AlloCiné
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Votre avis sur Telle Mère, Telle Fille ?
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Quel ennui ! Ce film est tout simplement affligeant !
A voir la distribution, on pouvait espérer nettement mieux !
En premier lieu, je constate une erreur casting ; en effet et dès le début, on n’y croit pas et j’avoue que j’ai été très tenté de quitter la salle dès les premières scènes : J. Binoche surjoue, ne s’avérant pas crédible, et C. Cottin n’en fait pas assez. La rencontre de ces deux actrices ne fonctionne pas du tout.
Dans un second rôle plutôt alimentaire, Wilson fait du Wilson et tire difficilement son épingle du jeu. …
En revanche, la bande son, essentiellement composée par M, est intéressante.
Pour autant, tout ça ne fait pas un film et les quelques gags, souvent balourds, plus ou moins bien répartis, ne sauvent pas un scénario convenu et limite absurde.
Pour ma part je vais m’efforcer d’oublier rapidement ce film qui, à mon sens, fera tâche dans la carrière des unes et des autres.
A voir la distribution, on pouvait espérer nettement mieux !
En premier lieu, je constate une erreur casting ; en effet et dès le début, on n’y croit pas et j’avoue que j’ai été très tenté de quitter la salle dès les premières scènes : J. Binoche surjoue, ne s’avérant pas crédible, et C. Cottin n’en fait pas assez. La rencontre de ces deux actrices ne fonctionne pas du tout.
Dans un second rôle plutôt alimentaire, Wilson fait du Wilson et tire difficilement son épingle du jeu. …
En revanche, la bande son, essentiellement composée par M, est intéressante.
Pour autant, tout ça ne fait pas un film et les quelques gags, souvent balourds, plus ou moins bien répartis, ne sauvent pas un scénario convenu et limite absurde.
Pour ma part je vais m’efforcer d’oublier rapidement ce film qui, à mon sens, fera tâche dans la carrière des unes et des autres.
Je n'ai pas aimé du tout. Je me suis ennuyé pendant tout le film. Pratiquement aucun moment où j'ai rigolé. Sinon Juliette Binoche et Lambert WILSON jouent bien, histoire intéressante mais film sensé faire rire mais dans la salle juste une femme rigolait, le reste comme moi s'ennuyait. Chacun ses goûts.
Pfff... Quel ennuie mortel.
Une comédie beaucoup trop classique, du vu et revu, digne d'un téléfilm de l'après-midi malgré un beau casting.
J'ai du sourire à 2 ou 3 reprise ce qui est bien maigre pour une comédie.
1h30 qui en paraisse le double, j'ai failli m'endormir plusieurs fois.
Non vraiment pour moi c'est raté.
Une comédie beaucoup trop classique, du vu et revu, digne d'un téléfilm de l'après-midi malgré un beau casting.
J'ai du sourire à 2 ou 3 reprise ce qui est bien maigre pour une comédie.
1h30 qui en paraisse le double, j'ai failli m'endormir plusieurs fois.
Non vraiment pour moi c'est raté.
Fêtons le cinéma
Le film semble avoir été tourné à l’improviste en quelques jours, le scénario écrit sur un timbre-poste, les acteurs non-dirigés. Ici les pires clichés côtoient les pires retournements qu’une linéarité dramatique peut réserver, associés bien entendu à une musique faussement dynamique faite de trois notes d’une pauvreté terrifiante. La mise en scène n'existe pas, le cadrage frôle l'amateurisme, l'éclairage fait pitié. Drôle, le métrage ne l’est que trop rarement – une scène de table en famille, et encore –, juste, jamais. Rien de cinématographique là-dedans, juste un enchaînement de scénettes ratées et menées sans âme à grands coups de vulgarités en-dessous de la ceinture. Telle mère telle fille, double fausse couche pour vrai ratage.
sympa et pas vulgaire c'est déjà ça . une jolie comédie , le plus intéressant c'est le contre emploi de juliette Binoche . on ne s'esclaffe pas mais il y a de bons moment , c'est une agréable divertissement qui ne demande rien d'autre que de faire passer deux heures sans se creuser la cervelle, de temps en temps ça a du bon.
