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    The Cured
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    Marc L.
    Marc L.

    44 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 février 2019
    Une fois n’est pas coutume, voilà un scénario qui parvient à s’extraire des réflexes pavloviens dans lesquels s’enferrent l’écrasante majorité des films de zombies, et adopte un biais original, d’une lecture politique assumée. L’action se déroule en Irlande, au terme d’une pandémie qui a transformé les gens en cannibales meurtriers (des zombies vivants, en quelque sorte). Un antidote a été mis au point mais un quart des infectés y reste immunisé. Les trois autres quarts sortent lentement du cauchemar et tentent de se réinsérer dans la société mais ils sont en butte à l’hostilité et à l’ostracisme de ceux qui n’ont pas été contaminés, et qui n’ont pas oublié les crimes et les destructions dont les autres se sont rendus coupables alors qu’ils étaient malades. Une autre particularité est que les anciens “zombies� n’ont rien oublié des actes qu’ils ont commis, ce qui entraîne des troubles psychiques et une conviction grandissante qu’ils ne sont plus vraiment comme leurs concitoyens. Alors que la méfiance entre les communautés s’intensifie, les convalescents découvrent que les infectés ne les attaquent pas à vue, comme s’il les considéraient toujours comme faisant partie des leurs. La métaphore à comprendre, c’est évidemment celle d’une situation post-guerre civile, dans laquelle les anciennes forces en présence n’ont rien oublié ni pardonné, les rares bonnes volontés ne pèsent pas lourd face à l’impératif sociétal de survie et où le gouvernement doit décider s’il oeuvrera en faveur de la réconciliation ou de la sécurité. On peut aussi rattacher cette logique à d’autres questionnements contemporains : est-ce qu’il est vraiment possible de déradicaliser/décontaminer quelqu’un ? Paradoxalement, à force de rejeter et d’exiger des gages de loyauté jamais suffisants, ne risque-t-on pas justement de provoquer ce qu’on redoute ? Comme il y a beaucoup de choses à comprendre et de nombreuses équivalences à chercher dans la réalité, ‘The cured’ est un film assez lent, austère comme un drame ouvrier, qui s’intéresse principalement aux relations humaines, celle du décontaminé principal avec la jeune femme et son fils qui l’ont recueilli, celle avec son “alpha� qui l’a autrefois contaminé, ou celle du médecin qui s’obstine à trouver un remède universel, mais uniquement pour décontaminer la femme qu’elle aime. Pour ceux qui sont davantage portés sur l’action, une séquence de guérilla urbaine, moyennement haletante, les attend quand même vers la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 février 2019
    Pour une fois le cote psychologique prime dans un film De zombies ce qu’il a le mérite de renouveller le genre en se positionnant du côté de ce que vit un zombie guérit.
    Ambiance pesante sûrement lié à la petite ville irlandaise et très bonne interprétation des 3 principaux comédiens.
    J’ai bcp aimé la vision différente et je regrette qu’ils n’en soient pas aller plusieurs loin dans l’idée qu était tellement intéressante sûrement dû au petit budget.
    Fin donc qui nous laissent cependant sur notre faim un comble pour un film dezombies !!!
    Estonius
    Estonius

    3 343 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    Le tour de force de ce film c'est de nous montrer du zombie au premier degré et de broder là-dessus tout une ambiance (traités, non traités, non infectés et leur rapports respectifs) C'est vraiment très intéressant mais on sent le manque de moyen (ce qu'on pardonnera) mais surtout le manque d'ambition du scénario (ce qui est plus critiquable) Il y a aussi trop de longueurs assez injustifiées, trop de rencontre fortuites (comme dans les mauvais polars) des ellipses là où il n'en faudrait pas, un montage chaotique (à ce point qu'on ne sait parfois si un personnage est mort ou vivant) et une fin peu claire. Ça fait beaucoup de casseroles, mais pourtant le film mérite une note au-dessus de la moyenne, en raison de sa critique sociale féroce sans concession ni manichéisme, et aussi à cause d'Ellen Page, resplendissante dans ce film
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    Très bonne idée de traiter les suites de tous les films de «zombies» ou infectés pour le coup. Que se passe-t-il ensuite, que reconstruit on et avec quoi? Comment gérer les survivants, les «traités» qui ont été guéris par le vaccins et réintégré dans la société, que devient la population? Et ceux qui ne résistent au traitement, qu'est ce qu'on en fait? C'est un vaste sujet qui est très intéressant, et fait bien évidemment écho a beaucoup de faits de société passés et actuels. Ce film a le mérite de le traiter avec beaucoup de réalisme.
    Quelque longueur cependant, et la fin m'a un peu laissé en reste, mais que peut-on attendre de satisfaisant dans un tel sujet?
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    L’idée du film est originale, l’emotion est present tout au long du film mais malheureusement il manque cruellement d’action. Beaucoup trop de dialogues souvent inutiles et beaucoup trop long.
    C’est dommage on sent le manque de moyen pour ce film, de ce fait on reste sur sa faim.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2018
    Quelques années plus tôt, le terrible virus Maze a transformé la quasi-totalité de l'humanité en zombies cannibales. Mais un vaccin a été trouvé, permettant de soigner les personnes infectées.
    Pour autant, des problèmes demeurent. Une partie des zombies est incurable. Quant à ceux revenus à la vie civile, ils peinent à se réinsérer.

