Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Une belle partition.
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Bienveillant et humaniste, ce premier film sur un professeur de violon confronté à des élèves de quartiers défavorisés, fait vibrer les cordes sensibles.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Télérama
par Guillemette Odicino
Un tel scénario aurait pu devenir franchement lourd. Mais le réalisateur parvient, grâce à sa mise en scène limpide et discrète, à convaincre que la musique adoucit les mœurs et peut éclairer les visages les plus butés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le naturel éblouissant des jeunes acteurs, l’honnêteté du metteur en scène et le jeu mesuré des acteurs principaux incitent à considérer avec indulgence cette brave incursion dans le cinéma pédagogique et pacifique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Reprenant la trame d’un film brésilien et l’adaptant au contexte français des quartiers défavorisés, un film porté par une vision résolument optimiste, qui a le bon goût de ne pas trop faire vibrer la corde sensible.
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré un scénario cousu de fil blanc et des personnages un peu trop superficiels, ce premier film s'en sort grâce à la force de ses interprètes, le jeune Renély Alfred en tête.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Sur un scénario un peu prévisible et aux airs de déjà-vu, Kad Merad, lesté de quelques kilos, joue mezza voce, presque en sourdine. Mais on se laisse finalement toucher par cette histoire pleine de tendresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Ne désespérant pas des jeunes collégiens d'aujourd'hui, le réalisateur parvient, malgré les clichés, à mettre en scène la magie de la musique classique. Bruno Coulais n'y est pas pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Guillaume Tion
Sur le thème connu de l'élévation sociale par la pratique d'un instrument, Rachid Hami réalise un film plus fin qu'il n'y paraît.
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
La rencontre entre le prof et un élève timide mais doué (Renély Alfred) est attendrissante.
Voici
par Lola Sciamma
Avec un Kad Merad introverti en mode super low profile.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Aucun ingrédient ne manque à ce feel good movie social (la classe est un précipité de mixité ethnique) et sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Ce premier film, d’où résonne un air de déjà vu, est un brin lacrymal et trop prévisible pour convaincre, mais l’intention est louable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Frédéric Foubert
Le réalisateur Rachid Hami a le bon goût de jouer la carte de la sobriété, aidé par un Kad Merad assez génial dans l’art de l’understatement et une troupe de jeunes acteurs idéalement castés. Dommage que la morale de la fable (la musique adoucit les mœurs) passe un peu au forceps.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"Les grands esprits", "L'Atelier" ou encore "Le Brio" reposent sur le même postulat de départ. A l'arrivée, peu d'élus et sûrement pas cette "Mélodie" avec un Kad Merad livide (...).
Femme Actuelle
Une belle partition.
La Croix
Bienveillant et humaniste, ce premier film sur un professeur de violon confronté à des élèves de quartiers défavorisés, fait vibrer les cordes sensibles.
Télérama
Un tel scénario aurait pu devenir franchement lourd. Mais le réalisateur parvient, grâce à sa mise en scène limpide et discrète, à convaincre que la musique adoucit les mœurs et peut éclairer les visages les plus butés.
La Voix du Nord
Le naturel éblouissant des jeunes acteurs, l’honnêteté du metteur en scène et le jeu mesuré des acteurs principaux incitent à considérer avec indulgence cette brave incursion dans le cinéma pédagogique et pacifique.
Le Dauphiné Libéré
Reprenant la trame d’un film brésilien et l’adaptant au contexte français des quartiers défavorisés, un film porté par une vision résolument optimiste, qui a le bon goût de ne pas trop faire vibrer la corde sensible.
Le Figaro
Malgré un scénario cousu de fil blanc et des personnages un peu trop superficiels, ce premier film s'en sort grâce à la force de ses interprètes, le jeune Renély Alfred en tête.
Le Parisien
Sur un scénario un peu prévisible et aux airs de déjà-vu, Kad Merad, lesté de quelques kilos, joue mezza voce, presque en sourdine. Mais on se laisse finalement toucher par cette histoire pleine de tendresse.
Les Fiches du Cinéma
Ne désespérant pas des jeunes collégiens d'aujourd'hui, le réalisateur parvient, malgré les clichés, à mettre en scène la magie de la musique classique. Bruno Coulais n'y est pas pour rien.
Libération
Sur le thème connu de l'élévation sociale par la pratique d'un instrument, Rachid Hami réalise un film plus fin qu'il n'y paraît.
Télé Loisirs
La rencontre entre le prof et un élève timide mais doué (Renély Alfred) est attendrissante.
Voici
Avec un Kad Merad introverti en mode super low profile.
L'Obs
Aucun ingrédient ne manque à ce feel good movie social (la classe est un précipité de mixité ethnique) et sans surprise.
Le Journal du Dimanche
Ce premier film, d’où résonne un air de déjà vu, est un brin lacrymal et trop prévisible pour convaincre, mais l’intention est louable.
Première
Le réalisateur Rachid Hami a le bon goût de jouer la carte de la sobriété, aidé par un Kad Merad assez génial dans l’art de l’understatement et une troupe de jeunes acteurs idéalement castés. Dommage que la morale de la fable (la musique adoucit les mœurs) passe un peu au forceps.
Studio Ciné Live
"Les grands esprits", "L'Atelier" ou encore "Le Brio" reposent sur le même postulat de départ. A l'arrivée, peu d'élus et sûrement pas cette "Mélodie" avec un Kad Merad livide (...).