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Film qui ressemble trop à Ready Player One sans ses qualités esthétiques. Le jeu d'acteur n'est pas fou, l'histoire plutôt bateau.. Il n'y a que l'univers assez bien travaillé qui lui permet d'atteindre la moyenne. Se laisse regarder une fois, mais d'autres biens meilleurs films ont déjà fait le tour du sujet traité
Alors là, je ne comprends pas le déluge de récompenses. Dubitatif.
D'abord, c'est mal joué et même très mal. On a un Paris futuriste qui ressemble au mauvais film (Ares ou Elysium) avec une grande pauvreté, scènes Blade-Runner, des combats, des avatars moyenâgeux, et un discours qui ne tient pas la route sur les connectés/gamers sur salaire minimum, les méga-entreprises qui exploitent l'individu déshumanisé, des politiques corrompus et des résistants appelés terroristes qui luttent contre le système. Rien ne se tient, rien n'est crédible.
Bref, difficilement regardable tellement c'est mauvais.
Une sorte de pot pourri de vu et revu.
D'abord, c'est mal joué et même très mal. On a un Paris futuriste qui ressemble au mauvais film (Ares ou Elysium) avec une grande pauvreté, scènes Blade-Runner, des combats, des avatars moyenâgeux, et un discours qui ne tient pas la route sur les connectés/gamers sur salaire minimum, les méga-entreprises qui exploitent l'individu déshumanisé, des politiques corrompus et des résistants appelés terroristes qui luttent contre le système. Rien ne se tient, rien n'est crédible.
Bref, difficilement regardable tellement c'est mauvais.
Une sorte de pot pourri de vu et revu.
Un excellent film de science-fiction, très bien réalisé et interprété, dont l'histoire fait écho à celle de Matrix.
Un film SF de série B. Le scénar est simpliste et le personnage principal pas vraiment charismatique. Il y a quelques scènes d'actions sympa. Les décors et l'ambiance sont largement copiés de Blade Runner. C'est pas vraiment emballant et on s'ennuie les 3/4 du temps.
Un très bon film de science-fiction sur des personnes qui vivent hors du monde réel et connectés à des mondes virtuels à cause des jeux vidéos dans un neo Paris en 2047.
Le manque de moyens n'excuse malheureusement pas tout. Les dialogues sont pauvres, les acteurs pas très bons, la mise en scène abuse des contre-plongées, le scénario pas toujours cohérent perd parfois le spectateur. Reste la présence originale de Jane Badler, la Diana de la série V, et la transition monde réel/monde virtuel plutôt réussie.
En 2047 a Paris, Nash (Mike Dopud) est un détective privé engagé par Dina (Jane Badler) de Synternis, une entreprise de réalité virtuelle. 75% du monde est connu comme "les connectés", passant toute leur vie en ligne accro à la réalité virtuelle. C'est devenu le "pain et le cirque" d'une nouvelle ère. Un groupe qui se fait appeler "The Necromancers" a un virus informatique qui peut tuer les joueurs (etc.). Ça fait penser un peu a Blade Runner pour les décors. Un film que j'avais vu en 2016 (en ligne) et que j'avais vraiment aimè. Cinq étoiles donc pour Virtual Revolution...
Une des rares tentatives de vraie science-fiction française, et réussie. Le film pose une vraie question: nous évaderons-nous demain vers des mondes artificiels de jeux vidéos, infiniment plus séduisants qu'une grise réalité?
Que dire?! Le scenario n'est pas foncement mauvais quoiqu'un peu basique comme idée de film de nos jours (Clones, Ready Player One), mais les effets spéciaux et le jeu des acteurs viennent vraiment tout gâcher. J'aurais pu accrocher... mais non, malgré un bon twist final, je vais laisser ce film aux oubliettes.
Le concept du film est très intéressant !
Cependant la mise en scène et le déroulement de l'histoire traîne trop pour moi... Dommage
Cependant la mise en scène et le déroulement de l'histoire traîne trop pour moi... Dommage
Très agréablement surprise par un film qui fait réfléchir. Connaissant le réal, j'était certaine que la BO serait au top et les images belles et léchées. Mais je ne m'attendais pas un scrip si écrit et invitant autant à la réflexion.
Si on peut (peut-être) reprocher au film d'être un peu verbeux, je pense que c'est surtout dû au fait qu'il a manqué de temps pour développer son propos autrement.
Pour un 1er film, c'est excellent !
Si on peut (peut-être) reprocher au film d'être un peu verbeux, je pense que c'est surtout dû au fait qu'il a manqué de temps pour développer son propos autrement.
Pour un 1er film, c'est excellent !
Malgré toute ma bien-pensance, ma morale et mon éducation, je ne parviens pas à me retenir de faire ce que je m'apprête à faire, à savoir descendre l'oeuvre qu'un autre a mis tant de temps à construire et cela bien installé derrière mon écran. Je n'en suis pas fier, je n'en tire aucune gloire et je tiens même à dire que j'en ai un peu honte (ou presque).
