Derniers Avis : Jusqu’à la Garde - Page 23

Ce thriller au scénario haletant nous plonge dans un suspense et une tension inouïe jusqu’à la dernière minute, le tout dans la peau d’un excellent trio d’acteur. Le silence est de mise pendant les minutes qui suivent la séance. Le temps de redescendre, de se reprendre, de comprendre.

Ca demarre face au juge qui doit trancher rapidement sur la garde des enfants d'un couple qui se separe.
Les avocats defendent leurs clients, plutot bien.
Et puis on decouvre au fur et a mesure l'horreur de la situation, jusqu'à atteindre l'horrible denouement dont on reste suffoqué.
Excellent scenario. Tres bonne realisation genre "reportage". Excellents acteurs.

Franchement je ne comprends pas tout ce foin autour du film. C'est un court métrage étiré sur la longueur, le filmage relève d'un banal téléfilm, le scénario ne repose que sur une situation vue et revue dans de bien meilleurs films (allez revoir les films de Ken Loach pour commencer), l'émotion est fabriquée. Pour moi, c'est une arnaque, un film bidon, un hold up sur les entrées en salles sous couvert d'un film social, faire du sensationnel pour du sensationnel, il n'y a pas 1 idée de mise en scène, du tout petit petit cinéma français, y a qu'à voir les petits acteurs qui jouent.

Dérangeant mais tellement puissant et réaliste. clap clap clap !
À voir avant qu'il ne soit plus à l'affiche ;)

Mais c'est quoi cette daube ? Tu prends un fait divers de 20mn, et tu penses faire un film 🤤
On devrait interdire ça ! on tue le cinéma français. A moins que ... c'est ça le cinéma français ?

En plus c'est mal joué et mal filmé. !😎

C'est pas un film c'est la rubrique fait divers du Parisien.
A fuir. Aucun intérêt. Creux, vide, en un mot Nul.

Une bonne idée de départ, une excellente fin et au milieu un trou noir... Une heure de trou noir, sans tension, sans dialogue, sans idée. Juste des plans de chaussures, des plans de personnages qui n'apportent rien au récit, des scènes insipides, sans intérêt, juste pour meubler. Et il faut attendre la 70 eme minute pour qu'enfin le film prenne son envol. Dommage...

une douloureuse affaire de divorce, un père qui devient fou de na pas voir son enfant, une mère tres équivoque, un enfant déchiré. tout cela aurait du donner un film plein d'émotion, mais tout est gâché par des scènes inutiles ou incompréhensibles : 1 dans les toilettes ??? 2 l'anniversaire !!. était ce bien utile d'en faire une scène si longue et sans intérêt.cela coupe le souffle étouffant de l'atmosphère , c'est vraiment dommage car l'interprétation est excellente et la mise en scène originale.

Une histoire tout d’abord déboussolante car on ne sait pas vraiment sur quel pied danser. Puis, tout va très vite et la violence prend le dessus. Un film qui choque et donc qui fait son travail.

Surprenant de force et bouleversant d’émotion. L’amour rend-y-il sauvage et fou de douleur?
C’est un film incroyable, un drame passionné et une éprouvante histoire dont la fin nous rend muet de détresse.