Camille Cottin incarne Avril, une femme vivant avec son conjoint et hébergeant sa mère, sans revenus et profondément immature interprétée par Juliette Binoche. Lorsqu'Avril annonce être enceinte de deux mois, sa mère vit mal cette nouvelle.
J'ai trouvé l'histoire plutôt originale et certains passages sont drôles, surtout à travers les personnalités des personnages et leurs réactions, caricaturales mais assumées. Bien que certains passages demeurent simplistes et plutôt prévisibles dans l'ensemble, j'ai passé un agréable moment.
J'ai trouvé l'histoire plutôt originale et certains passages sont drôles, surtout à travers les personnalités des personnages et leurs réactions, caricaturales mais assumées. Bien que certains passages demeurent simplistes et plutôt prévisibles dans l'ensemble, j'ai passé un agréable moment.
Sylvain P
Noémie Saglio s'était brillamment sorti d'une épreuve très difficile : adapter le format (très) court de Connasse en un long métrage. Bizarrement, elle échoue dans le format traditionnel de la comédie à la Française. Telle mère telle fille est sans rythme, et fourmille de situations clichés qui auraient pu être suggérées par un collégien apprenti scénariste. Juliette Binoche nous régale encore une fois en s'amusant, après sa merveilleuse interprétation dans Ma Loute.
Noémie Saglio, visage de l’ombre à l’origine de « Connasse », nous offre « Telle mère, telle fille », une comédie légère, toujours aux côtés de Camille Cottin.
Dans une écriture dynamique et sans répit, la mère et la fille cohabitent dans un conflit générationnel contraire : Avril est devenue la maman de sa maman, Mado, une véritable adulescente dépendante de sa fille.
Ces premières bases renvoient à un « Tanguy » inversé, une situation cocasse qui semble convenir à tout le monde. Mais il faut tout de même un détail pour que tout bascule : la mère et la fille vont tomber enceinte… En même temps !
Assez inhabituel de la retrouver dans un ce type de format voué à la comédie populaire, Juliette Binoche incarne une quadrado complètement barré. T-shirt Metallica, scooter rose bonbon et chewing-gum constamment en bouche, elle boit, fume, fait la fête dans une inconscience dérisoire et incontrôlable.
Camille Cottin quant à elle, interprète Avril. Sa grossesse est le point d’encrage qui définit la chronologie du film et qui, par la même occasion, expose un talent d’artiste confirmé notamment sur deux scènes particulières : La première étant un monologue du personnage dépassé par la situation. A mourir de rire. La seconde se situe dans le cadre professionnel et expose les excès émotionnels de la grossesse. L’actrice simule des larmes de crocodiles plus vrais que nature et pas qu’une fois.
La distribution des personnages secondaires est sûrement la cerise sur le gâteau : Louis, par Michaël Dichter, joue une mari fainéant peu investi, Lambert Wilson en père divorcé rock’n’roll, Catherine Jacob incarne la belle-mère dépressive et même Olivia Côte, patronne d’Avril, parvient à être savoureuse malgré de petites apparitions. Des personnages plus haut en couleurs les uns que les autres entrelacés de traits caricaturaux, mais peu importe ça marche !
Aussi, le métrage vit au rythme constant d’une bande-son minutieusement composée de chansons populaires folk, rock, très rythmée et purement française. Un point qui offre à cette comédie délirante une dynamique sans limites.
Bilan : « Telle mère, telle fille », l’histoire rocambolesque d’un baby-boom familial avec un duo Binoche/Cottin sans filtre et plein de charme.
La critique complète et bien plus encore : Cinephilion.com
Dans une écriture dynamique et sans répit, la mère et la fille cohabitent dans un conflit générationnel contraire : Avril est devenue la maman de sa maman, Mado, une véritable adulescente dépendante de sa fille.
Ces premières bases renvoient à un « Tanguy » inversé, une situation cocasse qui semble convenir à tout le monde. Mais il faut tout de même un détail pour que tout bascule : la mère et la fille vont tomber enceinte… En même temps !
