Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie surprend constamment par sa liberté de ton et son originalité autour d’un personnage de crétin flamboyant auquel François Damiens apporte autant de talent que d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
S’il peut laisser quelques spectateurs circonspects, ce projet atypique, donnant lieu à des scènes cocasses, déclenchera une vague de fous rires.
Closer
par La Rédaction
Entièrement filmé en caméra cachée, ce premier long métrage de François Damiens donne forcément lieu à des scènes exubérantes dignes de François l'embrouille !
Elle
par Nathalie Dupuis
Hilarant et bluffant.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Un bijou d'humour et d'absurde.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Si on n’échappe pas à des redondances dans l’installation de ce personnage délibérément caricatural, ne boudons pas notre plaisir : nous sommes en permanence ballottés entre le rire énorme et les épouvantables moments de gêne. Si ça, c'est pas du cinéma !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le premier film derrière la caméra de François Damiens, dont nombre de scènes sont tournées en caméra cachée, exercice où il excelle. Et rires garantis, non sans que l’émotion, sur le thème de la paternité, n’y ait aussi sa part.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film tendre et mordant, avec François Damiens à son meilleur.
Première
par Frédéric Foubert
"Mon Ket" est totalement hilarant.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
C'est précisément pour son côté de bric et de broc que "Mon Ket" est à la fois attachant et drôlissime.
Télé 2 semaines
par Emilie Leoni
Cocasse, irrévérencieux, irrésistible.
Télérama
par Samuel Douhaire
Comme dans tout film à sketchs, le résultat est inégal. (...) Mais les moments irrésistibles foisonnent : la virée dans un bureau de tabac, où Versavel-Damiens apprend à son enfant à fumer devant les clients perplexes, puis scandalisés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Avec « Mon Ket », sur les écrans ce mercredi, François Damiens revient à ses premières amours en tournant une fiction délirante... par le biais des caméras cachées. Le résultat est assez déconcertant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le résultat est irrésistible : l’acteur sans filet multiplie les provocations, comme acheter un paquet de cigarettes à son fils et lui apprendre à fumer devant les clientes outrées du bureau de tabac.
Positif
par Olivier De Bruyn
Alignement de saynètes, le film réserve des moments cocasses (...) mais, sur la durée d'un long métrage, s'abîme dans les répétitions et bute contre les limites de son dispositif.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Essayer de nous faire croire que toutes ses saynètes s’emboîtent dans un scénario cohérent n’est certainement pas le canular le plus élaboré de François Damiens. Ses impostures restent des vignettes amusantes : alors pourquoi ne pas se faire piéger pour en profiter ?
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le scénario est tenu par un fil conducteur assez usé, déclaration d'amour d'un père à son fils dont la singularité ne réussit pas à pallier une mièvre banalité, aux antipodes de l'insolence de quelques (rares) moments hilarants - tel celui de la rencontre de beaux-parents atterrés par leur futur gendre.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Pour son premier film en tant que réalisateur, François Damiens use du style qui a fait son succès, mais sans parvenir à convaincre.
Le Parisien
par Catherine Balle
On sourit parfois des réactions de ses interlocuteurs, comme celle de cette artiste qui explique à Damiens qu’elle ne peut pas discuter avec lui car elle est trop « raffinée ». Mais dans cette succession de sketches, certaines situations mettent mal à l’aise, tandis que d’autres sentent le déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Didier Péron
Le problème, c’est qu’au nom d’un principe de démocratie participative (même si c’est à l’insu de leur plein gré, puisque les gens ont quand même signé pour accepter de figurer à l’écran), rien ni personne n’existe durablement, chassé par la logique du zapping et les limites du canular, laissant François Damiens tout seul pour boucler son tour de piste à multiples postiches et son numéro éculé de relou professionnel.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une série de saynètes où le comédien, incarnant un rustre grimé en Johnny Hallyday et imitant le franglais de Jean-Claude Van Damme, tente de choquer par ses excès immoraux. Indigeste.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Signe du plantage : le montage des prises non retenues sur le générique de fin, digest alternatif du film, est ce qu'il y a de plus réussi. Revoyez plutôt "le Grand Bluff", de Patrick Sébastien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Tout au long du film, la gêne le dispute à une question : comment toutes ces personnes ont-elles pu accepter de paraître dans un film de si mauvais goût ?
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Nathalie Simon
Tourné en caméra cachée, le film aligne des saynètes bancales. Raté.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
En l’embrouillant avec la fiction, François Damiens – ici tout en postiches et en prothèses dentaires – trahit complètement le dispositif qui l’a fait connaître...
