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AlexR
1 abonné
135 critiques
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2,5
Publiée le 9 décembre 2020
NON!! Pourquoi avoir oubliés la technique des deux premiers chapitres, le chapitre 3 commençais déjà à être plus que moyen, mais malheureusement ce quatrième chapitre est une descente au enfers, le réalisateurs a totalement basculé vers un cotés trop banal, j'attendais beaucoup de ce quatrième chapitre mais il ma déçu. L'impact des deux premiers on totalement disparu, ce chapitre semble trop fantastique avec une fin tiré presque d'un film de science fiction et qui au passage ne fais absolument pas peur. J'espère un retour au source, notamment dans l'ambiance et surtout dans le scénario qui n'a ni queue ni tête.
Après le chef-d'œuvre Insidious 1, le plutôt cool Insidious 2 et le très décevant Insidious 3, voici Insidious 4 : La dernier clé, réalisé par Adam Robitel (qui à notamment fait le très mauvais Escape Game). Donc je partais très inquiet pour cette suite et finalement, je l'ai trouvé assez bien dans l'ensemble. Oui, il ne surpasseras jamais le premier du nom, mais il est déjà mieux que son prédécesseur (Insidious 3). Les monstres sont vraiment effrayant, on sent une vrai tension qu'il n'y avait pas dans le troisième opus. Malheureusement, je trouve que le film ne fait pas si peur que ça, mais pour vrai, la saga Insidious sont plutôt des films qui angoisse, plutôt qui fait peur. Adam Robitel livre une réalisation très simpliste, il ne prend aucun risque dans la mise en scène, alors que je pense il y avait vraiment quelque choses à faire. Les acteurs font leurs boulot, scénario passable, la musique et les effets sonores sont ouai, comparé au premier opus. Je comprend tout à fait que Insidious 4 ne soit pas aimé, mais moi j'ai passé un assez bon moment devant. Maintenant plus qu'à voir Insidious 5 (probablement en 2022), réalisé par notre Patrick Wilson qui fera son grand retour dans la saga, devant et derrière la caméra, hâte de revoir aussi Ty Simpkins (le petit garçon dans le coma du premier opus) qui reprendra aussi son rôle de Dalton Lambert, qui a bien grandi.
Et oui encore une fois je ne peux être objective tant j adore, même si ma préférence va au numéro 3 avec l adolescente dans l appartement. Il y a là tous les ingrédients d une bonne soirée, avec de la flipette et de bons acteurs. Insidious, j en voudrais tous les soirs à la place de cette nullité de télévision.
Un jour il faut savoir arrêter une franchise. C’est le cas des « Insidious ». Depuis le départ de James Wan après le second volet, il n’y a plus grand-chose de bon.
Ce quatrième volet, contrairement à son prédécesseur, tente de raconter une histoire pour le moins intrigante : l’origin story d’Elise. Et pour la première fois un lien est fait entre phénomènes surnaturels et délires de psychopathes, captivité et meurtres. Tout se serait bien passé si la fin n’était pas sous forme de « deus ex machina » à deux sous et si l’écriture (pourtant faite par Leigh Whannell, talentueux acolyte de James Wan et à présent réalisateur de trois long-métrages dont « Upgrade » et « Invisible Man ») n’avait pas tout saboté. Des intrigues amoureuses qui détruisent un film on en a vu mais alors là ça dépasse l’entendement. Et puis l’horreur on aime bien mais les jumpscares qui utilisent à chaque fois la même recette – grand silence de mort et puis monstre ou corps entrant dans le plan subitement – on en a un peu assez.
« Insidious 4 » proposait donc au départ une narration intéressante mais se noie comme le 3ème opus dans un ramassis de clichés et de scènes grotesques à souhait. Dommage.
"Insidious la dernière clé" est un film qui comme énormément de films d'horreur a pour cadre la famille et le foyer dans lequel celle-ci vit: un élément perturbateur (ici un démon me semble-t-il) s'attaque à la famille, ce qui peut permettre d'en révéler la fragilité, d'autant plus qu'ici est aussi abordé le thème de la maltraitance des enfants. Donc "Insidious" est un film au premier abord sans grande originalité, qui arrive à faire parfois (ou souvent, c'est selon les spectateurs) peur via divers effets de style. Je retiens toutefois une approche assez optimiste et positive, justement notamment en ce qui concerne la famille et ses valeurs, bien malmenées au début (maltraitance des enfants) mais qui notamment vers la fin montre que tout cela n'est pas une fatalité, qu'on peut se reconstruire et pourquoi pas renouer des liens et fonder une nouvelle famille. Enfin, on peut aussi noter un renversement de situation assez impressionnant, que je n'avais pas vu vernir, mais qui est malheureusement mal situé (à la moitié du film)...Donc un film d'horreur classique (ce qui n'est pas forcément un mal...) avec un petite touche originalité...