Assez inhabituel de la retrouver dans un ce type de format voué à la comédie populaire, Juliette Binoche incarne une quadrado complètement barré. T-shirt Metallica, scooter rose bonbon et chewing-gum constamment en bouche, elle boit, fume, fait la fête dans une inconscience dérisoire et incontrôlable.
Camille Cottin quant à elle, interprète Avril. Sa grossesse est le point d’encrage qui définit la chronologie du film et qui, par la même occasion, expose un talent d’artiste confirmé notamment sur deux scènes particulières : La première étant un monologue du personnage dépassé par la situation. A mourir de rire. La seconde se situe dans le cadre professionnel et expose les excès émotionnels de la grossesse. L’actrice simule des larmes de crocodiles plus vrais que nature et pas qu’une fois.
La distribution des personnages secondaires est sûrement la cerise sur le gâteau : Louis, par Michaël Dichter, joue une mari fainéant peu investi, Lambert Wilson en père divorcé rock’n’roll, Catherine Jacob incarne la belle-mère dépressive et même Olivia Côte, patronne d’Avril, parvient à être savoureuse malgré de petites apparitions. Des personnages plus haut en couleurs les uns que les autres entrelacés de traits caricaturaux, mais peu importe ça marche !
Aussi, le métrage vit au rythme constant d’une bande-son minutieusement composée de chansons populaires folk, rock, très rythmée et purement française. Un point qui offre à cette comédie délirante une dynamique sans limites.
Bilan : « Telle mère, telle fille », l’histoire rocambolesque d’un baby-boom familial avec un duo Binoche/Cottin sans filtre et plein de charme.
La critique complète et bien plus encore : Cinephilion.com
Film gentillet, qui ne me laissera pas un souvenir impérissable mais que j'ai suivi malgré tout avec plaisir. Les deux actrices sont excellentes et forment un duo mère/fille amusant. quant à Lambert Wilson, il est charmant et encore très beau mec, si vraiment c'est son corps, superbe ! A voir pour passer un moment de divertissement agréable !
ffred
Pour ma comédie vidage de tête d'après boulot du samedi, je me suis tourné, un peu à contre-coeur (comme presque toutes les comédies françaises me diriez vous…) vers ce Telle mère, telle fille. Uniquement attiré, il faut bien le dire, par Juliette Binoche (et Camille Cottin un peu aussi). J’ai failli faire demi-tour quand j’ai vu que c’était la sans talent Noémie Saglio qui était aux commandes. Connasse pouvait encore passer, mais elle nous a surtout commis le très homophobe et détestable Toute première fois. Niveau mise en scène, on est dans le même registre ici, c’est à dire niveau zéro. Le scénario ne vole pas plus haut. C’est rarement drôle. L'abattage des acteurs...
une comédie poussive pas vraiment drôle sans véritable
originalité seul point positif la musique de M tout le long du film.
originalité seul point positif la musique de M tout le long du film.
tony-76
Noémie Saglio retrouve Camille Cottin dans lequel elle avait réalisé le film Connasse et celle-ci revient pour Telle mère, telle fille. L'idée de voir une trentenaire (Cottin) et sa propre mère (Binoche) plus adolescente qu'elle être enceinte en même temps (heureusement de deux pères différents) s'avère un bon potentiel afin de créer une surprise agréable. Et la réflexion sur le regard de la femme à savoir la peur de vieillir, la nécessité de passer à l'âge adulte également. Mais le long-métrage reste superficiel, assez poussif et banal ! L'émotion n'est pas vraiment au rendez-vous, ou bien c'est qu'alors on ne l'a pas vu contrairement à l'ancienne réalisation de la cinéaste - Toute première fois - qui elle, avait de l'audace et qui était plus sentie dans son propos. La musique légère et inspirée de Mathieu Chédid (alias -M-) ne change rien dans Telle mère, telle fille... Les gags faciles, souvent inégaux et peu cocasses ratissent larges car les engueulades sont omniprésentes et on s'entête trop sur les calembours de type premier degré ! Noémie Saglio veut en faire trop pour impressionner et cela est vite redondant. Heureusement, le casting est sympathique ! Pour une rare fois que Juliette Binoche trouve un rôle humoristique, avec ses mimiques qui trouve le ton supportable. Loin des blockbusters américains ! Lambert Wilson offre quelques moments plaisants à l'ensemble de l'ouvrage. D'ailleurs, le duo qu'il forme avec Binoche est exquis et l'interprète Wilson à suffisamment la classe pour laisser agir son charisme. Camille Cottin en fait des tonnes dans cette comédie qui est à bout de force... Et les apparitions de Catherine Jacob et de Charlie Dupont ne viennent pas sauver les meubles... Malgré leurs présences mais celle de Jean-Luc Bideau est bien exécutée, qui rappelle clairement la série H. Donc, Telle mère, telle fille est une comédie française convenue qui fait le minimum syndical... Pas assez d'impact dans ses dialogues pour rendre le film très drôle et très divertissant.
