Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
Chronic'art.com
par Yal Sadat
La splendeur du film d’Anderson tient à sa manière de tracer une telle esquisse personnelle sans pour autant s’engager, ni trancher.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Morgan Pokée
Tout pourrait concourir donc à faire de Phantom Thread un film sur le cinéma par le biais décalé de la haute-couture. Cela serait pourtant réduire l'exceptionnelle expérience que le film procure...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
C’est sans doute l’un des plus beaux film d’amour et de création, depuis longtemps.(...) Un film qui travaille et tisse sa propre perfection, l’exigence dont il est porteur devient exigence des plans, de la lumière, de la texture de l’oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Phantom Thread" est une œuvre d'une richesse folle, menée par une réalisation d'une délicatesse et d'un raffinement sans pareil et un trio d'acteurs enivrant. Un immense film.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Très étrange film, "Phantom Thread", ne peut être qu'identifié au qualificatif, un peu galvaudé aujourd’hui mais si juste en son cas, de chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les films de Paul Thomas Anderson ont tous un secret. Parfois trop voyant ("Magnolia", "There Will Be Blood"), parfois si enfoui qu’on s’épuise à vouloir le percer ("The Master"). Celui de "Phantom Thread" est le plus déchirant de tous.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Un thriller psychologique d’une folle élégance, porté par l’indispensable Daniel Day-Lewis et l’étonnante Vicky Krieps.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Céline Rouden
Comme la coupe parfaite d’une robe vient masquer les imperfections du corps féminin, la puissante beauté de Phantom Thread recouvre d’un plissé parfait la névrose de ses héros, dévoilée au fur et à mesure de l’histoire à la manière d’un lent et patient effeuillage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Quelle splendeur ! Quelle richesse ! Quelle drôlerie !
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Daniel Day-Lewis campe à merveille un couturier dandy et maniaque dans Phantom Thread. Un rôle taillé sur mesure.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Paul Thomas Anderson filme avec maestria un fervent corps-à-corps dans le Londres des années 1950.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film faussement classique qui, tout en diffusant un charme délicat et vénéneux, travaille en profondeur la question des rapports de forces au sein du couple.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas , Olivier Lamm et Jérémy Piette
(...) un film étrange et splendide, magnifiquement déroutant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par François Bégaudeau
On cherchait PTA, le voici tout entier dans cette aptitude à perturber la distribution attendue des mérites, des rôles, des pouvoirs. Mais une perspective simplement renversée ne suffit pas à ce cinéma dont la teneur baroque - ni emphatique, ni maniéré : baroque - éclate mieux encore dans cette forme classique.
Télérama
par Pierre Murat
Accepter de s’oublier, au risque de se perdre : François Truffaut avait évoqué ces tourments, jadis, dans La Sirène du Mississippi. Paul Thomas Anderson les porte jusqu’à l’incandescence.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
S’il fallait avaler des couleuvres psychédéliques pour en arriver à ce « Phantom thread » alors oui, le jeu en valait la chandelle. Car le huitième film d’Anderson est sans doute sa plus belle réussite. Son chef-d’œuvre, carrément.
Voici
par La Rédaction
Un psychodrame romantique élégant et retors, sur un amour fou, vénéneux et irréductible.
20 Minutes
par Caroline Vié
Plus qu'un acteur, Daniel Day-Lewis est une véritable star. Il le prouve une nouvelle fois dans Phantom Thread.
Bande à part
par Helen Faradji
Tyrannie, romance toxique, complexité d’une relation amoureuse disséquée dans cet univers ouaté et d’une élégance glaciale du luxe aristocratique… tout cela, Anderson l’aborde avec génie dans une mise en scène à couper le souffle de maîtrise et d’épure.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Incroyablement maîtrisé, ce drame nommé à six oscars souffre parfois de ses qualités : une tension aride dans un écrin à la puissance impénétrable.
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Phantom Thread atteint sans doute sa limite dans cette façon d’envoyer des signaux contradictoires : le film est plus déstabilisant que bouleversant. Mais cette excentricité est aussi sa force : comme Reynolds Woodcock capitulant devant Alma, il faut se rendre à sa somptueuse étrangeté.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un drame romanesque d'une beauté époustouflante, porté sans aucun faux pli par Daniel Day-Lewis, bluffant.
