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    El Presidente
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    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2018
    De Santiago Mitre (2018)
    Un film sur le pouvoir certes mais aussi et surtout sur les arcanes des négociations internationales et des desous petits et grands et non avouables des négociations internationales . C'est didactique et très fouillé et rès documenté . Même si c'est une fiction , on sent le travail de documentation qui a servi le scénario. c'est très bien réalisé comme un métronome et bien interprètté surtout par Ricardo DARIN. Un seul bémol qui n'ajoute rien au film voire le dessert un peu l'histoire privée entre le père et sa fille !
    dominique P.
    dominique P.

    836 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2018
    Il s'agit d'un thriller à la fois politique et psychologique.
    Ce film est de grande qualité, très bien mené, très bien dialogué et réellement captivant.
    Il y a également un peu de fantastique.
    Aussi l'ambiance feutrée est troublante.
    Nous sommes bien tenus en haleine.
    Egalement le lieu (la cordillère des Andes) est très beau.
    J'ai beaucoup de mal à comprendre les quelques critiques négatives.
    ffred
    ffred

    1 698 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2018
    Je n’avais pas spécialement aimé El estudiante, le premier film de Santiago Mitre. Pour tout dire, je n’avais pas compris grand-chose. C’était très politique. El Presidente l’est aussi. Mais l’action ne se situe pas dans les mêmes sphères. Les rouages de la diplomatie et des négociations internationales, si elles reflètent bien la réalité, sont clairement présentés. Le tout, mêlé aux problèmes personnels et familiaux du président, où l’on flirte même parfois avec le fantastique, nous donne une ambiance bien particulière nous offrant un suspens tendu qui nous tient en haleine jusqu’à la dernière minute. Le réalisateur a gagné en maturité. Sa mise en scène est plus posée, plus ample, plus élégante. Le récit est cette fois plus compréhensible. Même assez limpide. Voilà un thriller politique et psychologique (sur fond de drame familial) rondement mené, bien écrit et bien mis en image. La direction d’acteurs est impeccable. Le casting, sud-américain et hispanique (avec une exception : l’américain Christian Slater, parfait) est de haute volée. Avec à sa tête, le toujours excellent Ricardo Darin, une nouvelle fois formidable. Une belle surprise donc, comme assez souvent, en provenance d’Amérique du sud. Un film aussi réussi sur la forme que sur le fond. Solide, efficace, prenant.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2018
    Un film qui nous plonge dans un grand sommet des pays Amérique du Sud avec chaque président qui essaient de négocier selon l'ordre du jour et vient se greffer les problèmes d'une fille d'un des présidents tout cela mené comme un thriller intéressant mais pas complètement abouti à voir
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2018
    Difficile après avoir vu le film d'avoir une impression précise de son déroulement. Mélangeant un peu les genres, on est un peu déstabilisé au milieu du film quand le film politique prend une tournure psychologique pour revirer ensuite sur des enjeux purement stratégiques et économiques, sans être vraiment sûr de pouvoir tirer des conclusions sur certaines révélations. Ricardo Darin est, comme à son habitude, impeccable. Son jeu subtil et son personnage, à l'effacement trompeur, font mouche. Cependant, le côté assez lent du film, jusqu'à sa moitié, et le fait qu'on ne sache pas vraiment sur quel pied danser, peut effectivement en rebuter certains.
    Stéphane C
    Stéphane C

