Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Drôle et assez décapant.
Bande à part
par Benoit Basirico
La jubilation que provoque ce film tient aux instants de comédie derrière lesquels se cache une grande mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Une comédie originale qui ne manque pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier de Bruyn
Incarné par des comédiens irréprochables, La Sainte famille se distingue par sa douce extravagance et son examen subtil du vacillement existentiel.
Positif
par Olivier De Bruyn
Avec son impressionnisme et ses ruptures de ton imprévisibles, le film entraîne le spectateur dans son charme troublant, échappe au pathos et au psychologisme et, sans didactisme, soumet à la question des problématiques qui n’ont rien d’anodin : le lien, la responsabilité, l’héritage…
Sud Ouest
par Sophie Avon
"La Sainte Famille" de Louis-Do prend l’eau avec brio.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Loin, donc, d’un énième film embourgeoisé sur les petits tracas existentiels des gens bien nés, cette comédie dramatique à particule jette une lumière singulière sur les mystères et les origines de toutes nos névroses…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
par La rédaction
Il y a de bonnes idées dans cette chronique douce-amère sur l'ironie du sort, les secrets enfouis et les surprises de la vie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie qui ne manque ni de finesse d’observation ni d’ironie cruelle, même si le scénario, pour répondre au sujet développé, accumule les difficultés familiales avec une certaine complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Libération
par Marcos Uzal
Drôle de film que ce roman familial dénué de romanesque, sur un égotiste sans ego, et finalement attachant à force de détachement.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Voici
par A.V.
Une chronique douce-amère, un peu anecdotique, mais portée par un beau casting.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un film flou et vaporeux, où les personnages, faute de se parler, passent leur temps à s’offrir des cafés.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Sous ce titre ironique, l’acteur et réalisateur Louis-Do de Lencquesaing radiographie la famille dans tous ses états dans un film quelque peu poussif.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Pas de crises hystériques comme chez Cédric Khan ("Fête de famille", récemment) mais une ironie désabusée qui situe le film dans un entre-deux malheureusement terne et distant, même si pas dénué d’intérêt.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Mathieu Macheret
Sans grand discours généralisant ni appétence pour les crises de nerfs, son film creuse un sillon détaché, presque stoïcien, où les rouages et névroses familiales sont ressaisis dans une dialectique de l’archaïsme et de la modernité.
Le Parisien
par Catherine Balle
Sans doute que la famille est le nid de bien des névroses… Certes. Mais d'autres films l'ont montré plus puissamment et, malgré un joli casting (Marthe Keller, Laura Smet, Léa Drucker…), on n'est pas vraiment converti par cette « Sainte Famille ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Figure incontournable du cinéma français, Louis-Do de Lencquesaing poursuit avec ce deuxième long métrage une filmographie de l’intime en s’entourant d’une belle troupe d’acteurs, mais cette Sainte Famille peine à passionner sur la longueur.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Chèze
Peu après le très démonstratif "Fête de famille" de Cédric Kahn, cette "Sainte Famille" a certes le mérite de la jouer plus mezzo vocce... mais présente l’inconvénient de ne jamais vraiment imprimer à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Express
par A.L.F.
Tout est éparpillé et les différents rebondissements (les fixettes de la matriarche quant au patrimoine familial, l'attirance du personnage principal pour sa jeune cousine...) n'ont absolument ni queue ni tête. L'emballage était beau. Le cadeau l'est beaucoup moins.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] un film non dénué de charme mais décousu, ni vraiment drôle ni vraiment profond, où les sujets sont esquissés mais jamais approfondis.
Closer
Drôle et assez décapant.
Bande à part
La jubilation que provoque ce film tient aux instants de comédie derrière lesquels se cache une grande mélancolie.
Le Figaro
Une comédie originale qui ne manque pas de charme.
Marianne
Incarné par des comédiens irréprochables, La Sainte famille se distingue par sa douce extravagance et son examen subtil du vacillement existentiel.
Positif
Avec son impressionnisme et ses ruptures de ton imprévisibles, le film entraîne le spectateur dans son charme troublant, échappe au pathos et au psychologisme et, sans didactisme, soumet à la question des problématiques qui n’ont rien d’anodin : le lien, la responsabilité, l’héritage…
Sud Ouest
"La Sainte Famille" de Louis-Do prend l’eau avec brio.
Télérama
Loin, donc, d’un énième film embourgeoisé sur les petits tracas existentiels des gens bien nés, cette comédie dramatique à particule jette une lumière singulière sur les mystères et les origines de toutes nos névroses…
Femme Actuelle
Il y a de bonnes idées dans cette chronique douce-amère sur l'ironie du sort, les secrets enfouis et les surprises de la vie.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie qui ne manque ni de finesse d’observation ni d’ironie cruelle, même si le scénario, pour répondre au sujet développé, accumule les difficultés familiales avec une certaine complaisance.
Libération
Drôle de film que ce roman familial dénué de romanesque, sur un égotiste sans ego, et finalement attachant à force de détachement.
Voici
Une chronique douce-amère, un peu anecdotique, mais portée par un beau casting.
L'Obs
Un film flou et vaporeux, où les personnages, faute de se parler, passent leur temps à s’offrir des cafés.
La Croix
Sous ce titre ironique, l’acteur et réalisateur Louis-Do de Lencquesaing radiographie la famille dans tous ses états dans un film quelque peu poussif.
La Voix du Nord
Pas de crises hystériques comme chez Cédric Khan ("Fête de famille", récemment) mais une ironie désabusée qui situe le film dans un entre-deux malheureusement terne et distant, même si pas dénué d’intérêt.
Le Monde
Sans grand discours généralisant ni appétence pour les crises de nerfs, son film creuse un sillon détaché, presque stoïcien, où les rouages et névroses familiales sont ressaisis dans une dialectique de l’archaïsme et de la modernité.
Le Parisien
Sans doute que la famille est le nid de bien des névroses… Certes. Mais d'autres films l'ont montré plus puissamment et, malgré un joli casting (Marthe Keller, Laura Smet, Léa Drucker…), on n'est pas vraiment converti par cette « Sainte Famille ».
Les Fiches du Cinéma
Figure incontournable du cinéma français, Louis-Do de Lencquesaing poursuit avec ce deuxième long métrage une filmographie de l’intime en s’entourant d’une belle troupe d’acteurs, mais cette Sainte Famille peine à passionner sur la longueur.
Première
Peu après le très démonstratif "Fête de famille" de Cédric Kahn, cette "Sainte Famille" a certes le mérite de la jouer plus mezzo vocce... mais présente l’inconvénient de ne jamais vraiment imprimer à l’écran.
L'Express
Tout est éparpillé et les différents rebondissements (les fixettes de la matriarche quant au patrimoine familial, l'attirance du personnage principal pour sa jeune cousine...) n'ont absolument ni queue ni tête. L'emballage était beau. Le cadeau l'est beaucoup moins.
Le Journal du Dimanche
[...] un film non dénué de charme mais décousu, ni vraiment drôle ni vraiment profond, où les sujets sont esquissés mais jamais approfondis.