L'Express
par Christophe Carrière
La mise en scène est somptueuse, portée par une belle élégance qui contraste avec la brutalité sous-jacente des rapports humains.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Avec cette œuvre sur le sacerdoce de la mode, Anderson dépeint à nouveau une passion frôlant la folie – qui contraste parfaitement avec l’arrière-plan british, huppé et feutré. Une œuvre troublante portée par le comédien Daniel Day- Lewis, coutumier des rôles extrêmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Daniel Day-Lewis est tellement séduisant et troublant dans le costume chic d’un couturier anglais qui choisit une jeune serveuse comme muse et souffre-douleur. Une nouvelle nomination à l’oscar, et une preuve supplémentaire qu’il est peut-être le meilleur acteur du monde...
Première
par Guillaume Bonnet
Paul Thomas Anderson se délocalise à Londres dans les années 50, chez un grand couturier de la haute société. Sublime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Paul Thomas Anderson y côtoie ici les étoiles, dans un ballet Viscontien de toute beauté où Daniel Day-Lewis brille en majesté.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Daniel Day-Lewis interprète un maître des élégances, tout en jeux de miroirs, bouleversé par son modèle. Le cinéaste Paul Thomas Anderson tisse magistralement le fil invisible du bâti amoureux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Cette romance aussi élégante qu'extravagante tourne alors à l'affrontement psychologique entre un tyran obsessionnel et sa muse insoumise. Grinçant.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Daniel Day-Lewis fait preuve d’un charisme irrésistible, magnifié par une mise en scène très stylisée signée par Paul Thomas Anderson. Comme souvent, le réalisateur a de plus su faire de ces apparats académiques le support à un récit bien plus transgressif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Damien Bonelli
Confinée dans des intérieurs oppressants, dignes du Joseph Losey de "The Servant" (1964), la mise en scène exacerbe cette triangulation amoureuse jusqu’au transfert.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Un film élégant et subtil (...).
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Complaisant, le film se termine là où il aurait sans doute dû commencer.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Un possible autoportrait de l’artiste en démiurge, hélas plombé par un formalisme redondant et rigide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Chronic'art.com
La splendeur du film d’Anderson tient à sa manière de tracer une telle esquisse personnelle sans pour autant s’engager, ni trancher.
Critikat.com
Tout pourrait concourir donc à faire de Phantom Thread un film sur le cinéma par le biais décalé de la haute-couture. Cela serait pourtant réduire l'exceptionnelle expérience que le film procure...
Culturopoing.com
C’est sans doute l’un des plus beaux film d’amour et de création, depuis longtemps.(...) Un film qui travaille et tisse sa propre perfection, l’exigence dont il est porteur devient exigence des plans, de la lumière, de la texture de l’oeuvre.
Ecran Large
"Phantom Thread" est une œuvre d'une richesse folle, menée par une réalisation d'une délicatesse et d'un raffinement sans pareil et un trio d'acteurs enivrant. Un immense film.
Franceinfo Culture
Très étrange film, "Phantom Thread", ne peut être qu'identifié au qualificatif, un peu galvaudé aujourd’hui mais si juste en son cas, de chef-d’œuvre.
L'Obs
Les films de Paul Thomas Anderson ont tous un secret. Parfois trop voyant ("Magnolia", "There Will Be Blood"), parfois si enfoui qu’on s’épuise à vouloir le percer ("The Master"). Celui de "Phantom Thread" est le plus déchirant de tous.
LCI
Un thriller psychologique d’une folle élégance, porté par l’indispensable Daniel Day-Lewis et l’étonnante Vicky Krieps.
La Croix
Comme la coupe parfaite d’une robe vient masquer les imperfections du corps féminin, la puissante beauté de Phantom Thread recouvre d’un plissé parfait la névrose de ses héros, dévoilée au fur et à mesure de l’histoire à la manière d’un lent et patient effeuillage.
La Voix du Nord
Quelle splendeur ! Quelle richesse ! Quelle drôlerie !
Le Figaro
Daniel Day-Lewis campe à merveille un couturier dandy et maniaque dans Phantom Thread. Un rôle taillé sur mesure.
Le Monde
Paul Thomas Anderson filme avec maestria un fervent corps-à-corps dans le Londres des années 1950.
Les Fiches du Cinéma
Un film faussement classique qui, tout en diffusant un charme délicat et vénéneux, travaille en profondeur la question des rapports de forces au sein du couple.