    59 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    Un thriller politique assez inégal. Si l’idée du sommet réunissant les chefs d’Etats sud américains est plutôt séduisante, l’irruption de la fille - faisant remonter à la surface le scandale de corruption - et l’aspect psychanalytique restent plus que douteux ...
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 janvier 2018
    Le film comprend, en fait, 2 histoires, d’une part, celle du président argentin (Ricardo Darín), Hernán Blanco, qui participe à un sommet des présidents des états d’Amérique du Sud au Chili (dans un hôtel isolé à 3 000 m d’altitude, afin de créer l’Alliance Pétrolière du Sud) et d’autre part, ses relations difficiles avec sa fille, Marina, qui souffre de problèmes psychologiques et dont le mari (dont elle est séparée) menace de dévoiler les fausses factures de son beau-père alors qu’il était gouverneur de la province de La Pampa. Le 1er sujet est le plus intéressant : on y découvre les égos des chefs d’états (Hernán Blanco passe pour un homme ordinaire voire sans talents ni compétence) ainsi que les postures et les manipulations des uns et des autres pour défendre l’intérêt de leur pays mais aussi le leur : spoiler: défiance du Mexique vis-à-vis du géant Brésil, hostilité vis-à-vis des Etats-Unis (excellent Christian Slater qui joue l’envoyé du président américain, cynique, manipulateur et charmeur à la fois), pays voisin mais pas frère, sans pour autant, refuser leur aide économique
    . Passionnant mais trop court : on est loin, de « L’exercice de l’état » (2011) de Pierre Schoeller ou même de la comédie « Quai d’Orsay » (2013) de Bertrand Tavernier. Ce sommet (au sens propre et figuré !) est parasité par les troubles psychologiques de Marina dont son père pourrait être responsable : le fait d’être homme politique apporte peu et le réalisateur ne tranche pas concernant la véracité de ses propos. Dommage car le film devient décevant, ne sachant pas quel sujet traiter. Un film bancal mais aux belles images de paysages andins et à la superbe musique d’Alberto IGLESIAS, surtout connu pour être le compositeur attitré de Pedro Almodóvar depuis 1995 et qui a d’ailleurs obtenu 10 fois le Goya de la meilleure musique de film entre 1995 et 2012. .
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2018
    Le nouveau président argentin, Hernan Blanco, participe à son premier sommet international dans les Andes chiliennes. Le Brésil souhaite créer une alliance pétrolière latino-américaine ; mais le Mexique s'y oppose. Pour le président néophyte, sans expérience internationale, élu sur la promesse d'une présidence "normale", ce sommet est un test. Mais son passé le rattrape.

    Santiago Mitre avait réalisé en 2011 un premier film prometteur. "El Estudiante" racontait l'initiation politique d'un jeune homme révolté. On se plaît à imaginer que ce jeune homme talentueux a mûri pour être élu une vingtaine d'années plus tard président d'Argentine, décalque latino-américain du président "normal" François Hollande. On le retrouve sous les traits de Ricardo Darín, l'acteur le plus séduisant de l'hémisphère sud ("Kóblic", "Truman", "Les nouveaux sauvages", etc.).

    "El Presidente" aurait pu être un passionnant thriller géopolitique. On en voit l'esquisse durant le premier quart d'heure, le temps de planter le décor à trois mille mètres d'altitude, dans un luxueux hôtel de haute montagne. En quelques mots, l'intrigue est posée. Le Brésil pousse la création d'une OPEP latino-américaine sur laquelle il aurait la haute main. Le Mexique, instrumentalisé par les États-Unis, ne voit pas ce projet d'un œil favorable qui donnerait trop de puissance à Brasilia. L'Argentine est en position d'arbitre.

    Hélas "El Presidente" se perd en chemin.
    Il se perd en ajoutant à cette trame géopolitique un drame privé dont il n'avait aucun besoin. Le président a une fille qui vient de divorcer et qui souffre de troubles mentaux. Sans aucune crédibilité, il lui demande de le rejoindre - alors que la pauvrette aurait mieux fait de se faire soigner à Buenos Aires - et passe à son chevet un temps incompatible avec ses obligations protocolaires
    Il se perd en caricaturant la négociation internationale. On voit ainsi le président argentin rencontrer en catimini un obscur fonctionnaire américain (Christian Slater dont on se demande ce qu'il vient faire dans cette galère) qui lui propose un pacte faustien.

    C'est dommage. car "El Presidente" avait l'étoffe d'un grand film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Excellent thriller politique, l âme argentine et ses spécificités sont très bien traitées, les deux histoires se rejoignent pour un final aussi parfait qu’innatendu.
    Hervé L
    Hervé L

    73 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Un film qui aurait pu être très bon mais qui reste en deçà de ses espérances le scénario est intéressant mais les pistes soulevées restent inexploitées le cinéma argentin m avait habitué à aller plus loin
    plus loin dans l immense corruption du système qui est effleurée et plus loin dans la profondeur des mécanismes psychologiques le passé du président sûrement très trouble est à peine entrevu
    Malgré un magnifique Ricardo Darin impérial on reste sur sa faim
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Le président argentin, alors qu’un scandale financier se dessine, se rend à un sommet sur l’exploitation de l’énergie d’Amérique du Sud, avec d’autres présidents latino-américains, dont le puissant président brésilien. Sa fille, fragile psychologiquement, le rejoint. Il tente de la faire soigner.