le résumé "affiché" du film ne correspond en rien avec le scénario, volontairement, donc grande déception. De plus, ce film traite d'un sujet de société grave, de façon unilatérale, arbitraire et sexiste, visant, comme la mouvance politique des moralisateurs bien pensant et donneurs de leçons du moment, à masquer délibérément tout une autre réalité du sujet, et ancrer dans les esprits que seuls les hommes ne peuvent être que violents, et qu'il ne peut en être autrement. Répétez par toute les manières et fréquemment à quelqu'un qu'il est beau et intelligent, il le deviendra..... Répétez de la même manière à qqun qu'il est moche ou con, il le deviendra... Ce film est dans ce même concept, où l'on veut instaurer un fait non réel (bien heureusement) que tous les hommes et pères sont violents... Une question sur ce scénario: pourquoi le film ne nous montre-t-il RIEN de ce qui se passait avant le divorce, et RIEN de la vie quotidienne de la mère avec les enfants??? pourquoi donc ? Bref, le réalisateur, dans une plaquette, justifie s'être beaucoup documenté auprès de Juges, police, services sociaux.... a-t-il seulement rencontré un seul père privé de ses enfants durant plusieurs années ? pourtant, Combien d'enfants sont-ils pris en otage du jour au lendemain chaque jour ? Le réalisateur a-t-il conscience de ce phénomène ? Enfin, Un papa pourrait-il enlever du jour au lendemain ses enfants, et les prendre en otage durant 1 ans, parfois plus encore, simplement en accusant l'autre parent de violences ? et comment réagirait une maman privée de ses enfants totalement (y compris téléphone) durant 1.... 2 3 ou 4 ans? Il est temps de remettre les pendules à l'heure, et ce genre de film plus que subjectif, prenant en otage les spectateurs et leur libre arbitre, ne va pas faire avancer les choses... On veut nous faire croire que, selon un ministère, 2 hommes sur 3 seraient violents et dignes de "balancetonporc". Alors regardez autour de vous, et objectivement, cherchez bien les 2 hommes sur 3 qui sont des porcs violents.... et mettons donc , par protection pure des femmes victimes potentielles, 2 hommes sur 3 en prison... Et là, le discours sera cohérent ! Voilà, un bon dessin animé vous fera passer un meilleur moment plus constructif pour votre famille. Merci d'avoir lu ce com.

La première scène devant le juge est hyper réaliste, puis la tension monte tout au long du film le caractère des personnes se dessinent jusqu'à la confrontation finale. très bien fait et remarquablement interprété

Un thriller incroyable. Agrippé au siège pendant tout le film, je me suis réveillé le lendemain y pensant toujours. Un film qui vaut le coup d’aller au cinéma pour une fois. Je le conseille vivement !

Dans une symbiose oppositionnelle, Léa Drucker et Denis Ménochet tiennent l’affiche dans « Jusqu’à la garde », un récit d’actualité incroyablement réaliste.
Au cœur de la membrane juridique, l’atmosphère permet de clairement poser le contexte dans une aisance d’écriture propre. Pas vraiment de suspens, c’est au cours d’un monologue analytique que la juge d’instruction expose les faits d’un divorce accompagné d’accusations de violences conjugales. Ce sont ensuite les avocats qui lâchent leur récital, comme deux oppositions illogiques, l’un reste pragmatique, tandis que l’autre, joue sur la corde sensible.
Pénétrant, pervers, pernicieux, bien que des doutes subsistent quant à la véracité des dires, l’attention est priorisée sur la garde de l’enfant. Interprété par Thomas Gioria, ce petit prodige communique une crainte permanente, un sentiment d’insécurité progressif, une peur glaciale dont la transmission cinématographique est ahurissante.
Sans aucun artifice, le scénario de départ s’effeuille pour s’orienter sur une traversée inconnue vers l’horreur quotidienne que vit la famille. Violent, puissant, une anxiété passive s’installe dans une incompréhension suffocante et ce, grâce une harmonisation brut des jeux d’acteur.
Poignant, Xavier Legrand nous rappelle avec ecchymose que le cinéma peut être neutre et à la fois, brillant. En abordant les violences conjugales dans un arsenal pur et ultra-réaliste, l’imprégnation du cycle pervers mené par Denis Ménochet nous rend victime à notre tour. Victime d’une impuissance, d’une frayeur ou d’un impact évident et réussi, bouleversant et prégnant.
Bilan : Un coup de tonnerre qui laisse des marques. Bravo.
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Pfiouuuu....
whaaaa...
Je n'aime pas les thrillers, les trucs qui font peur et je suis allée voir ce film un peu par hasard parce j'avais du temps à occuper au départ...
Je bénis ce temps maintenant car j'ai découvert que je pouvais aimer les thrillers spoiler: surtout quand ils se terminent bien ;-)
puisqu'en plus j'ai découvert un jeu d'acteurs époustouflants et une vraie mise en scène.
Pour avoir vécu la violence familiale, je tire mon chapeau au metteur en scène d'avoir su retranscrire toutes les émotions présentes dans un tel cas de figure. Merci