Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
On le savait, Julie Bertuccelli est une grande documentariste. (...) Mais ce qu'elle réussit à donner, à transmettre, avec "Dernières nouvelles du Cosmos", tient de la révélation.
Positif
par Emmanuel Raspiengeas
Après "Homeland, Irak Année Zéro" d'Abbas Fahdel, et "Fuocoammare" de Gianfranco Rosi, le documentaire s'enrichit à nouveau en 2016 d'une pierre magnifiquement ouvragée, où la forme brute, sans afféteries du métrage (...), permet à une exploration intime d'atteindre à l'universalité d'un regard porté sur le visage d'un enfant.
Transfuge
par Ilan Malka
Ce film est l'écho de son enthousiasmée, enthousiasmante, contagieuse fascination.
Bande à part
par Isabelle Danel
Hélène/Babouillec nous donne à voir son combat et son sourire permanents. Et nous invite, mine de rien, à nous débarrasser de nos idées toutes faites et nous ouvrir aux autres.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Regarder et écouter Babouillec renvoie violemment à l’expérience du solipsisme, expérience commune dans quoi le cinéma lui aussi puise son pouvoir de fascination.
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
C’est bien dans cette tension entre le corps et l’âme, entre le visible et l’invisible, que réside tout le défi de ce beau documentaire. Celui-ci sait interroger les limites mêmes du filmique en s’intéressant à un individu hors norme, dont le corps ne serait qu’une geôle dissimulant l’essence.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Dépassant le simple cadre d’un film sur le handicap, ce documentaire est une superbe réflexion sur la création et la poésie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Face au portrait d’Hélène "Babouillec", filmé avec art par Julie Bertuccelli, toujours à bonne distance, le regard toujours juste, on ne se sent capable que de reprendre les mots de cette jeune femme proprement unique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
"Dernières nouvelles du cosmos" au titre énigmatique, s’appuie sur une idée de mise en scène féconde : donner à voir toute l’étrangeté de la condition d’artiste, ici métaphorisée par une autiste.
Le Monde
par Noémie Luciani
Au coeur du film, une scène bouleversante montre Babouillec face à Laurent Derobert, inventeur des « mathématiques existentielles » et grand habitué de concepts alambiqués, que l’on découvre tout intimidé, plein d’une révérence émue, comme s’il avait la conviction d’effleurer à travers elle la formule ultime pour dire l’Univers, à laquelle on n’arrive qu’en rêve.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une éblouissante expérience d’humanité.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une leçon de mise en scène (...).
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce n'est pas le premier documentaire de la cinéaste, et c'était l'occasion de bâtir avec ce portrait de femme poète, hors circuit, un long-métrage passionnant. Il l'est.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L'Express
par Eric Libiot
Emouvant et frustrant, même si l'empathie finit par l'emporter.
La Croix
par Marie Soyeux
Le film manque de structure, d’appuis. Il sonne juste lorsqu’il reconnaît et accepte ces limites, moins lorsqu’il tâche d’y remédier – en prenant pour canevas la création de la pièce Forbidden di Sporgersi (2) de Pierre Meunier et Marguerite Bordat au festival d’Avignon, d’après le texte Algorithme éponyme de Babouillec.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Julie Bertuccelli a suivi seule, pendant deux ans, Hélène, autiste et artiste tout à la fois ; sa caméra, discrète, attentive, fait pénétrer à l’intérieur d’un monde inconnu : un vrai cosmos, étrange et fascinant.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
La réalisatrice Julie Bertuccelli (« la Cour de Babel »...) a consacré deux ans à suivre celle qui s'est rebaptisée Babouillec SP (sans parole). Un livre, « Algorithme éponyme » (Payot, Rivages), signé de cette Terrestre extra, accompagne ce film qui aurait mieux trouvé sa place à la télévision.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce film incite à transcender le superficiel pour explorer les tréfonds du monde sensible et même les énigmes du cosmos, leitmotiv de Babouillec, plus vastes et polymorphes qu'on le pense.
Télérama
par Frédéric Strauss
Du côté de la sphère privée, le rôle de la mère et celui du metteur en scène Pierre Meunier, qui semble un père, sont évoqués superficiellement. Frustrant, le film réussit pourtant l'essentiel : une rencontre a lieu, autant avec Hélène Nicolas qu'avec son double Babouillec.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marianne
On le savait, Julie Bertuccelli est une grande documentariste. (...) Mais ce qu'elle réussit à donner, à transmettre, avec "Dernières nouvelles du Cosmos", tient de la révélation.