    Je recommande ce film cynique à triple suspense (suspense psychanalytique, suspense géopolitique, suspense politique) pour plusieurs raisons :

    – Le cadre : à 3000 mètres, au coeur de montagnes chiliennes sublimes : ses routes à lacets, son hôtel à la déco des années 50 qui rappelle Hitchcock, une luminosité glaciale de haute montagne.

    – l’acteur principal, Ricardo Darin : énigmatique à souhait, homme manipulé ou alors lui-même maestro de la manipulation, tant politique que familiale, avec son regard clair impénétrable.

    – la mise en scène, avec une musique de circonstance, lesquelles mettent en place un suspense d’excellente facture.

    On peut reprocher au scénario d’être inabouti, de laisser plusieurs questions en suspens, mais c’est peut-être l’effet escompté : laisser planer le mystère autour de « el presidente ».
    this is my movies
    this is my movies

    701 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2018
    Bon, on va commencer par évacuer une question centrale : le présent film est une petite claque visuelle, contenant en son sein certains des plus beaux plans de cinéma que j'ai pu voir, avec des idées visuellement brillantes, des effets de style qui s'intègrent parfaitement au propos, des mouvements de caméra impeccables, une vraie capacité à installer une atmosphère pesante, bref, c'est vraiment un petit bijou de mise en scène. Autre évidence, c'est bien sûr le casting, dominé par un Ricardo Darin qui s'impose définitivement comme l'un des plus grands acteurs de notre ère. C'est bien simple, dans chacun des plans dans lesquels il apparaît (presque tous), il bouffe l'écran, impose son charisme, son regard hypnotique, sa démarche féline, son calme qui cache des tourments intérieurs parfaitement retranscrits, bref, il est exceptionnel dans ce rôle taillé sur mesure. Le reste est à l'avenant, avec de belles prestations des 2nds rôles, un peu moins connus à l'international comme Dolores Fonzi, Erica Rivas ou encore Gerardo Romano. On retrouve aussi ce bon vieux Christian Slater, sortit du purgatoire par la série «Mr Robot» et qui démontre que, bien dirigé et avec un rôle adéquat, il peut encore sortir des prestations de haut niveau. Et puis il y a Elena Anaya, certes brillante mais dans un rôle qui polarise un peu les défauts du film. Car oui, le film est loin d'être aussi génial promis que le promettait son pitch et encore moins une réputation assez flatteuse depuis son passage à Un Certain Regard à Cannes. Le principal problème vient de la narration, un écueil souligné par certains critiques qui ont beaucoup aimé le film. Il faut dire qu'on se retrouve parfois avec des scènes dont on se demande bien ce qu'elles font là. Le principe de base est pourtant palpitant, nous plongeant dans un jeu de pouvoirs, d'intrigues, de compromissions, de négociations en sous-main, d'histoires de corruption, bref, de ce qui gangrène une large partie de l'exercice du pouvoir par des hommes politiques soumis à différentes pressions. Et oui, sauf que cette partie du film n'occupe pas l'ensemble de l'intrigue, qui se dilue parfois de manière trop abstraite dans l'intrigue familiale, qui normalement devrait s'entremêler plus harmonieusement avec l'intrigue politique, afin d'illustrer le parcours chaotique de cet homme. Sauf qu'après la scène d'hypnose, le tout déraille complètement. On se demande où Santiago Mitre veut en venir, pourquoi on s'attarde là-dessus, quelle métaphore se cache au milieu de tout ça (d'autant que la finalité reste énigmatique). Bref, c'est brouillon, mal agencé, parfois maladroit, et ça n'aboutit pas sur grand chose. C'est d'autant plus dommage que toute l'intrigue politique est plutôt passionnante et incroyablement bien vue. C'est dans ces scènes que la mise en scène décolle, que l'atmosphère nous prend aux tripes, que notre œil guette chaque mouvement des protagonistes. Et on se demande ce que vient faire la brave journaliste campée par Elena Anaya, introduite comme un personnage central avant de devenir inutile et sans emprise sur les événements. C'est rageant aussi parce que le film dresse beaucoup de ponts avec une certaine politique dans laquelle nous pouvons nous reconnaître (le président argentin est surnommé L'Homme Invisible par certains éditorialistes et s'est présenté sous le visage d'un homme normal voire banal). Cette thématique de l'Homme normal qui devient président était pourtant intéressante, surtout quand on sait que l'Homme est faillible, sa normalité devenant alors synonyme de faiblesse dans ce monde rude, cruel et fourbe. C'est en effet un homme exceptionnel, inflexible et incorruptible qu'il faut, et non un homme comme les autres, qui suit le chemin tracé par l'argent. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2018