    "The Cured" commence là où "World War Z" et nombre de film de zombies se terminent : un vaccin a été trouvé qui va sauver l'humanité d'une extinction cannibale. Happy end ? Pas évident nous répond ce thriller malin qui pose de stimulantes questions éthiques, sur le pardon et sur le remords.

    Il questionne d'une part le rapport des humains rescapés face aux zombies guéris. Ceux-ci pardonneront-ils à ceux-là les crimes qu'ils ont commis ?  Leur feront-ils une place dans la société ? Ou les maintiendront-ils sous surveillance, de peur d'une rechute et/ou par refus de leur pardonner ?

    Il questionne d'autre part les remords des zombies que le vaccin n'a hélas pas privés de souvenirs, condamnés à être hantés par les cauchemars des crimes monstrueux qu'ils ont commis. Parviendront-ils à se réconcilier avec eux-mêmes et avec les autres ? Ou s'enfermeront-ils dans un séparatisme radical ?

    Toutes ces questions éthiques sont traitées à travers trois personnages. Senan (Sam Keeley) a perdu son frère pendant l'infection, dans des conditions qu'on découvrira bien vite. Il est hébergé par sa belle-sœur Abbie (Ellen Page) qui élève, seule, un fils. Conor (Tom Vaughan-Lawlor) n'a pas cette chance. Sa famille l'a banni. Il en est réduit à loger dans un foyer pour anciens zombies. Brillant politicien en pleine ascension avant l'épidémie, il n'accepte pas d'être relégué dans un statut parasite et fomente une révolte. Le docteur Lyons (Paula Malcomson) cherche inlassablement un remède pour soigner sa femme qui a pour l'instant résisté à tous les traitements.

    "The Cured" a tous les ingrédients du film de genre, jump scares anxiogènes et cauchemars effrayants inclus. Mais il s'en distingue par la qualité de son interprétation (Ellen Page, qui tisse depuis "Juno" une carrière étonnante entre blockbuster - "X-Men", "Inception" - et film d'auteur) et la finesse de son scénario dont le dénouement, aussi surprenant que logique, m'a cloué sur mon siège. "The Cured" devait sortir en salles le 18 juillet. Pour des raisons qui m'échappent, son distributeur, Bac Films, a baissé les bras.  Le film est directement sorti... dans les bacs.
    black B.
    black B.

    40 abonnés 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    Une orientation scénaristique a la In The Flesh, avec un peu plus de budget, mais avec malheureusement, toujours pas assez de budget pour réussir a développer leur idée jusqu'au bout.. Et c'est dommage, le film nous livre une certaine approche, plutôt original, il arrive même a s'éloigner de son postulat de départ made in ITF.
    Mais il ne se donne pas les moyens de son ambition, et on sent qu'on passe a coté de quelque chose qui aurait pu être bien plus savoureux. 3/5
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2018
    "The cured" est un film de zombie plutôt original car il privilégie la psychologie des personnages à l'horreur pure, ne négligeant pas pour autant celle-ci surtout dans la dernière partie du film. Très glauque visuellement, très noir aussi dans le fond, chaque personnage cherche sa survie et son intérêt. Intéressant cet état intermédiaire entre humain et zombie, les traités ("the cured" en version original), vision qui apporte la vraie nouveauté de ce film par rapport aux autres films de zombies. Difficile dans le rejet d'une tranche de population pour une autre de ne pas voir un parallèle avec les politiques nationalistes de plus en plus en vogue autour de nous. N'oublions pas enfin les acteurs, tous excellents, en tête Ellen Page que l'on n'avait pas vu autant inspirée depuis "Juno", rôle aux antipodes de celui-ci.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 juillet 2018
    Voici vraiment une variation intéressante aux films d'infectés, de zombies, de virus... L'idée du scénario est originale et implique un côté "drame" au film et nous fait prendre conscience de notre humanité... A voir...
    Djo D
    Djo D

