Note moyenne
2,6
13 titres de presse
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Ouest France
Brian Cox est impressionnant et parvient à faire oublier ceux qui ont tenu le rôle avant lui.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic solide, qui offre de Churchill une image peu connue et moins convenue, avec alcool à forte dose et accent british garanti.
Le Figaro
Brian Cox campe avec justesse le premier ministre britannique opposé au Débarquement.
La Croix
Difficile d’oublier son modèle à regarder le comédien Brian Cox qu’on aurait voulu plus impérial, plus mordant, en un mot plus churchillien, dans ses derniers feux. Mais ses expressions, sa gestuelle et ses postures parviennent à convaincre.
Le Parisien
Churchill y est montré comme un dépressif alcoolique usé, entêté à l'extrême, jusqu'au ridicule. Son revirement subit paraît encore plus tiré par les cheveux. Reste la belle performance de Brian Cox.
Les Fiches du Cinéma
Brian Cox était sans doute né pour incarner le colosse Churchill, mais ni le scénario ni la mise en scène ne lui rendent justice.
Rolling Stone
Biopic somme toute classique, "Churchill" éclaire néanmoins d'une lumière nouvelle les arcanes du pouvoir.
L'Express
Le film devient vite illustratif et ce n'est pas la mise en scène de Teplitzky qui arrange les choses : parfois très sage, parfois très esthétisante.
Le Journal du Dimanche
Si ce drame historique manque de contextualisation, il repose entièrement sur la performance du stupéfiant Brian Cox.
Positif
À la fois trop explicite (...) et pas assez argumenté, le film, au point de vue incontestablement singulier, faillit à convaincre.
Critikat.com
"Churchill" est un film involontairement funèbre, qui enterre Churchill vingt ans avant sa mort.
L'Obs
Cette reconstitution pour antiquaire des heures précédant le D-Day remplit le vide avec d'inutiles plans de voiture sur les routes ou des scènes d'habillage, étiolant ainsi les rares moments de tension politique.
Télérama
Brian Cox cabotine juste ce qu'il faut pour être crédible, et émouvant, dans le rôle du dirigeant « bouledogue » et dépressif. Mais toutes les nuances, tous les (timides) coups de canif apportés par le scénario à la statue du commandeur Churchill sont systématiquement contredits par une mise en scène pompière, bêtement hagiographique. On se croirait dans un film de propagande des années 1940...