Mais ce qui m'est arrivé jeudi dernier, alors que je me rendais à cette séance de Virtual Revolution, m'a troublé au plus profond de mon être au point d'y venir bousculer ma morale et d'y faire surgir une facette de ma personnalité que je pensais avoir enfouie à tout jamais. En effet, le début avait bien commencé la vendeuse au guichet était tout à fait charmante et je suis même parvenue à trouver des places plutôt bien positionnées pour mes amis et moi-même. C'est alors que ma journée a basculé à tout jamais. Rien ni personne n'aurait pu prévoir ce que allait se passer...
Je me suis retrouvé face au film le plus chiant que j'ai jamais vu de toute ma vie (et je sais de quoi je parle: je suis abonné à Netflix). Un rythme scénaristique capable de faire s'endormir un hyperactif bourré de cocaïne et autre sucrerie en tout genre, des plans fixes maintenant cet effet de lenteur assumé (j'espère au moins que c'était), un jeu d'acteurs mauvais avec des dialogues narratifs mettant un relief une pléthore de personnages fades et sans charisme (à commencer par le personnage principaux), un synopsis qu'un gamin de 14 ans aurait pu nous sortir de son cahier de brouillon et le tout animé par des effets spéciaux et des décors (mis à part certains endroits à Paris et dans la nature) dignes d'un film de série Z des années bissextiles financé par des producteurs de films porno allemand.
Bref on est bien loin des attentes espérées par les critiques spectateurs d'Allociné (à défaut d'avoir du talent, le réalisateur aura au moins la chance d'avoir des amis ayant suffisamment pitié de lui pour lui écrire des critiques positives sur le site), ne perdez pas votre temps à aller voir Virtual Revolution et faite directement un don au cinéma français qui semble bien mal en point en ce moment vu le genre de calamité qu'il nous propose aujourd'hui.
Voilà c'est fait. Ca aura au moins le mérite de m'avoir soulagé même si il est vrai que j'ai un peu de compassion pour le réalisateur qui doit en ce moment même vivre des heures bien sombre de sa vie.
Ce n'est que mon avis Bisous
Mais ce qui m'est arrivé jeudi dernier, alors que je me rendais à cette séance de Virtual Revolution, m'a troublé au plus profond de mon être au point d'y venir bousculer ma morale et d'y faire surgir une facette de ma personnalité que je pensais avoir enfouie à tout jamais. En effet, le début avait bien commencé la vendeuse au guichet était tout à fait charmante et je suis même parvenue à trouver des places plutôt bien positionnées pour mes amis et moi-même. C'est alors que ma journée a basculé à tout jamais. Rien ni personne n'aurait pu prévoir ce que allait se passer...
Je me suis retrouvé face au film le plus chiant que j'ai jamais vu de toute ma vie (et je sais de quoi je parle: je suis abonné à Netflix). Un rythme scénaristique capable de faire s'endormir un hyperactif bourré de cocaïne et autre sucrerie en tout genre, des plans fixes maintenant cet effet de lenteur assumé (j'espère au moins que c'était), un jeu d'acteurs mauvais avec des dialogues narratifs mettant un relief une pléthore de personnages fades et sans charisme (à commencer par le personnage principaux), un synopsis qu'un gamin de 14 ans aurait pu nous sortir de son cahier de brouillon et le tout animé par des effets spéciaux et des décors (mis à part certains endroits à Paris et dans la nature) dignes d'un film de série Z des années bissextiles financé par des producteurs de films porno allemand.
Bref on est bien loin des attentes espérées par les critiques spectateurs d'Allociné (à défaut d'avoir du talent, le réalisateur aura au moins la chance d'avoir des amis ayant suffisamment pitié de lui pour lui écrire des critiques positives sur le site), ne perdez pas votre temps à aller voir Virtual Revolution et faite directement un don au cinéma français qui semble bien mal en point en ce moment vu le genre de calamité qu'il nous propose aujourd'hui.
Voilà c'est fait. Ca aura au moins le mérite de m'avoir soulagé même si il est vrai que j'ai un peu de compassion pour le réalisateur qui doit en ce moment même vivre des heures bien sombre de sa vie.
Ce n'est que mon avis Bisous
Film dans l'ensemble très homogène, les acteurs étant aussi mauvais que le scénario, l'image et le son.
A fuir, même si on est désœuvré.
A fuir, même si on est désœuvré.
Aie ... les commentaires les plus intéressants cinématographiquement descendent ce film. Et a mon avis, c est mérité. Ce genre de film n'est basé que sur du COPIER -COLLER- RÉCHAUFFÉ - uniquement créée pour ramasser quelques millions - Telle une " OPÉRATION COMMERCIALE " Moralité, la bande annonce me suffit, j'irais pas le voir, même gratuitement.
2 étoiles parce que c'est un film français avec un petit budget. Mais, il faut bien admettre que si l'idée de départ est excellente, il n'en est pas pareil du traitement. C'est bizarre qu'avec un petit budget, on se soit décarcasser à faire d'innombrables scènes d'actions dont certaines n'apportent absolument rien et cela au dépend d'un traitement plus philosophique du problème. Visiblement, ça ressemble à du racolage et d'après les notes, ça fonctionne pas mal.
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