Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Closer
par La Rédaction
Un conte fantastique horrifique à souhait.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un film de terreur mesuré, au goût délicieux du rebondissement structurel qui invite à une relecture intégrale. La fusion jouissive entre Shyamalan et Edgar Allan Poe.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Un premier film prometteur, riche d'une mélancolie profonde et parfois terrifiante. On attend avec impatience que son jeune réalisateur maîtrise tout à fait les influences et articulations de son récit.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Assumant pleinement ces références, le cinéaste débutant fait néanmoins preuve d'un talent prometteur dans sa maîtrise du cadre, du hors-champ, de la tension sonore ainsi que de la lumière, exécutant avec une élégance inquiétante cette tragédie gothique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film d’horreur émouvant mise sur une écriture d’une précision millimétrée, jalonnée d’ellipses et d’indices, et une construction habile façon puzzle qui ne comporte aucune incohérence.
Le Parisien
par Marine Quinchon
Les jeux de lumière, la mise en scène qui ne laisse rien voir, la musique qui n’est jamais aussi terrifiante que quand elle s’arrête... Tout est fait pour confondre le spectateur, et notamment les ados en quête de grosse frayeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Perrine Quennesson
Plus qu’un véritable film de fantôme, le long métrage de Sergio G. Sanchez est d’abord un drame familial à tiroirs plus ou moins huilés. Mais c’est aussi un écrin idéal pour confirmer le statut de nouvelle reine du frisson d’Anya Taylor-Joy, après Split et The Witch.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Ce conte gothique arrive un peu tard dans le cinéma fantastique espagnol : dix ans après "L'Orphelinat" (2007), c’est beaucoup.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film témoigne d’un certain savoir-faire, sans bouleverser les conventions et les trucs (ellipse artificielle et coup de théâtre final) d’un genre en voie d’épuisement.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Le duo espagnol Sanchez/Bayona nous en offre un pot-pourri récitant, ad nauseam, la recette d’une horreur vintage qui ne surprend plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
En dehors d’un jeu de réarrangement des motifs shyamalaniens, ce "Secret des Maroowbone" manque de brillance.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Philippe Rouyer
Très influencé par les films de fantômes des années 1990 et 2000 (...), Sanchez échoue à en renouveler l'inspiration et préfère miser sur quelques sursauts de frayeur anodins plutôt que de déployer une mise en scène inventive.
Télérama
par Frédéric Strauss
La cruauté de ce personnage électrise l’atmosphère et débouche sur des moments d’une noirceur troublante. Mais les décors, d’un goût discutable — genre fausse campagne anglaise —, donnent au film un air vieillot. Quant à la surprise que réserve le scénario, son audace est gâchée par une mise en scène gentillette…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Closer
Un conte fantastique horrifique à souhait.
aVoir-aLire.com
Un film de terreur mesuré, au goût délicieux du rebondissement structurel qui invite à une relecture intégrale. La fusion jouissive entre Shyamalan et Edgar Allan Poe.
Ecran Large
Un premier film prometteur, riche d'une mélancolie profonde et parfois terrifiante. On attend avec impatience que son jeune réalisateur maîtrise tout à fait les influences et articulations de son récit.
L'Obs
Assumant pleinement ces références, le cinéaste débutant fait néanmoins preuve d'un talent prometteur dans sa maîtrise du cadre, du hors-champ, de la tension sonore ainsi que de la lumière, exécutant avec une élégance inquiétante cette tragédie gothique.
Le Journal du Dimanche
Ce film d’horreur émouvant mise sur une écriture d’une précision millimétrée, jalonnée d’ellipses et d’indices, et une construction habile façon puzzle qui ne comporte aucune incohérence.
Le Parisien
Les jeux de lumière, la mise en scène qui ne laisse rien voir, la musique qui n’est jamais aussi terrifiante que quand elle s’arrête... Tout est fait pour confondre le spectateur, et notamment les ados en quête de grosse frayeur.
Première
Plus qu’un véritable film de fantôme, le long métrage de Sergio G. Sanchez est d’abord un drame familial à tiroirs plus ou moins huilés. Mais c’est aussi un écrin idéal pour confirmer le statut de nouvelle reine du frisson d’Anya Taylor-Joy, après Split et The Witch.
La Septième Obsession
Ce conte gothique arrive un peu tard dans le cinéma fantastique espagnol : dix ans après "L'Orphelinat" (2007), c’est beaucoup.
Le Monde
Le film témoigne d’un certain savoir-faire, sans bouleverser les conventions et les trucs (ellipse artificielle et coup de théâtre final) d’un genre en voie d’épuisement.
Les Fiches du Cinéma
Le duo espagnol Sanchez/Bayona nous en offre un pot-pourri récitant, ad nauseam, la recette d’une horreur vintage qui ne surprend plus.
Les Inrockuptibles
En dehors d’un jeu de réarrangement des motifs shyamalaniens, ce "Secret des Maroowbone" manque de brillance.
Positif
Très influencé par les films de fantômes des années 1990 et 2000 (...), Sanchez échoue à en renouveler l'inspiration et préfère miser sur quelques sursauts de frayeur anodins plutôt que de déployer une mise en scène inventive.
Télérama
La cruauté de ce personnage électrise l’atmosphère et débouche sur des moments d’une noirceur troublante. Mais les décors, d’un goût discutable — genre fausse campagne anglaise —, donnent au film un air vieillot. Quant à la surprise que réserve le scénario, son audace est gâchée par une mise en scène gentillette…