Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Un film qui sonne juste de bout en bout, où l’émotion vous étreint au détour d’un regard, d’un silence ou d’un geste d’amour esquissé qui se perd dans le brouhaha de la vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Tout est délicat et pudique dans ce film : les dialogues, les regards, les étreintes, les silences, les vues sur la mer.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Avec beaucoup de sensibilité, ce film sans pathos aborde le thème de la maladie à travers le regard d'un enfant. D'une grande humanité.
L'Express
par Antoine Le Fur
Émouvant sans être niais, "Le Rire de ma mère" maintient un très bon équilibre. Premier film réussi, et l'une des bonnes surprises de ce début d'année.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film tout de sensibilité, qui donne une part égale aux trois personnages centraux, et qui, parfaitement servi par ses trois interprètes et malgré un flottement dans le dénouement qui cède un peu à la sensiblerie, évite le piège du pathos.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Produit par la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar, qui explore dans ses propres films (« les Héritiers », « le Ciel attendra ») des univers proches, « le Rire de ma mère » est à la fois brûlant et tout en mesure (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Sa jolie réussite réside justement dans sa manière d'éviter le pathos grâce à un ton doux-amer et jamais complaisant sur la maladie, distillé par le duo Savignac-Ralite.
Télérama
par Guillemette Odicino
Belle surprise que ce drame lumineux, d’une pudeur remarquable pour un tel sujet — le deuil du point de vue de l’enfant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un premier film sensible au casting parfait.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Le parcours lumineux d’un enfant confronté à la noirceur du deuil.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L'équilibre subtil entre le drame et la comédie initiatique est ici le carburant d'une énergie de vie et d'émotion relayée par l'irradiante Suzanne Clément et le jeune Igor Van Dessel ("l'Echange des princesses"), stupéfiant de naturel et de maturité de jeu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On pense forcément à La Guerre est déclarée de Valérie Donzelli qui se livrait à une expérience autobiographique. On aurait peut-être souhaité autant d’audace et de folie dans ce premier film qui néanmoins s’affiche comme une véritable réussite, tant il parvient à rendre la gravité lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
L'humour est loin d'être absent de ce drame porté par Marie (Suzanne Clément), une héroïne qui croque la vie à pleines dents.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Pas de pathos, mais une chronique douce-amère toute en délicatesse grâce au jeu habilement nuancé de Pascal Demolon.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Christophe Narbonne
On en retient les performances de Pascal Demolon, bouleversant en père maladroit et ex bienveillant, et de Sabrina Seyvecou, qui donne une épaisseur inattendue au rôle ingrat de la belle-mère rivale.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Murielle Joudet
Le film repose surtout sur son actrice principale, Suzanne Clément, qui irradie.
Les Fiches du Cinéma
par Romain Tourbillon
Un adolescent introverti qui tombe amoureux. Une mère extravagante qui fait face à la maladie. Un père largué qui cherche le bonheur auprès de sa nouvelle femme. Et un film plein de bonnes intentions qui, à force de vouloir tout dire, passe à côté de l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
Un film qui sonne juste de bout en bout, où l’émotion vous étreint au détour d’un regard, d’un silence ou d’un geste d’amour esquissé qui se perd dans le brouhaha de la vie.
Charlie Hebdo
Tout est délicat et pudique dans ce film : les dialogues, les regards, les étreintes, les silences, les vues sur la mer.
Femme Actuelle
Avec beaucoup de sensibilité, ce film sans pathos aborde le thème de la maladie à travers le regard d'un enfant. D'une grande humanité.
L'Express
Émouvant sans être niais, "Le Rire de ma mère" maintient un très bon équilibre. Premier film réussi, et l'une des bonnes surprises de ce début d'année.
Le Dauphiné Libéré
Un film tout de sensibilité, qui donne une part égale aux trois personnages centraux, et qui, parfaitement servi par ses trois interprètes et malgré un flottement dans le dénouement qui cède un peu à la sensiblerie, évite le piège du pathos.
Le Parisien
Produit par la réalisatrice Marie-Castille Mention-Schaar, qui explore dans ses propres films (« les Héritiers », « le Ciel attendra ») des univers proches, « le Rire de ma mère » est à la fois brûlant et tout en mesure (...).
Studio Ciné Live
Sa jolie réussite réside justement dans sa manière d'éviter le pathos grâce à un ton doux-amer et jamais complaisant sur la maladie, distillé par le duo Savignac-Ralite.
Télérama
Belle surprise que ce drame lumineux, d’une pudeur remarquable pour un tel sujet — le deuil du point de vue de l’enfant.
Voici
Un premier film sensible au casting parfait.
aVoir-aLire.com
Le parcours lumineux d’un enfant confronté à la noirceur du deuil.
L'Obs
L'équilibre subtil entre le drame et la comédie initiatique est ici le carburant d'une énergie de vie et d'émotion relayée par l'irradiante Suzanne Clément et le jeune Igor Van Dessel ("l'Echange des princesses"), stupéfiant de naturel et de maturité de jeu.
La Voix du Nord
On pense forcément à La Guerre est déclarée de Valérie Donzelli qui se livrait à une expérience autobiographique. On aurait peut-être souhaité autant d’audace et de folie dans ce premier film qui néanmoins s’affiche comme une véritable réussite, tant il parvient à rendre la gravité lumineuse.
Le Figaro
L'humour est loin d'être absent de ce drame porté par Marie (Suzanne Clément), une héroïne qui croque la vie à pleines dents.
Le Journal du Dimanche
Pas de pathos, mais une chronique douce-amère toute en délicatesse grâce au jeu habilement nuancé de Pascal Demolon.
Première
On en retient les performances de Pascal Demolon, bouleversant en père maladroit et ex bienveillant, et de Sabrina Seyvecou, qui donne une épaisseur inattendue au rôle ingrat de la belle-mère rivale.
Le Monde
Le film repose surtout sur son actrice principale, Suzanne Clément, qui irradie.
Les Fiches du Cinéma
Un adolescent introverti qui tombe amoureux. Une mère extravagante qui fait face à la maladie. Un père largué qui cherche le bonheur auprès de sa nouvelle femme. Et un film plein de bonnes intentions qui, à force de vouloir tout dire, passe à côté de l’émotion.