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32 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles signent ainsi avec Bacurau une grande fiction politique, dont la vitalité à toute épreuve est une vertu nécessaire pour affronter la monstruosité bien réelle de l'extrême droite contemporaine.
Libération
par Marius Chapuis
Une riposte excessive, hyperbolique et paillarde à la démesure des troubles et démons qui dévorent le corps social et politique brésilien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Célébrant les noces barbares du cinéma d'auteur brésilien, du western italien et de John Carpenter, ce film hors normes jongle avec les tonalités et les espaces pour créer une partie de cache-cache aussi sarcastique que sanglante.
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Quelque part entre "Mad Max", John Carpenter et le western à la Sam Peckinpah, "Bacurau" est une dystopie aussi réjouissante (le ton) qu'inquiétante (le fond) dotée d'un puissant sous-texte politique.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un film étrange, captivant, violent, qui mêle de multiples genres mais marque durablement.
Transfuge
par Damien Aubel
Qui ne peut que s'avouer capturé, saisi par les ambiances luministes, pris aux tripes par les embardées gore. Efficacité indéniable d'une allégorie politique, à peine allégorique, sur l'Occident prédateur, s'accaparant, par la force les ressources les plus vives, en l'occurrence humaines, du reste du monde.
20 Minutes
par Caroline Vié
Prix du jury au Festival de Cannes, le film de Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles porte haut les couleurs du cinéma de genre.
Bande à part
par Isabelle Danel
Le réalisateur des "Bruits de Recife" et "Aquarius" nous revient, accompagné d’un acolyte et coréalisateur, pour un film collectif, un western fantastique, une fable insurrectionnelle. Prix du jury pas volé au festival de Cannes 2019.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Enragé et sous influence carpenterienne.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Pur plaisir de cinéma, de cinéastes et de cinéphiles, "Bacurau" se fait le pertinent témoin de l’évolution d’une société Brésilienne en plein bouleversement, pour ne pas dire au bord de l’implosion.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles relisent "La Porte du paradis" pour en faire un western cartoon arrosé de LSD avec "Bacurau". Frénétique et schizophrène, le résultat est une des belles trouvailles du Festival de Cannes, aussi fou que stimulant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Cette filiation entre sujets politiques contemporains (climat, lutte des classes, corruption…) et cinéma de genre, inscrit "Bacurau" dans une actualité brûlante, avec une inventivité décoiffante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Plus qu'un exercice de style, le long-métrage traite en toile de fond la lutte sociale. Il déborde aussi d'audace dans ses choix et bouscule constamment le spectateur via des scènes chocs, qui ne peuvent laisser indifférent.
L'Humanité
par Sophie Joubert
Audacieux dans sa forme et son propos, le film résonne comme un appel à la révolte réjouissant et libérateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Grâce à « Bacurau » (prix du jury à Cannes), c’est l’écran qui s’embrase et notre âme de révolutionnaire avec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
"Bacurau" se révèle une leçon sanglante, immorale et indispensable.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film baroque et allégorique vire au brûlot rageur, politique et violent. Impressionnant !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Prix du Jury à Cannes, le film de Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles est à la fois un western sauvage et une métaphore du Brésil actuel.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un réquisitoire sans pitié doublé d’un récit de vengeance jouissif.
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles livrent un état des lieux politique cinglant et un hommage inspiré au cinéma de genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le film de Mendonça Filho (...) est un geste politique, un acte de rébellion, un cri de libération surprenant, attachant, parfois grotesque. Et très fort.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
Toute la première partie de "Bacurau" tient du miracle. Kleber Mendonça Filho parvient à créer une ambiance fantastique et une mythologie avec trois points de suspension [...]. Quand le mystère est éventé, commence un nouveau film, un western métaphorique qui ne déplairait pas à John Carpenter, une partie de "Fortnite" à l'efficacité totale.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Déconcertant, riche, captivant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Il n’est pas si fréquent de voir un film tracer un tel trait d’union entre ce qui a fait la grandeur du cinéma brésilien (Glauber Rocha, Rui Guerra) et l’action à la John Carpenter — réalisateur fétiche de Kleber Mendonça Filho.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une fable politique, entre western sous acide et partie de Fortnite en chair et en os, donne une image cauchemardesque de ce que pourrait donner le Brésil de Bolsonaro.
L'Express
par Christophe Carrière
[...] le récit s'emmêle souvent les crayons et étouffe plus qu'il ne captive. Le film a du sens. Il lui manque juste une direction.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Prix du jury au festival de Cannes, pot-pourri de différents genres, ce film inclassable, d’une grande beauté, bascule avec complaisance vers la violence.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce film de Kleber Mendonça Filho est dans l’air du temps brésilien : violent, manichéen. Mais infiniment plus subtil et intelligent que le pouvoir de Jair Bolsonaro dénoncé en filigrane.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Louise Dumas
À force de mêler les genres et les registres, de multiplier les pistes et les enjeux, Bacurau finit par lasser.
Première
par Frédéric Foubert
Après la sensation de perfection voluptueuse que procurait Aquarius, la déception est grande. Reste un évident appétit de cinéma qui, on l’espère, sera mieux canalisé dans le film suivant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Josué Morel
Bacurau confirme un net infléchissement formel du cinéma de Kleber Mendonça Filho.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Bacurau se construit d’abord sur une narration collective qui ne semble pas savoir où elle nous emmène, jusqu’à ce que l’explosion de violence ne débute et nous fasse réaliser la puérilité de son propos politique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles signent ainsi avec Bacurau une grande fiction politique, dont la vitalité à toute épreuve est une vertu nécessaire pour affronter la monstruosité bien réelle de l'extrême droite contemporaine.
