Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Gudnason est remarquable.
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Des portraits précis de deux hommes qui exprimaient différemment la même détermination.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Le grand frisson est au rendez-vous !
L'Humanité
par Nicolas Guillermin
Ceux qui ne suivent pas le tennis y trouveront leur compte. Car hormis quelques invraisemblances, oubli ou anachronisme, la dramaturgie offre une réjouissante plongée dans l’univers de la petite balle, blanche à l’époque, où les joueurs étaient des rock stars, pas encore aseptisés par le sport business.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La finale de Wimbledon 1980, affrontement épique entre deux champions que tout opposait, offre au cinéaste Janus Metz la matière idéale d’un drame psychologique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un sujet en or pour un film qui non seulement fait revivre par une reconstitution léchée une des grandes rivalités sportives du siècle, mais qui illustre un art du scénario et de la dramaturgie que ne renierait pas Hollywood.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Shia LaBeouf, teigneux, imprévisible et touchant, trouve là son meilleur rôle. Sverrir Gudnason est quasiment un sosie de Borg. On admire autant l'un que l'autre. Janus Metz filme ces gladiateurs des temps modernes à la bonne distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Le cinéaste rend palpable la pression que doivent éprouver les deux hommes avant de se rencontrer à Wimbledon pour une finale haletante.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On a beau connaître l'issue de leur duel ultraserré, réputé être le "match du siècle", le biopic, passionnant et intense, parvient à maintenir le suspense.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Plus profond que le commun des biopics, le film de Janus Metz donne à voir les mécanismes psychologiques d’un champion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
(...) un duo entre deux rock-stars qui composent ensemble un chef-d'oeuvre, une symphonie de gestes, de coups de raquette et de rebonds, une écriture spatiale de leur état émotionnel profond.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Shia LaBeouf (McEnroe) se fait voler la vedette par l'inconnu Sverrir Gudnason incroyable en Bjorn Borg.
Positif
par Hubert Niogret
Outre l’aspect double biopic, la reconstitution sportive est passionnante, le réalisateur a fait rejouer les entraînements et le match par deux acteurs remarquables (Gudnason et LaBeouf) mais qui ne sont pas des joueurs de tennis.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Comme quoi un film sur le sport qui ne reste pas superficiel, c’est possible…
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Non seulement la reconstitution du match est très réussie (c'était une réelle inquiétude), maîs ce que dévoile ce film sur le côté obscur d'« IceBorg » est aussi inattendu que passionnant.
aVoir-aLire.com
par Olivier Raynaud
Sous ses allures de biopic passe-partout sur la vie de deux figures emblématiques des années 80, ce regard sportif va puiser dans la psychologie de ses personnages toute la force de son propos.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La Rédaction
Sport cinégénique (...), le tennis apporte ici au réalisateur une ressource fertile de tension cinématographique, qu’il réussit à sublimer. Dommage en revanche que le film privilégie le point de vue de Sverrir Gudnason, alias Borg, car Shia LaBeouf, dans la peau de l’irascible McEnroe, était un choix plus qu’intéressant.
Critikat.com
par Fabien Reyr
Le réalisateur suédois Janus Metz tire de ce match (et des semaines qui le précèdent) un film rondement mené, qui parvient à captiver et à maintenir de bout en bout une vraie tension, même si l’on en connaît l’issue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Soigné mais désincarné, appliqué mais trop mécanique, ce "Borg/McEnroe" s'adresse plus aux inconditionnels du tennis qu'aux cinéphiles.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Reste la facture du film, qui pâtit d'un montage trop aléatoire pour faire frémir ou galvaniser le spectateur. Ce qui ne l'empêchera pas de prendre du plaisir à (re)vivre une page sportive historique.
Le Monde
par Murielle Joudet
Si l’on espère un temps que le film creusera la veine de biopic expérimental, il peine à éviter les écueils propres à son genre.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Ce film suédois ne bénéficie pas d’un gros budget et cela se voit, dans la mise en scène qui fait parfois penser à un téléfilm. (...) N’empêche : on n’a jamais vu Borg, en vase clos avec sa compagne qui semble le craindre, isolé dans son monde mental, de manière aussi intime.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
(...) une fresque haletante, brillamment mise en images.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frederic Foubert
Sur le plan du biopic, du portrait de champion, le film suit une trame extrêmement classique et développe des thèmes attendus (...). Rien de neuf depuis Hugh Hudson ou Raging Bull. Mais ça n’empêche pas le film de marquer très vite des points grâce à son cast grand style.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
(...) le film, maîtrisé, permet de revivre l'une des finales les plus mythiques de l'histoire du tennis.
Télérama
par Samuel Douhaire
Le film convainc davantage quand il sort du court, et s’immisce dans la vie familiale tourmentée des deux légendes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Sans surprise, tout mène au combat des chefs avec une emphase de réalisation (grosse musique, ralentis) et un recours abusif aux flash-back sur des traumas d’enfance qui ne rendent pas justice à l’engagement des deux interprètes.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Le film se replie très vite sur lui-même et démontre la difficulté des cinéastes à rendre le tennis prenant et vivant à l'écran.
L'Obs
par François Forestier
Le dernier quart d'heure consacré au match donne très envie de revoir le vrai. Sport : un. Cinéma : zéro.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
Gudnason est remarquable.
CinemaTeaser
Des portraits précis de deux hommes qui exprimaient différemment la même détermination.