Un sujet sympa et original, un casting génial pour une comédie décevante. Le film de Noémie Saglio manque effectivement de rythme et les gags sont rarement hilarants. Dommage car les comédiens semblent prendre du plaisir et sont convaincants (même si le fait de donner à Jean-Luc Bideau un rôle proche de celui du Professeur Strauss dans la série H devient de fait trop facile) et que le sujet aurait pu donner un résultat délirant.
Avril et Louis vivent le parfait amour dans leur appartement parisien. Elle est nez pour une marque de lessive et lui se prépare à finir sa thèse. Seul ombre au tableau : la mère d'Avril qui vit avec eux depuis maintenant 10 ans et qui ne semble pas prête à partir. Sans emploi et dépendant totalement de sa fille, cette dernière ne semble pas prête à retrouver son indépendance et semble même abuser de son statut. Un statut quo que va remettre en cause le bébé qu'attend Avril. Encore plus lorsque cette dernière découvre que sa mère est également enceinte, qui plus est de son père alors que ces derniers sont séparés depuis de longues années !
Comédie humoristique jouant principalement sur la relation mère fille entre Camille Cottin et Juliette Binoche, Telle mère telle fille semble être finalement une thérapie de couple collective nécessaire pour chacun des binômes mis en situation. Que ce soit la belle famille, les parents ou le couple, chacun semble avoir une relation quelque peu particulière avec l'autre. Une situation qui est encore plus mis en exergue à l'annonce de l'heureuse nouvelle, et encore plus accentué lorsque cette heureuse nouvelle s'étend également à la mère d'Avril. Même le gynécologue familial finit par ne pas y échapper !
Comédie par et pour les femmes, Telle mère telle fille devrait trouver son public mais ne s'adresse pas forcément à la cible masculine. Loin d'être drôle tout du long, certaines scènes sont cependant totalement loufoques et inattendues (notamment avec le chien, Jean-Poil de son prénom). Enfin, bien que le trio...
Comédie humoristique jouant principalement sur la relation mère fille entre Camille Cottin et Juliette Binoche, Telle mère telle fille semble être finalement une thérapie de couple collective nécessaire pour chacun des binômes mis en situation. Que ce soit la belle famille, les parents ou le couple, chacun semble avoir une relation quelque peu particulière avec l'autre. Une situation qui est encore plus mis en exergue à l'annonce de l'heureuse nouvelle, et encore plus accentué lorsque cette heureuse nouvelle s'étend également à la mère d'Avril. Même le gynécologue familial finit par ne pas y échapper !
Comédie par et pour les femmes, Telle mère telle fille devrait trouver son public mais ne s'adresse pas forcément à la cible masculine. Loin d'être drôle tout du long, certaines scènes sont cependant totalement loufoques et inattendues (notamment avec le chien, Jean-Poil de son prénom). Enfin, bien que le trio...
Je suis allée voir ce film en espérant me détendre. Ca se laisse voir mais sans plus. Il manque la petite étincelle. J ai bien aimé Lambert Wilson par contre. C est le seul digne d être appelé acteur.😉
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