Libération
(...) un film étrange et splendide, magnifiquement déroutant.
Transfuge
On cherchait PTA, le voici tout entier dans cette aptitude à perturber la distribution attendue des mérites, des rôles, des pouvoirs. Mais une perspective simplement renversée ne suffit pas à ce cinéma dont la teneur baroque - ni emphatique, ni maniéré : baroque - éclate mieux encore dans cette forme classique.
Télérama
Accepter de s’oublier, au risque de se perdre : François Truffaut avait évoqué ces tourments, jadis, dans La Sirène du Mississippi. Paul Thomas Anderson les porte jusqu’à l’incandescence.
VSD
S’il fallait avaler des couleuvres psychédéliques pour en arriver à ce « Phantom thread » alors oui, le jeu en valait la chandelle. Car le huitième film d’Anderson est sans doute sa plus belle réussite. Son chef-d’œuvre, carrément.
Voici
Un psychodrame romantique élégant et retors, sur un amour fou, vénéneux et irréductible.
20 Minutes
Plus qu'un acteur, Daniel Day-Lewis est une véritable star. Il le prouve une nouvelle fois dans Phantom Thread.
Bande à part
Tyrannie, romance toxique, complexité d’une relation amoureuse disséquée dans cet univers ouaté et d’une élégance glaciale du luxe aristocratique… tout cela, Anderson l’aborde avec génie dans une mise en scène à couper le souffle de maîtrise et d’épure.
CNews
Incroyablement maîtrisé, ce drame nommé à six oscars souffre parfois de ses qualités : une tension aride dans un écrin à la puissance impénétrable.
Cahiers du Cinéma
Phantom Thread atteint sans doute sa limite dans cette façon d’envoyer des signaux contradictoires : le film est plus déstabilisant que bouleversant. Mais cette excentricité est aussi sa force : comme Reynolds Woodcock capitulant devant Alma, il faut se rendre à sa somptueuse étrangeté.
Femme Actuelle
Un drame romanesque d'une beauté époustouflante, porté sans aucun faux pli par Daniel Day-Lewis, bluffant.
L'Express
La mise en scène est somptueuse, portée par une belle élégance qui contraste avec la brutalité sous-jacente des rapports humains.
L'Humanité
Avec cette œuvre sur le sacerdoce de la mode, Anderson dépeint à nouveau une passion frôlant la folie – qui contraste parfaitement avec l’arrière-plan british, huppé et feutré. Une œuvre troublante portée par le comédien Daniel Day- Lewis, coutumier des rôles extrêmes.
Le Journal du Dimanche
Daniel Day-Lewis est tellement séduisant et troublant dans le costume chic d’un couturier anglais qui choisit une jeune serveuse comme muse et souffre-douleur. Une nouvelle nomination à l’oscar, et une preuve supplémentaire qu’il est peut-être le meilleur acteur du monde...
Première
Paul Thomas Anderson se délocalise à Londres dans les années 50, chez un grand couturier de la haute société. Sublime.
Rolling Stone
Paul Thomas Anderson y côtoie ici les étoiles, dans un ballet Viscontien de toute beauté où Daniel Day-Lewis brille en majesté.
Sud Ouest
Daniel Day-Lewis interprète un maître des élégances, tout en jeux de miroirs, bouleversé par son modèle. Le cinéaste Paul Thomas Anderson tisse magistralement le fil invisible du bâti amoureux.
Télé Loisirs
Cette romance aussi élégante qu'extravagante tourne alors à l'affrontement psychologique entre un tyran obsessionnel et sa muse insoumise. Grinçant.
aVoir-aLire.com
Daniel Day-Lewis fait preuve d’un charisme irrésistible, magnifié par une mise en scène très stylisée signée par Paul Thomas Anderson. Comme souvent, le réalisateur a de plus su faire de ces apparats académiques le support à un récit bien plus transgressif.
La Septième Obsession
Confinée dans des intérieurs oppressants, dignes du Joseph Losey de "The Servant" (1964), la mise en scène exacerbe cette triangulation amoureuse jusqu’au transfert.
Télé 7 Jours
Un film élégant et subtil (...).
CinemaTeaser
Complaisant, le film se termine là où il aurait sans doute dû commencer.
Les Inrockuptibles
Un possible autoportrait de l’artiste en démiurge, hélas plombé par un formalisme redondant et rigide.