Elle
Le grand frisson est au rendez-vous !
L'Humanité
Ceux qui ne suivent pas le tennis y trouveront leur compte. Car hormis quelques invraisemblances, oubli ou anachronisme, la dramaturgie offre une réjouissante plongée dans l’univers de la petite balle, blanche à l’époque, où les joueurs étaient des rock stars, pas encore aseptisés par le sport business.
La Croix
La finale de Wimbledon 1980, affrontement épique entre deux champions que tout opposait, offre au cinéaste Janus Metz la matière idéale d’un drame psychologique.
Le Dauphiné Libéré
Un sujet en or pour un film qui non seulement fait revivre par une reconstitution léchée une des grandes rivalités sportives du siècle, mais qui illustre un art du scénario et de la dramaturgie que ne renierait pas Hollywood.
Le Figaro
Shia LaBeouf, teigneux, imprévisible et touchant, trouve là son meilleur rôle. Sverrir Gudnason est quasiment un sosie de Borg. On admire autant l'un que l'autre. Janus Metz filme ces gladiateurs des temps modernes à la bonne distance.
Le Figaroscope
Le cinéaste rend palpable la pression que doivent éprouver les deux hommes avant de se rencontrer à Wimbledon pour une finale haletante.
Le Journal du Dimanche
On a beau connaître l'issue de leur duel ultraserré, réputé être le "match du siècle", le biopic, passionnant et intense, parvient à maintenir le suspense.
Les Fiches du Cinéma
Plus profond que le commun des biopics, le film de Janus Metz donne à voir les mécanismes psychologiques d’un champion.
Les Inrockuptibles
(...) un duo entre deux rock-stars qui composent ensemble un chef-d'oeuvre, une symphonie de gestes, de coups de raquette et de rebonds, une écriture spatiale de leur état émotionnel profond.
Ouest France
Shia LaBeouf (McEnroe) se fait voler la vedette par l'inconnu Sverrir Gudnason incroyable en Bjorn Borg.
Positif
Outre l’aspect double biopic, la reconstitution sportive est passionnante, le réalisateur a fait rejouer les entraînements et le match par deux acteurs remarquables (Gudnason et LaBeouf) mais qui ne sont pas des joueurs de tennis.
Rolling Stone
Comme quoi un film sur le sport qui ne reste pas superficiel, c’est possible…
Télé 7 Jours
Non seulement la reconstitution du match est très réussie (c'était une réelle inquiétude), maîs ce que dévoile ce film sur le côté obscur d'« IceBorg » est aussi inattendu que passionnant.
aVoir-aLire.com
Sous ses allures de biopic passe-partout sur la vie de deux figures emblématiques des années 80, ce regard sportif va puiser dans la psychologie de ses personnages toute la force de son propos.
CNews
Sport cinégénique (...), le tennis apporte ici au réalisateur une ressource fertile de tension cinématographique, qu’il réussit à sublimer. Dommage en revanche que le film privilégie le point de vue de Sverrir Gudnason, alias Borg, car Shia LaBeouf, dans la peau de l’irascible McEnroe, était un choix plus qu’intéressant.
Critikat.com
Le réalisateur suédois Janus Metz tire de ce match (et des semaines qui le précèdent) un film rondement mené, qui parvient à captiver et à maintenir de bout en bout une vraie tension, même si l’on en connaît l’issue.
Ecran Large
Soigné mais désincarné, appliqué mais trop mécanique, ce "Borg/McEnroe" s'adresse plus aux inconditionnels du tennis qu'aux cinéphiles.
L'Express
Reste la facture du film, qui pâtit d'un montage trop aléatoire pour faire frémir ou galvaniser le spectateur. Ce qui ne l'empêchera pas de prendre du plaisir à (re)vivre une page sportive historique.
Le Monde
Si l’on espère un temps que le film creusera la veine de biopic expérimental, il peine à éviter les écueils propres à son genre.
Le Parisien
Ce film suédois ne bénéficie pas d’un gros budget et cela se voit, dans la mise en scène qui fait parfois penser à un téléfilm. (...) N’empêche : on n’a jamais vu Borg, en vase clos avec sa compagne qui semble le craindre, isolé dans son monde mental, de manière aussi intime.
Paris Match
(...) une fresque haletante, brillamment mise en images.
Première
Sur le plan du biopic, du portrait de champion, le film suit une trame extrêmement classique et développe des thèmes attendus (...). Rien de neuf depuis Hugh Hudson ou Raging Bull. Mais ça n’empêche pas le film de marquer très vite des points grâce à son cast grand style.
Télé Loisirs
(...) le film, maîtrisé, permet de revivre l'une des finales les plus mythiques de l'histoire du tennis.
Télérama
Le film convainc davantage quand il sort du court, et s’immisce dans la vie familiale tourmentée des deux légendes.
Cahiers du Cinéma
Sans surprise, tout mène au combat des chefs avec une emphase de réalisation (grosse musique, ralentis) et un recours abusif aux flash-back sur des traumas d’enfance qui ne rendent pas justice à l’engagement des deux interprètes.
Studio Ciné Live
Le film se replie très vite sur lui-même et démontre la difficulté des cinéastes à rendre le tennis prenant et vivant à l'écran.
L'Obs
Le dernier quart d'heure consacré au match donne très envie de revoir le vrai. Sport : un. Cinéma : zéro.