu’on ne comprenne pourquoi il prend la peine de se rassembler, une fois par an, pour s’accoupler et perpétuer sa lignée maladive. La seule différence véritable avec les anguilles, c’est que les membres de la famille sont dépourvus de mystère : on se moque de leurs problèmes, de leurs destinées malheureuses parce que terriblement solitaires. La Sainte famille réussit, et c’est là sa principale limite, à susciter un désintérêt total pour les personnages qu’il met en scène : en avouant à son mari être porteuse de l’enfant d’un autre, Marie ne déclenche chez lui que de l’indifférence, ouvre sur une question plus pragmatique : « on va dîner où ? ». Le film est brouillon et balbutiant, mais tire de ses faiblesses congénitales une profonde tristesse devant l’existence, une lassitude qui n’a d’égale que l’absence de surprise lorsque Jean apprend sa nomination.
    Beatrice D.
    Beatrice D.

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2020
    j'ai bien aimé ce côté intimiste mais dommage que le trio de bonnes actrices n'ai pas eu un meilleur scénario pour défendre
    ce film qui a un gout d"inachevé" et superficiel de par son écriture et sa réalisation très plates.2.5/5
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 avril 2020
    c 'est pataud sans travail de fond et ça avance au grès du vent
    aucune consistance et encore moins d 'un interet quelconque
    quel est le sens ou le but de ce film ???? a quel public cela peut il s adresser ????
    un grand mystère entour cet ovni qui va bien vite passer dans les oubliettes du cinéma
    mat niro
    mat niro

    364 abonnés 1 844 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2020
    De nouveau un film sur la famille, c'est peu dire que le sujet a le vent en poupe en ce moment dans le cinéma français. Malheureusement, cette comédie (qui n'en n'est pas vraiment une) n'arrive que trop peu souvent à dégager de l'émotion ou un rire. Louis-Do de Lencquesaing, réalisateur et acteur principal, met trop en avant son personnage, au demeurant assez inexpressif, et laisse trop peu de place à Léa Drucker ou Laura Smet. Et puis, le sujet principal, c'est à dire qu'il soit nommé Ministre de la Famille, n'est peu ou pas développé, ce qui donne une plongée dans le quotidien d'une famille bourgeoise, où le vouvoiement est de rigueur, assez inintéressante.
    Arthur Brondy
    Arthur Brondy

    233 abonnés 1 023 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 février 2020
    Un film sur une famille bourgeoise, qui se questionne sur la famille. Inceste, homosexualité, traditions. C’est un petit peu fourre tout. Mais les acteurs sont touchants. Il y a une forme de mélancolie joyeuse qui s’en dégage.
    tixou0
    tixou0

    712 abonnés 2 003 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 avril 2020
    Louis-Do de Lencquesaing a un beau nom - noble famille du Hainaut, attestée au moins depuis le 16e siècle. Alors il a écrit une histoire (en collaboration) sur une famille qui devait avoir un beau nom (Argenson ?), mais qui est tombée en quenouille.
    Les filles se sont mariées dans la roture - même si l'une (Marthe Keller) vouvoyée par ses fils (le metteur en scène, et Thierry Godard), les vouvoie aussi (comme dans certaines familles de l'aristocratie). L'autre ( spoiler: d'ailleurs adultérine - fruit d'une longue liaison
    de "Bonne" - Maman, alias Brigitte Auber, avec le régisseur de la propriété familiale, qu'il va falloir vendre) est morte - sa fille (Laura Smet) étant présentée comme travaillant, à Barcelone, pour un "auctionner" british. On s'arrêtera là, côté arbre généalogique, sauf à y adjoindre "Marie", spoiler: l'épouse du héros, "Jean" (L-DdL, donc), enceinte elle ne sait pas trop de qui, et passant son temps à Tanger (pour y faire quoi, à part se faire peut-être engrosser ?
    [...Mystère). On la signale parce que c'est Léa Drucker qui s'y colle... Elle ne fait que quelques apparitions - lesquelles sont ce qu'il y a de moins nul, au global.
    Si on ajoute un oncle curé, une spoiler: Africaine décorative, qui devient l'assistante de Jean, lequel obtient, alors que universitaire (anthropologie ?) le maroquin de... la Famille (??), quelques ancillaires (dont le chauffeur du ministre) et l'amant, pucier, du frère pourtant en couple avec une fausse" Daphné" - façon Arlésienne, pour s'assurer une descendance..
    .. y voit-on plus clair ? Et surtout, cela prend-il du corps ? Pas vraiment ! C'est confus, mal fichu, dialogué de façon catastrophique, sans le début du moindre intérêt, ni de mise en scène, ni (on s'en doutait) de scénario.
    C'est de plus très mal joué : Smet fait la moue, comme d'hab', et se déshabille à la première occasion, Marthe Keller a un accent tudesque (et pour cause) insupportable (et inexpliqué - évidemment), Godard est transparent, L-DdL est aussi expressif qu'une porte de manoir médiéval.... Moralité : à FUIR, "La Sainte Famille" !
    Ce 2e "long" de Lencquesaiang à la réalisation est encore pire que son premier essai ("Au Galop !").
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 janvier 2020
    Rien ne fonctionne dans ce film interminablement long et soporifique. Les personnages ne sont pas intéressants, les dialogues plats, l'histoire ne véhicule aucune émotion, ni chez les acteurs ni chez les spectateurs. Les rebondissements ne rebondissent pas, les surprises ne surprennent pas. Le film n'est ni drôle, ni triste, ni intéressant, ni profond...Sinon, je suis content d'avoir vu Marthe Keller, Laura Smet et Léa Drucker....
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 janvier 2020
    Quel ennui !
    C'est malsain, sans intérêt, pauvre famille . . .
    Film sans doute réservé aux cinéphiles Bobo.
    Nul !
    Dominique Fayeulle
    Dominique Fayeulle

