Derniers Avis : Telle Mère, Telle Fille - Page 13

Super Comédie, drôle, émouvant, ryhtmé. On a passé un vrai bon moment avec ce trio magnifique. Je recommande !

Très bon moment, comédie efficace comme on les aime et histoire bien ficelée.
Le duo Cottin / Binoche marche à merveille et les rôles masculins sont brillamment portés par Lambert Wilson que l'on apprécie toujours et Michaël Dichter que l'on découvre avec le plus grand plaisir.

Noémie Saglio s'était brillamment sorti d'une épreuve très difficile : adapter le format (très) court de Connasse en un long métrage. Bizarrement, elle échoue dans le format traditionnel de la comédie à la Française. Telle mère telle fille est sans rythme, et fourmille de situations clichés qui auraient pu être suggérées par un collégien apprenti scénariste. Juliette Binoche nous régale encore une fois en s'amusant, après sa merveilleuse interprétation dans Ma Loute.

Voilà une fort sympathique comédie amusante, drôle, distrayante.
Cette histoire distrait comme il le faut, amuse énormément, fait bien rire et on se détend agréablement.
On passe un agréable moment de divertissement.
Ce film change les idées et met de bonne humeur.
Petite mention au gentil petit chien "JP".

Tres bon film plein d'humour.
Je suis en mec de 13 ans et j'ai adoré (comme quoi c'est pas que pour les meuf).
Je recommande pour tous.

Les comédies françaises pleuvent sur les écrans, des plus médiocres (« Alibi. com ») aux plus réussies (« Il a déjà tes yeux ») et cette offre surabondante entraîne des ratés au box-office (« Ah si j’étais un homme ») comme des cartons (« Raid Dingue » et malheureusement « Alibi. com »). Il est donc décevant de voir que l’une d’entre elles avec un postulat de base simple mais à priori efficace et excitant, assorti d’un si joli casting, aboutisse à un résultat si décevant et plat.

Pourtant ça débutait bien. La mise en place est savoureuse et propose des seconds rôles bien calés de Lambert Wilson en père moderne et attachant à Catherine Jacob qui fait ce qu’elle sait faire de mieux, la bourgeoise coincée, en passant par le petit nouveau Michaël Dichter, attachant en copain mollasson. Le rythme est bien là et « Telle mère telle fille » a le bon goût de ne pas s’éterniser pour ne pas perdre son public. Quelques gags sont bons et on rit de bon cœur à certaines répliques laissant augurer d’une comédie tous publics sympathique et dans l’air du temps.

Cependant, plus le film avance, plus la relative bonne impression de la première moitié part en fumée et on se rend compte que Noémie Saglio n’arrive pas à exploiter pleinement l’excellent sujet qu’elle a entre les mains. Le film se traîne, ne raconte plus grand-chose et les occasions de rire se font de plus en plus rares. De plus, certaines séquences s’avèrent vraiment poussives et au final agaçantes plutôt que distrayantes. Camille Cottin qui va sur le toit de la maison de ses beaux-parents enceinte jusqu’au nez n’a ni queue ni tête par exemple.

Et c’est dommage de le dire, mais ce duo de choc sur le papier composé de Camille Cottin et Juliette Binoche ne tient pas vraiment ses promesses. La première en fait beaucoup trop plus le film avance au point de ne plus faire rire quant à la seconde n’en fait peut-être pas assez et ne laisse pas aller son potentiel comique à son maximum. Du coup cette comédie générationnelle donne la désagréable impression de ne pas exploiter toutes les possibilités et les occasions de rire qu’une telle situation laissait présager. Elle choisit parfois même la lourdeur et un comique un peu outrancier. Pas totalement mauvais, mais à moitié raté.

Une comédie réussie sur un thème original, servi par une très belle brochette d'acteurs, notamment Lambert Wilson et Juliette Binoche qui sont parfaits dans leur rôle de parents irresponsables...

