Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
...son adaptation du conte de Perrault est d'un charme fou, d'une légèreté jubilatoire et d'une candeur féerique qui le placent en digne descendant de Jacques Demy et de Jean Cocteau.
Libération
par Luc Chessel
Le cinéaste espagnol Ado Arrieta s’empare du mythe intemporel de la princesse assoupie pour en tirer une superbe variation, malicieusement modernisée par le biais d’outils technologiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Pierre Eugène
Si "Flammes" théorisait en son temps la belle question du fantasme et des désirs d’incendie encore vivaces en 1978, "Belle dormant" vient à point nommé travailler notre tropisme actuel sur l’image et en dresser un état des lieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Voilà bien le film qui attend un spectateur du même bois que tous ceux qui l’ont menuisé. S’il en est ainsi, il y prendra, ce spectateur, le même genre de plaisir : jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Louis Guichard
Le cinéaste suggère, par des jeux de regards subtils, une attirance entre le prince et celle qui le protège. (...) Par rapport à "Peau d'âne" de Jacques Demy, référence omniprésente, que traversaient les transgressions les plus folles, "Belle dormant", limpide, n'a que cet amour sacrifié pour envers trouble. Mais c'est un secret magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Mise en scène et photographiée avec élégance, cette réjouissance porte l’empreinte des grands enchanteurs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
C’est le premier film d’Arrietta depuis sept ans, et plutôt que d’y regretter l’absence, ou la perte, d’une dimension fascinante et brûlante, on y trouvera toujours cette forme de souveraineté, une imagination qui s’offre à être arpentée, comme un royaume sûr de ses charmes et de son hospitalité.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Si on tombe dans ce divertissement crémeux, soigneusement languissant, on le trouvera au choix ennuyeux ou charmant. Illustratif ou imaginatif. La mise en scène d'Adolpho Arrietta cultive une naïveté raffinée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film trouve paradoxalement son charme le plus ineffable dans cette absence d’enjeu, ce parti pris de ne rien dramatiser, mais de retraverser avec une conscience amusée des motifs bien connus et comme résolus d’avance.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un objet tout à fait charmant mais qui, malgré ses partis pris modestes et sa jolie folie douce, reste une transposition finalement assez sage du conte de Perrault.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Sa "Belle dormant" (envoûte), même si la douce se fait trop prier pour s'animer devant nous.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le résultat est un peu déroutant: on apprécie l’atmosphère surannée et les envolées poétiques, mais on aimerait que la belle endormie mette moins de temps à se réveiller.
Les Inrockuptibles
...son adaptation du conte de Perrault est d'un charme fou, d'une légèreté jubilatoire et d'une candeur féerique qui le placent en digne descendant de Jacques Demy et de Jean Cocteau.
Libération
Le cinéaste espagnol Ado Arrieta s’empare du mythe intemporel de la princesse assoupie pour en tirer une superbe variation, malicieusement modernisée par le biais d’outils technologiques.
Critikat.com
Si "Flammes" théorisait en son temps la belle question du fantasme et des désirs d’incendie encore vivaces en 1978, "Belle dormant" vient à point nommé travailler notre tropisme actuel sur l’image et en dresser un état des lieux.
L'Humanité
Voilà bien le film qui attend un spectateur du même bois que tous ceux qui l’ont menuisé. S’il en est ainsi, il y prendra, ce spectateur, le même genre de plaisir : jubilatoire.
Télérama
Le cinéaste suggère, par des jeux de regards subtils, une attirance entre le prince et celle qui le protège. (...) Par rapport à "Peau d'âne" de Jacques Demy, référence omniprésente, que traversaient les transgressions les plus folles, "Belle dormant", limpide, n'a que cet amour sacrifié pour envers trouble. Mais c'est un secret magnifique.
aVoir-aLire.com
Mise en scène et photographiée avec élégance, cette réjouissance porte l’empreinte des grands enchanteurs.
Cahiers du Cinéma
C’est le premier film d’Arrietta depuis sept ans, et plutôt que d’y regretter l’absence, ou la perte, d’une dimension fascinante et brûlante, on y trouvera toujours cette forme de souveraineté, une imagination qui s’offre à être arpentée, comme un royaume sûr de ses charmes et de son hospitalité.
Le Figaro
Si on tombe dans ce divertissement crémeux, soigneusement languissant, on le trouvera au choix ennuyeux ou charmant. Illustratif ou imaginatif. La mise en scène d'Adolpho Arrietta cultive une naïveté raffinée.
Le Monde
Le film trouve paradoxalement son charme le plus ineffable dans cette absence d’enjeu, ce parti pris de ne rien dramatiser, mais de retraverser avec une conscience amusée des motifs bien connus et comme résolus d’avance.
Les Fiches du Cinéma
Un objet tout à fait charmant mais qui, malgré ses partis pris modestes et sa jolie folie douce, reste une transposition finalement assez sage du conte de Perrault.
Studio Ciné Live
Sa "Belle dormant" (envoûte), même si la douce se fait trop prier pour s'animer devant nous.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est un peu déroutant: on apprécie l’atmosphère surannée et les envolées poétiques, mais on aimerait que la belle endormie mette moins de temps à se réveiller.