    Un sommet politique perché sur les hauteurs du Chili, plusieurs pays sud-américains prêts à passer un accord majeur pour du pétrole et le président argentin au milieu de tout ça, attendu au tournant par ses pairs. Lui, l'homme normal, élu président alors qu'il n'était qu'un simple maire avant, est observé d'un œil attentif. Rattrapé par une histoire racontée par son ex-gendre, devant gérer les troubles de sa fille et le sommet politique, le président doit se montrer ferme et habile s'il veut que son pays tire le meilleur de la situation et si cela implique de rencontrer les américains en privé, pourquoi pas... Avec ce thriller politique baignant dans une atmosphère à la lisière du fantastique (les décors et la musique aidant), Santiago Mitre nous montre les coulisses du pouvoir avec un réalisme saisissant, mêlant à la fois l'intrigue politique (où l'on croise de façon étonnante Christian Slater en envoyé américain !) et l'intrigue personnelle où l'on devine les parts d'ombre de ''l'homme normal'' qu'est le président argentin, le tout contrebalancé par les propos de sa fille, difficilement cohérents mais recelant visiblement une part de vérité. A force de semer le trouble, Mitre perd son spectateur et son président, superbement interprété par Ricardo Darin, se cerne difficilement, coincé entre deux nœuds narratifs. Quand celui concernant la politique reprend le dessus, à travers une longue scène expliquant les enjeux et le nid de vipères qu'ils représentent, "El Presidente" dévoile une belle force et une belle analyse politique, pertinente et vraisemblable.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2018
    La question de la morale est le thème majeur des films de l'argentin Santiago Mitre, qui figure parmi les cinéastes latino-américains les plus talentueux du moment (et il a moins de 40 ans). Après El estudiante et le magnifique Paulina, El presidente nous transporte sur les sommets, dans la Cordillère des Andes, auprès de chefs d'états d'Amérique latine. Un film politique ? Oui, entre autres, avec le jeu des alliances entre pays et l'ombre portée des Etats-Unis. Mais le film est aussi le portrait d'un homme en proie à des soucis familiaux et dont la réputation d'individu "ordinaire" pourrait cacher une personnalité bien plus complexe. Le long-métrage de Mitre ne répond pas à toutes les questions et ce n'est pas plus mal, laissant planer de nombreux doutes dans l'air raréfié à haute altitude. Il y a même un soupçon de fantastique dans deux ou trois scènes marquantes dont celle d'une hypnose. Toutes les relations sont ambigües dans ce microcosme (le président argentin et sa conseillère, jouée par la remarquable Erica Rivas, à mille lieues de ses rôles dans Les nouveaux sauvages et Un homme charmant). Quant à la musique d'Alberto Iglesia (un fidèle d'Almodovar et compositeur du prochain Farhadi), elle contribue à donner un aspect hitchcockien à ce thriller superbement réalisé. Enfin, Ricardo Darin (le meilleur acteur du monde ?) est encore et toujours plus que parfait.
    islander29
    islander29

    863 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2018
    Bon c'est vrai que c'est un film un peu compliqué, car il suit deux routes différentes et emmêlées, réunion politique et thriller psychologique.....les deux routes se chevauchent par intermittence, mais le discours n'est pas très clair, et l'on se demande parfois malgré la profondeur des dialogues de quoi veut parler le film....mais cela suit avec plaisir car il y a une noirceur inhérente et de beaux personnages dont Ricardo Darin et sa fille dans le film, qu'il y a des menaces qui pèsent tout au long du scénario, et que le film propose de visiter les complexes sud américains vis à vis des pays du Nord du continent, ainsi qu'en parallèle ne histoire mystérieuse concernant le président de l'Argentine, sus nommé Ricardo Darin..........C'est un film abscons par certains côtés mais qui beaucoup à raconter sur le politiquement correct et l'ambivalence des dirigeants;......Je conseille sans insister outre mesure.
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