    63 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2018
    Le synopsis me parut alléchant ( sujet sur le cannibalisme ) donc me voilà parti pour 1h30 de visionnage mais voilà qui dit sujet intriguant ne rime pas spécialement avec film intéressant le realisateur ne soucie a aucun moment de garder le téléspectateurs en haleine, donc on tombe vite dans un faux rythmes pour nous laisser sur une fin assez amer .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 12 juin 2018
    Comment est la vie après avoir été un zombie?
    Franchement, ça aurait pu être fun mais point du tout!
    Bien au contraire, on parle de la violence "naturelle" de l'espèce humaine et de sa propension à se débarrasser de tout ce qui lui fout la trouille.
    Un drame horrifique? On est pas loin.
    En tous cas, original et bien joué.
    A voir sans hésitation.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2018
    Senan est un "traité". Il fait partie de la troisième vague de personnes guéries et aptes à retrouver une vie normale selon les autorités irlandaises. Ses premiers pas d'homme libre lui font découvrir un pays divisé, presque au bord du chaos, sur la question de la réinsertion de lui et des siens.
    Il y a quelques années, le virus Maze a touché l'Europe et plus particulièrement l'Irlande, le transformant lui et une bonne partie de la population en infectés prêts à croquer quelques morceaux de son prochain. Heureusement, un antidote a été trouvé et a permis de guérir 75% des contaminés, leur rendant ainsi leur humanité mais les condamnant à affronter les souvenirs conservés de leurs agissements de cette période. Les 25% de malades restants appelés "résistants" face aux effets du vaccin sont pour l'heure cantonnés dans des zones militaires restreintes en attendant que le gouvernement se prononce sur le sort (les éradiquer ou poursuivre la recherche d'un antidote plus puissant).
    Senan et les autres "traités" sont donc relâchés dans un pays qui les considèrent désormais comme des pestiférés, tout autant incapable d'oublier les violences qu'ils ont commis lors de l'infection. Relégués à des tâches ingrates, ils restent malgré tout soudés entre eux devant l'oppression populaire permanente. Face à l'adversité, cette communauté reliée malgré elle par le souvenir de leur condition envisage de plus en plus de se révolter...
    Senan lui fait partie des chanceux qui retrouvent un logement grâce à l'hospitalité de sa belle-soeur, Abby, et de son jeune neveu. Rongé par la mémoire de ses actes en tant qu'infecté (avoir eu un régime alimentaire à base de tartares de chair humaine pendant des années est tout de même une donnée dure à digérer) et par un secret encore plus terrible, Senan doit aussi composer avec l'omniprésence de Conor, un ancien avocat revanchard lui aussi "traité" et devenu homme de ménage...
    Et dire qu'on a à peine résumé un quart d'heure du film...

    Comment ne pas avoir un mini-coup de coeur pour "The Cured" ? On aura rarement vu un premier film avoir autant pleinement conscience des ambitions qui l'habitent en s'emparant d'une variation somme toute inédite du film de zombies. En se fixant sur cette réinsertion d'ex-infectés dans un pays qui ne veut plus en entendre parler, "The Cured" s'offre un boulevard de pistes de réflexions métaphoriques originales dont il se saisit de toute la richesse pour bâtir un ensemble épatant par sa densité aussi bien émotionnelle que par les surprises scénaristiques qu'elle renferme.