Tout est raté dans cette poussive et éprouvante comédie. De l'affiche, énième resucée de celle de "Pretty woman" au générique de fin et ses deux scènes ringardes intercalées, rien ne fonctionne dans " Telle mère, telle fille".
Honnêtement, et malgré l'horrible " Connasse " précédent long métrage de Noémie Saglio, j'avais vraiment envie de voir Camille Cottin qui depuis "10 %" et " Cigarettes et chocolat chaud" avait acquis une vraie crédibilité d'actrice au registre plus étendue que prévu, confrontée à Juliette Binoche continuant après " Ma loute" à s'éclater dans la comédie. Bizarrement, dès le générique, on sent le ratage. Le split screen employé pour filmer le scooter rose de Juliette Binoche zigzaguant dans Paris, rappelle un montage de clip pauvret des années 90. Et ce n'est pas la musique peu inspirée de M accompagnant le tout qui apporte le moindre dynamisme malgré des guitares saturées et des graves à faire trembler les fauteuils...
Après, que dire ? Que rien ne fonctionne malgré une idée de départ improbable mais qui aurait pu faire son effet ( et que je ne prends même pas la peine de la résumer, tout est dit sur l'affiche). Que Juliette Binoche a beau agiter une belle chevelure blonde dans tous les sens avec un beau sourire, elle n'arrive pas à camoufler l'indigence du scénario ou l'incroyable débilité de certaines scènes. Que Camille Cottin, entre hystérique et femme fragile n'a aucun dialogue piquant ou drôle à débiter. Qu'il y a tellement peu de rythme que le spectateur guette avec impatience qu'elles perdent enfin les eaux pour qu'arrive la délivrance.
La fin sur le blog

Un superbe moment passé avec maman ! La relation mère/fille est aussi touchante que drôle, je le conseil vivement si vous avez envie de passer un bon moment(entre filles !!!! :) :) mais pas que! Les personnages masculins sont tendres à l'image de la découverte de Michaël Dichter (le mari de Camille Cottin) !! Girl power !!!!!

très drôle, très rythmé, une super musique... un très bon moment à passer en famille ou avec des amis

Qu'il est agréable de rire par les temps qui courent! Les acteurs sont formidables. Le chien Jean-poil est vraiment marrant. Il y a du rire, de l'émotion, bref un joli moment de cinéma.

"Telle mère, telle fille" est une comédie française à ranger dans la catégorie "avec du potentiel mais terriblement raté"... Encore une comédie française, jamais dans l'abus ces producteurs français, à croire que les subventions tombent du ciel tellement il y a de film comiques français qui sortent chaque année. J'avoue que j'apprécie nombre d'entre elles même si elles ne sont, pour la plupart, pas mémorables. Puis il y a en a quelques-unes, comme ce film porté par Camille Cottin et Juliette Binoche...

En écrivant cette critique deux mois et demi après avoir vu le film, je me rends compte à quel point ce film aurait pu être bon... mais je me rends compte à quel point il est mauvais car il manque tous les éléments techniques et artistiques qui servent les films en fond (musiques, décors, photographie, réalisation).