    2 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 janvier 2020
    séduite par la bande annonce et le casting mais au final.. bof, bof..à l'apparition du générique de fin, on attend encore qu'il se passe quelque chose..
    bbnut
    bbnut

    12 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Claude Chabrol disait que n'importe qui pouvait apprendre techniquement le métier de réalisateur en deux minutes. Et que la différence se faisait alors entre les réalisateurs qui avaient quelque chose à dire et eux dont ce n'était pas le cas.
    Inutile de préciser ici dans quelle catégorie ranger ce film. Vain, mou et inodore, tels sont les adjectifs qui viennent immédiatement à l'esprit une fois le film terminé. Ce à quoi on pourrait ajouter que mis à part Clint Eastwood, Mathieu Kassovitz et Mathieu Amalric, très rares sont les cas de figure où un acteur passe avec succès et intelligence derrière la caméra.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    J'ai bien aimé ce film, il y a quelque chose d'élégant, de lent, le personnage principal est phagocyté par sa famille aristo, la mère est insupportable et superbement jouée par Marthe Keller, (super dans ce rôle), lui le héros on a l'impression qu'il n'agit absolument pas lui-même sur sa vie, il est mené par le bout du nez les évènements. Joli film sur la lenteur et l'homme plombé malgré lui. Il manque toutefois une fin avec plus de relief et de consistence.
    Guy T.
    Guy T.

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    J' avais été attiré par la bande-annonce, le thème et le casting mais au final, quel ennui.... Les acteurs semblent d'ailleurs les premiers à trouver le temps long..... Rien n'est abouti, les dialogues sont incohérents, le tout est plutôt mal filmé.....
    Très grosse déception!
    Jorik V
    Jorik V

    1 283 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Le second long-métrage réalisé par Louis-Do de Lencquesaing avait tout pour être réussi, de son casting hautement sympathique à son sujet central qu’est la famille, sujet qui est certainement l’un des plus utilisés (et balisés) sur grand écran. Notamment dans le cadre des comédies et des drames. Bizarrement, « La Sainte Famille » se posait au croisement de ces deux genres mais n’est finalement ni l’un, ni l’autre, pas plus que le mélange des deux, la comédie dramatique. Difficile à ranger dans une quelconque catégorie, on dira que c’est une chronique familiale douce-amère qui tente maladroitement de dire que la famille est le socle de nos névroses tout autant que du vivre-ensemble. Pour cela, le réalisateur, qui tient également le rôle principal, va slalomer entre les différents personnages de son scénario peu construit et aléatoire de manière quelque peu erratique et sans réelle logique.



    Les personnages évoluent encore dans le milieu bourgeois, ce qui peut aussi agacer comme s’il était plus facile (et lâche ?) de représenter à l’écran les tergiversations de gens aisés que ceux moins dotés. Ceci mis de côté, on peine à s’intéresser aux petits soucis de ces nantis sous forme d’enterrements, de partage d’héritage, de tromperie ou d’homosexualité cachée. Lencquesaing effleure pas mal de sujets mais n’en approfondit aucun. Il y a là plusieurs embryons d’histoires épars, comme des sous-intrigues placées au gré du script qui n’ont ni véritable début ni véritable épilogue. Le genre d’œuvre dont le propos reste continuellement en surface et qui n’a pas de réel but. On aurait aussi bien pu lui ajouter des scènes pour densifier l’intrigue ou la rendre plus intéressante comme en enlever certaines pour supprimer des personnages que cela n’aurait rien changer au résultat.



    Il y a cependant quelques bonnes répliques, surtout venant de la bouche de l’impeccable Marthe Keller, mais noyées dans un océan de vacuité et les errances du personnage principal, qui se balade d’un interlocuteur à l’autre sans plus de motivations que ça. Les atermoiements de celui-ci peinent à passionner et on finit par suivre tout cela avec un intérêt mitigé sans que ce soit déplaisant non plus. En effet, « La Sainte Famille » a beau être décevant et guère passionnant, il parvient paradoxalement à ne pas être ennuyant non plus. Juste des bons acteurs qui se donnent la réplique chacun de leur côté au sein d’un ensemble décousu et monotone. Le genre de long-métrage dont le côté anecdotique empêche de se souvenir durablement à la sortie de la projection. Du cinéma d’auteur un peu vain et nombriliste mais fait avec assez d’application tout de même pour ne pas s’avérer désagréable.



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    cyrus01
    cyrus01

    20 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2020
    Le quotidien décousu d'une famille bourgeoise. Mélancolique et désuet, avec un beau casting. Rien de moins, rien de plus!
    sebastien C.
    sebastien C.

    17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 janvier 2020
    Comment un tel film a t'il pu trouver un financement ? Incroyable d'approximations,raccourcis et vides....
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