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Cette comédie surprend constamment par sa liberté de ton et son originalité autour d’un personnage de crétin flamboyant auquel François Damiens apporte autant de talent que d’humanité.
CNews
S’il peut laisser quelques spectateurs circonspects, ce projet atypique, donnant lieu à des scènes cocasses, déclenchera une vague de fous rires.
Closer
Entièrement filmé en caméra cachée, ce premier long métrage de François Damiens donne forcément lieu à des scènes exubérantes dignes de François l'embrouille !
Elle
Hilarant et bluffant.
Femme Actuelle
Un bijou d'humour et d'absurde.
Franceinfo Culture
Si on n’échappe pas à des redondances dans l’installation de ce personnage délibérément caricatural, ne boudons pas notre plaisir : nous sommes en permanence ballottés entre le rire énorme et les épouvantables moments de gêne. Si ça, c'est pas du cinéma !
Le Dauphiné Libéré
Le premier film derrière la caméra de François Damiens, dont nombre de scènes sont tournées en caméra cachée, exercice où il excelle. Et rires garantis, non sans que l’émotion, sur le thème de la paternité, n’y ait aussi sa part.
Ouest France
Un film tendre et mordant, avec François Damiens à son meilleur.
Première
"Mon Ket" est totalement hilarant.
Studio Magazine
C'est précisément pour son côté de bric et de broc que "Mon Ket" est à la fois attachant et drôlissime.
Télé 2 semaines
Cocasse, irrévérencieux, irrésistible.
Télérama
Comme dans tout film à sketchs, le résultat est inégal. (...) Mais les moments irrésistibles foisonnent : la virée dans un bureau de tabac, où Versavel-Damiens apprend à son enfant à fumer devant les clients perplexes, puis scandalisés.
La Voix du Nord
Avec « Mon Ket », sur les écrans ce mercredi, François Damiens revient à ses premières amours en tournant une fiction délirante... par le biais des caméras cachées. Le résultat est assez déconcertant.
Le Journal du Dimanche
Le résultat est irrésistible : l’acteur sans filet multiplie les provocations, comme acheter un paquet de cigarettes à son fils et lui apprendre à fumer devant les clientes outrées du bureau de tabac.
Positif
Alignement de saynètes, le film réserve des moments cocasses (...) mais, sur la durée d'un long métrage, s'abîme dans les répétitions et bute contre les limites de son dispositif.
aVoir-aLire.com
Essayer de nous faire croire que toutes ses saynètes s’emboîtent dans un scénario cohérent n’est certainement pas le canular le plus élaboré de François Damiens. Ses impostures restent des vignettes amusantes : alors pourquoi ne pas se faire piéger pour en profiter ?
L'Express
Le scénario est tenu par un fil conducteur assez usé, déclaration d'amour d'un père à son fils dont la singularité ne réussit pas à pallier une mièvre banalité, aux antipodes de l'insolence de quelques (rares) moments hilarants - tel celui de la rencontre de beaux-parents atterrés par leur futur gendre.
Le Monde
Pour son premier film en tant que réalisateur, François Damiens use du style qui a fait son succès, mais sans parvenir à convaincre.
Le Parisien
On sourit parfois des réactions de ses interlocuteurs, comme celle de cette artiste qui explique à Damiens qu’elle ne peut pas discuter avec lui car elle est trop « raffinée ». Mais dans cette succession de sketches, certaines situations mettent mal à l’aise, tandis que d’autres sentent le déjà-vu.
Libération
Le problème, c’est qu’au nom d’un principe de démocratie participative (même si c’est à l’insu de leur plein gré, puisque les gens ont quand même signé pour accepter de figurer à l’écran), rien ni personne n’existe durablement, chassé par la logique du zapping et les limites du canular, laissant François Damiens tout seul pour boucler son tour de piste à multiples postiches et son numéro éculé de relou professionnel.
L'Humanité
Une série de saynètes où le comédien, incarnant un rustre grimé en Johnny Hallyday et imitant le franglais de Jean-Claude Van Damme, tente de choquer par ses excès immoraux. Indigeste.
L'Obs
Signe du plantage : le montage des prises non retenues sur le générique de fin, digest alternatif du film, est ce qu'il y a de plus réussi. Revoyez plutôt "le Grand Bluff", de Patrick Sébastien.
La Croix
Tout au long du film, la gêne le dispute à une question : comment toutes ces personnes ont-elles pu accepter de paraître dans un film de si mauvais goût ?
Le Figaro
Tourné en caméra cachée, le film aligne des saynètes bancales. Raté.
Les Inrockuptibles
En l’embrouillant avec la fiction, François Damiens – ici tout en postiches et en prothèses dentaires – trahit complètement le dispositif qui l’a fait connaître...