Pour sûr bien meilleur que le 3 mais encore une fois c'est un préquel, on sent bien que la saga s’essouffle et n'arrive plus à pondre quelque chose de nouveau, même si ce film était pas si mal mais le problème est qu'on ne sait même plus ce qu'est la saga insidious, c'est spin-off sur spin-off.
La gageure que réussit la quadrilogie Insidious est de ne pas sacrifier à ce raccourci si facile entre médiumnique et satanisme, mélange certes spectaculaire mais qui trahit les lois du spiritisme : le spiritisme n'a rien à voir avec le diable, mais il a à voir avec les morts, parmi lesquels peuvent se trouver des êtres malfaisants (c'est justement là qu'est le levier de l'épouvante). C'est sans doute cette nuance importante qui rend ces films si attachants, car ils sont plongés avant tout dans le réel. Quand Elise, la medium récurrente, revient ici dans la maison de son enfance, elle y retrouve les malfaisants d'autrefois mais surtout plusieurs strates de cruautés qui se sont accumulées après ces 40 ans d'absence. Quand elle est fatiguée de chercher, elle dit à ses deux équipiers : "C'est bon pour aujourd'hui, on reprend demain." Dans un film d'horreur classique, le héros est pris dans une spirale qui ne lui laisse aucun repos, une spirale qui va de pire en pire et dont il ne sait comment sortir (La Nonne). Rares sont les films qui nous font visiter et comprendre ce que peut être l'au-delà, "le lointain" ou le "plus loin" selon les traductions, représenté une fois de plus dans ce quatrième volet, que l'on est vraiment tenté de considérer comme le meilleur des quatre. Avec de très bonnes idées scénaristiques, en tête desquelles la rencontre de l'irréel et d'une enquête policière. Avec James Wan à la production, bien sûr.
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1,5
Publiée le 22 juillet 2019
Que vaut ce quatrième opus de "Insidious" ? Eh bien, pas grand chose si ce n'est que certaines pièces du puzzle s'assemblent! Les deux premiers volets traitaient de la famille Lambert avec une puissance malèfique qui hantait leur maison, et de cette mèdium, Elise, qui venait en compagnie de ses deux assistants pour l'aider! Le troisième opus avait fait le choix d'un prèquel, centrè sur la mèdium qui venait en aide à une petite fille! Dans "Insidious: The Last Key", nous sommes une nouvelle fois dans un prèquel, il s'agit d'aller jusqu'aux racines même de Elise puisqu'on retourne dans sa maison familiale où d'ètranges puissances malèfiques sont à l'oeuvre [...] Produit par James Wan, cette quatrième mouture de "Insidious" applique à la lettre la recette classique de la franchise avec des sèquences horrifiques, une ambiance pesante, des jump-scares à foison...et un nouveau dèmon! C'est bien fait mais les ficelles sont dèjà usèes depuis belle lurette avec des blagues lourdingues mal placèes...
Cette franchise s'essouffle sérieusement avec ce déjà quatrième numéro, prévisible et tristounet. Le scénario essaye de nous faire croire qu'il y a encore des choses à raconter dans cette histoire, mais difficile de ne pas trouver le projet cousu de fil blanc. L'épouvante devient un produit avec son propre calibre labellisé "Insidious" qui ne fait plus vibrer. Ce n'est pas aussi mauvais que "Ouija" et compagnie, mais ce film-là ne propose évidemment rien de neuf. Un peu comme "Saw" et tant d'autres dans les 80s, où les suites n'avaient d'autre ambition que de capitaliser sur le succès d'une formule. Un futur oublié des services VOD.
DELIVRE NOUS DU MAL. Pourquoi on n'est pas né sous la même étoile? Pourquoi je suis à l'agonie? Pourquoi je m'emmerde? Pourquoi le venin de l'échec? Pourquoi la porte est verrouillée? Pourquoi je suis un spectateur du désespoir? Pourquoi ils ont perdu la clé? Dernier recours, le pied de biche.
Ce quatrième opus de la saga Insidious s'intéresse à l'histoire d'Élise, et est donc un spin-off/prequel si je ne me trompe pas. L'idée d'approfondir le personnage est bonne tant elle est importante dans la série de films, et l'histoire qui en découle est correcte. Les principaux défauts sont l'humour qui ne colle pas aux situations et brise la tension, et l'abus de jump scares malheureusement récurrent dans ce genre de production. En revanche le design de l'antagoniste principal est plutôt bien foutu et ses apparitions sont savamment distillées. The Last Key est donc inégal mais n'est pas désagréable à visionner pour les amateurs du genre.
De gros effets pour quelques sursauts et ce constat que la franchise n'a plus grand chose à raconter... Difficile donc de s'intéresser à ce film qui ne fait que tirer sur de grosses ficelles.