Libération
Une riposte excessive, hyperbolique et paillarde à la démesure des troubles et démons qui dévorent le corps social et politique brésilien.
Mad Movies
Célébrant les noces barbares du cinéma d'auteur brésilien, du western italien et de John Carpenter, ce film hors normes jongle avec les tonalités et les espaces pour créer une partie de cache-cache aussi sarcastique que sanglante.
Marie Claire
Quelque part entre "Mad Max", John Carpenter et le western à la Sam Peckinpah, "Bacurau" est une dystopie aussi réjouissante (le ton) qu'inquiétante (le fond) dotée d'un puissant sous-texte politique.
Ouest France
Un film étrange, captivant, violent, qui mêle de multiples genres mais marque durablement.
Transfuge
Qui ne peut que s'avouer capturé, saisi par les ambiances luministes, pris aux tripes par les embardées gore. Efficacité indéniable d'une allégorie politique, à peine allégorique, sur l'Occident prédateur, s'accaparant, par la force les ressources les plus vives, en l'occurrence humaines, du reste du monde.
20 Minutes
Prix du jury au Festival de Cannes, le film de Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles porte haut les couleurs du cinéma de genre.
Bande à part
Le réalisateur des "Bruits de Recife" et "Aquarius" nous revient, accompagné d’un acolyte et coréalisateur, pour un film collectif, un western fantastique, une fable insurrectionnelle. Prix du jury pas volé au festival de Cannes 2019.
CinemaTeaser
Enragé et sous influence carpenterienne.
Culturopoing.com
Pur plaisir de cinéma, de cinéastes et de cinéphiles, "Bacurau" se fait le pertinent témoin de l’évolution d’une société Brésilienne en plein bouleversement, pour ne pas dire au bord de l’implosion.
Ecran Large
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles relisent "La Porte du paradis" pour en faire un western cartoon arrosé de LSD avec "Bacurau". Frénétique et schizophrène, le résultat est une des belles trouvailles du Festival de Cannes, aussi fou que stimulant.
Franceinfo Culture
Cette filiation entre sujets politiques contemporains (climat, lutte des classes, corruption…) et cinéma de genre, inscrit "Bacurau" dans une actualité brûlante, avec une inventivité décoiffante.
L'Ecran Fantastique
Plus qu'un exercice de style, le long-métrage traite en toile de fond la lutte sociale. Il déborde aussi d'audace dans ses choix et bouscule constamment le spectateur via des scènes chocs, qui ne peuvent laisser indifférent.
L'Humanité
Audacieux dans sa forme et son propos, le film résonne comme un appel à la révolte réjouissant et libérateur.
L'Obs
Grâce à « Bacurau » (prix du jury à Cannes), c’est l’écran qui s’embrase et notre âme de révolutionnaire avec.
La Septième Obsession
"Bacurau" se révèle une leçon sanglante, immorale et indispensable.
La Voix du Nord
Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film baroque et allégorique vire au brûlot rageur, politique et violent. Impressionnant !
Le Figaro
Prix du Jury à Cannes, le film de Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles est à la fois un western sauvage et une métaphore du Brésil actuel.
Le Journal du Dimanche
Un réquisitoire sans pitié doublé d’un récit de vengeance jouissif.
Les Fiches du Cinéma
Kleber Mendonça Filho et Juliano Dornelles livrent un état des lieux politique cinglant et un hommage inspiré au cinéma de genre.
Les Inrockuptibles
Le film de Mendonça Filho (...) est un geste politique, un acte de rébellion, un cri de libération surprenant, attachant, parfois grotesque. Et très fort.
Paris Match
Toute la première partie de "Bacurau" tient du miracle. Kleber Mendonça Filho parvient à créer une ambiance fantastique et une mythologie avec trois points de suspension [...]. Quand le mystère est éventé, commence un nouveau film, un western métaphorique qui ne déplairait pas à John Carpenter, une partie de "Fortnite" à l'efficacité totale.
Sud Ouest
Déconcertant, riche, captivant.
Télérama
Il n’est pas si fréquent de voir un film tracer un tel trait d’union entre ce qui a fait la grandeur du cinéma brésilien (Glauber Rocha, Rui Guerra) et l’action à la John Carpenter — réalisateur fétiche de Kleber Mendonça Filho.
Voici
Une fable politique, entre western sous acide et partie de Fortnite en chair et en os, donne une image cauchemardesque de ce que pourrait donner le Brésil de Bolsonaro.
L'Express
[...] le récit s'emmêle souvent les crayons et étouffe plus qu'il ne captive. Le film a du sens. Il lui manque juste une direction.
La Croix
Prix du jury au festival de Cannes, pot-pourri de différents genres, ce film inclassable, d’une grande beauté, bascule avec complaisance vers la violence.
Le Monde
Ce film de Kleber Mendonça Filho est dans l’air du temps brésilien : violent, manichéen. Mais infiniment plus subtil et intelligent que le pouvoir de Jair Bolsonaro dénoncé en filigrane.
Positif
À force de mêler les genres et les registres, de multiplier les pistes et les enjeux, Bacurau finit par lasser.
Première
Après la sensation de perfection voluptueuse que procurait Aquarius, la déception est grande. Reste un évident appétit de cinéma qui, on l’espère, sera mieux canalisé dans le film suivant.
Critikat.com
Bacurau confirme un net infléchissement formel du cinéma de Kleber Mendonça Filho.
aVoir-aLire.com
Bacurau se construit d’abord sur une narration collective qui ne semble pas savoir où elle nous emmène, jusqu’à ce que l’explosion de violence ne débute et nous fasse réaliser la puérilité de son propos politique.