Alors tout d'abord les maigres points positifs, il y en a peu mais il y en a quelques-uns qui sauvent le film d'un naufrage complet : quelques moments qui font sourire, un bon casting en général et une idée qui est à la base plutôt sympathique.
Il y a pas mal de scènes qui prêtent à rire (plutôt logique pour une comédie), certaines sont efficaces comme les révélations de la grossesse de la mère, le repas de Noël, les crises de nerfs entre mère et fille ou encore les apparitions de Lambert Wilson mais à chaque apparition de Michaël Dichter (pourquoi a-t-il le même prénom que moi?...) qui incarne Louis, le conjoint d'Avril, il gâche TOUTES les scènes. Il est insupportable, antipathique, il sur-joue de bout en bout... Il sert de ressort comique mais c'est raté, il fait sombrer le film peu à peu. Il est tellement dans l'excès que ça en devient pathétique.
Cela me permet donc d'enchaîner avec le casting. Donc comme vous l'auriez compris, Michaël Dichter est très mauvais mais quand on regarde dans le tas, c'est pourtant plus que correct. Lambert Wilson (Marc) est égal à lui-même et même si son personnage est vu et revu il joue correctement, Camille Cottin (Avril) est elle aussi excellente comme d'habitude, elle est crédible dans ses coups de gueule et joue avec une grande sensibilité. Et pour finir, Juliette Binoche (Mado). Même si son jeu est correct, ça bloque. Ça bloque car à l'inverse de Camille Cottin, Juliette Binoche ne procure à aucun moment de la crédibilité dans son rôle de mère complètement à côté de la plaque. Ça n'est pas faute d'avoir essayé mais la sauce n'a jamais pris de son côté. Pourtant, on ne peut pas dire que je bloque avec l'actrice car le même jour sortait un autre film dans laquelle elle incarnait un rôle tout à fait différent, celui du Docteur Ouelet dans "Ghost in the Shell" où elle était tout simplement parfaite. Il y a aussi un problème de crédibilité : qui peut croire que Camille Cottin puisse être la fille de Juliette Binoche dans le film ? Elles ne se ressemblent pas physiquement mais au-delà de ça, elles ne se respectent quasiment pas et la situation dans laquelle se trouve Mado rend encore moins la relation et son personnage crédible.
Pour finir, un petit mot sur l'intrigue. À la base l'idée sur le papier était très sympathique et jamais encore traitée dans un film. Une mère enceinte en même temps que son premier enfant qui a la quarantaine, il fallait oser ! Hélas, l'idée originale sur le papier est très mal développée et l'ennui s'installe au bout des quarante-cinq premières minutes. C'est-à-dire qu'au bout d'un moment, passé la révélation des deux grossesses qui se passeront donc en même temps et la surprise suite à la révélation de Mado, le concept s'essouffle et ne propose rien pour renouveler et insuffler de nouvelles péripéties intéressantes à travers le film. Le film se relève un peu lors des vingts dernières minutes lorsque un enjeu dramatique apparaît mais sinon c'est carrément le vide intersidéral au niveau du scénario. Il y avait beaucoup de choses à traiter sans tomber dans les clichés, comme par exemple essayer coûte que coûte de responsabiliser Mado car elle va accueillir une nouvelle venue dans la famille. Mais non, on préfère les clichés hein, les prises de tête et tout ce qui va avec...

Pour en revenir aux points artistiques et techniques énoncés au début de la critique, c'est du basique quoi. Une réalisation peu inspirée enchaînant les champs/contre-champs sans arrêt, une bande originale plutôt sympathique mais répétitive et épuisante au final, un scénario qui se révèle vide et banal, des nombreuses longueurs... Dommage, l'idée originale aurait mérité un autre traitement. Il y a quelques bonnes choses qui sauvent le film d'un naufrage complet, film qui d'ailleurs n'est pas désagréable pour autant (d'où ma note) mais est terriblement décevant.

Les films avec Camille Cottin sont pourtant très sympathiques et drôles mais là ça ne passe pas et pourtant c'est toujours la réalisatrice Noémie Saglio qui est aux commandes de sa série "Connasse" et de ses films. Il faudrait peut-être se remettre en question pour le prochain film, à la recherche d'originalité au niveau de la mise en scène et à l'approfondissement du scénario ? Certes la série fonctionne très bien (tellement drôle !) mais un film se doit d'avoir un scénario un peu plus épais et plus développé. Dommage...

4/10

Beaucoup de rires pendant le dernier film de Noemie Saglio. C'est tres drôle et le sujet est traité avec beaucoup de finesse. A voir absolument!

Film drôle, émouvant et juste ! Camille Cottin est géniale dans le role d'un nez qui lui sied à merveille et Juliette Binoche est parfaite dans celui d'une mère adolescente.
A voir !

Si vous aimez voir des familles farfelues comme le sont souvent les notres, allez-y ! Je me suis retrouvé à plein de moments. Les beaux-parents sont géniaux, dans le sens de "vrillé" (n'y allez donc pas avec vos beau-parents, le copain ou la copine suffit) En tout cas le duo des comédiennes est très touchant. C'est pas du "freres farelly", cela ressemble plus à du Judd Apatow (40 ans mode d'emploi and co). J'aime les comédies qui allient le "loufoque" et les beaux sentiments. Et là, on est servit. On repars avec ces personnages qu'on aimerait croiser dans la rue. Et pour celles et ceux qui ont vécu une grossesse, c'est bourré de clins d'oeil qui rappelleront certainement des choses à certain(e)s.