    D'abord, au coeur de "The Cured", il y cet étrange trio de personnages unis par un événement douloureux encore mystérieux mais dont on comprend assez vite la teneur et que sa révélation entraînera une véritable déflagration pour l'avenir de chacun à l'intérieur de l'histoire plus grande en train de se jouer.
    Alors que Senan doit déjà lutter contre ses réminiscences intérieures et le regard extérieur que les autres lui portent, il doit aussi affronter l'emprise psychologique de Conor devenant peu à peu un leader charismatique de la résistance des "traités" et qui voudrait que Senan rejoigne ses rangs. La passionnante nature du lien profond unissant les deux hommes sera un des moteurs du film ouvrant des questionnements quasiment philosophiques sur ce qui définit la nature de l'humanité, s'il est possible oui ou non de s'en défaire totalement jusqu'à devenir autre chose qui n'aurait plus à se justifier de ses actes dans le schéma de cette infection évolutive (clin d'oeil à Romero) et, surtout, s'il est possible de la retrouver ensuite dans un monde qui ne veut plus la voir.
    En guise de trait d'union dans ce duel psychologique, il y a Abby, une jeune journaliste cherchant à dénoncer le sort des "traités" et celui, encore bien pire, que l'on réserve aux "résistants". Manipulée sciemment par Conor pour se rapprocher de Senan, elle devient peu à peu non plus une simple observatrice des événements mais celle qui en sera l'élément catalyseur en symbolisant la réaction humaine globale face à l'acceptation ou non des pires horreurs consécutives à l'épidémie.

    Évidemment, ce triangle de personnages (superbement bien campés par Ellen Page, Sam Keeley et Tom Vaughan-Lawlor) s'inscrit dans un dessein plus large, celui du destin d'une population prête à accepter d'annihiler une partie des siens qu'elle ne parvient à guérir et qui ne sait plus quoi faire de ses anciens prédateurs "traités" sinon les reléguer au rang de sous-hommes.
    Entre ces non-infectés et ces infectés perdant leur nature humaine aux extrémités opposées du spectre qui la composent, les "traités" représentent le combat de toute minorité face à une société qui n'a de cesse de les persécuter et qui devient par là même la première responsable de leur chute inévitable dans l'extrémisme violent dont elle sera la première cible. Renvoyant bien entendu à l'ADN tristement historique de l'Irlande, cette lutte violente perpétuelle pour faire entendre sa voix dans un pays qui fait tout pour la faire taire conduira inexorablement à un aveuglement terroriste où aucune des forces en présence n'en sortira indemne. "The Cured" en fera ainsi une parfaite démonstration métaphorique en mêlant habilement les strates personnelles et globales de son récit dans une dernière partie où tous en arriveront aux pires extrémités mais où l'espoir parviendra à naître de la confiance en l'autre malgré sa différence.

    Certes, "The Cured" n'est pas exempt de défauts avec ce trop-plein d'ambitions qui le conduit parfois à emprunter quelques raccourcis (la montée trop rapide dans l'extrémisme, le comportement très versatile de Senan, ...) mais, bon sang, David Freyne signe un premier film d'une telle richesse, utilisant chacune de ses ressources scénaristiques que son propos lui offre pour construire un tout qui ne cesse de surprendre par la pertinence de ses finalités et par sa capacité à faire ressortir le meilleur de chacune des pistes explorées dans la cohérence de son récit. Même l'aspect budgétaire que l'on sent maigre sert finalement à renforcer le réalisme du cadre et à nous placer à la hauteur du vécu de ces personnages à l'échelle de cette ville irlandaise.
    On sort ainsi repu de "The Cured" malgré sa courte durée (1h34), conscient d'avoir assisté à un film de zombies qui a réussi l'exploit de trouver une voie unique dans un genre pourtant si balisé en y amenant de nouveaux discours à multiples niveaux de lecture à l'intérieur d'un récit à la générosité jubilatoire.
    Si vous cherchez un film de zombies différent et intelligent, vous avez incontestablement frappé à la bonne porte !
    Jordan Rigoses
    Jordan Rigoses

    2 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2018
    Malheureusement, de bon acteur mais scénario sans aucun intérêt .

    Ellen page joue bien mais ça suffit pas pour sauver le film .
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    L'idée de départ est pas mal elle nous évite le film zombi habituel. Malheureusement ce film manque de rythme dans sa première partie, la deuxième est alors plus mouvementé mais c'est dommage car le scénario devient trop prévisible. Dommage que le film ne soit pas plus créatif car cette idée d'ex infecté aurait pu amener à des situations plus complexe or on est ici avec des situations basiques n'amenant pas à la réflexion.
    Pascal I
    Pascal I

    756 abonnés 4 121 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Un film de par son scénario qui sort des habituels post-apocalyptiques. Ici la menace est encore là avec des choix sociétaux, là est toute l'originalité de ce thriller horrifique (soft). Le traitement est correct avec des moyens légers et une mise en scène assez réductrice dans l'espace (le film se passe dans une ville).
    Les interprétations restent assez stéréotypées mais convenables. Point fort : l'aspect psychologique. A découvrir ! 3/5 !!!
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