Positif
Après "Homeland, Irak Année Zéro" d'Abbas Fahdel, et "Fuocoammare" de Gianfranco Rosi, le documentaire s'enrichit à nouveau en 2016 d'une pierre magnifiquement ouvragée, où la forme brute, sans afféteries du métrage (...), permet à une exploration intime d'atteindre à l'universalité d'un regard porté sur le visage d'un enfant.
Transfuge
Ce film est l'écho de son enthousiasmée, enthousiasmante, contagieuse fascination.
Bande à part
Hélène/Babouillec nous donne à voir son combat et son sourire permanents. Et nous invite, mine de rien, à nous débarrasser de nos idées toutes faites et nous ouvrir aux autres.
Cahiers du Cinéma
Regarder et écouter Babouillec renvoie violemment à l’expérience du solipsisme, expérience commune dans quoi le cinéma lui aussi puise son pouvoir de fascination.
Critikat.com
C’est bien dans cette tension entre le corps et l’âme, entre le visible et l’invisible, que réside tout le défi de ce beau documentaire. Celui-ci sait interroger les limites mêmes du filmique en s’intéressant à un individu hors norme, dont le corps ne serait qu’une geôle dissimulant l’essence.
L'Humanité
Dépassant le simple cadre d’un film sur le handicap, ce documentaire est une superbe réflexion sur la création et la poésie.
L'Obs
Face au portrait d’Hélène "Babouillec", filmé avec art par Julie Bertuccelli, toujours à bonne distance, le regard toujours juste, on ne se sent capable que de reprendre les mots de cette jeune femme proprement unique.
La Septième Obsession
"Dernières nouvelles du cosmos" au titre énigmatique, s’appuie sur une idée de mise en scène féconde : donner à voir toute l’étrangeté de la condition d’artiste, ici métaphorisée par une autiste.
Le Monde
Au coeur du film, une scène bouleversante montre Babouillec face à Laurent Derobert, inventeur des « mathématiques existentielles » et grand habitué de concepts alambiqués, que l’on découvre tout intimidé, plein d’une révérence émue, comme s’il avait la conviction d’effleurer à travers elle la formule ultime pour dire l’Univers, à laquelle on n’arrive qu’en rêve.
Les Fiches du Cinéma
Une éblouissante expérience d’humanité.
Studio Ciné Live
Une leçon de mise en scène (...).
Sud Ouest
Ce n'est pas le premier documentaire de la cinéaste, et c'était l'occasion de bâtir avec ce portrait de femme poète, hors circuit, un long-métrage passionnant. Il l'est.
L'Express
Emouvant et frustrant, même si l'empathie finit par l'emporter.
La Croix
Le film manque de structure, d’appuis. Il sonne juste lorsqu’il reconnaît et accepte ces limites, moins lorsqu’il tâche d’y remédier – en prenant pour canevas la création de la pièce Forbidden di Sporgersi (2) de Pierre Meunier et Marguerite Bordat au festival d’Avignon, d’après le texte Algorithme éponyme de Babouillec.
Le Dauphiné Libéré
Julie Bertuccelli a suivi seule, pendant deux ans, Hélène, autiste et artiste tout à la fois ; sa caméra, discrète, attentive, fait pénétrer à l’intérieur d’un monde inconnu : un vrai cosmos, étrange et fascinant.
Le Parisien
La réalisatrice Julie Bertuccelli (« la Cour de Babel »...) a consacré deux ans à suivre celle qui s'est rebaptisée Babouillec SP (sans parole). Un livre, « Algorithme éponyme » (Payot, Rivages), signé de cette Terrestre extra, accompagne ce film qui aurait mieux trouvé sa place à la télévision.
Les Inrockuptibles
Ce film incite à transcender le superficiel pour explorer les tréfonds du monde sensible et même les énigmes du cosmos, leitmotiv de Babouillec, plus vastes et polymorphes qu'on le pense.
Télérama
Du côté de la sphère privée, le rôle de la mère et celui du metteur en scène Pierre Meunier, qui semble un père, sont évoqués superficiellement. Frustrant, le film réussit pourtant l'essentiel : une rencontre a lieu, autant avec Hélène Nicolas qu'avec son double Babouillec.