Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
(...) superbe balade au pays des rêves fêlés.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Adapté d’un roman, le nouveau film d’Andrew Haigh brille par sa simplicité. Un regard juste sur l’adolescence esseulée et la détermination, sur fond de grands espaces ouest-américains, d’amitié avec l’animal, et de célébration des êtres en marge.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Alain Zind
Le refus de pesanteur, et l'interdiction de signifier l’arrêt définitif du récit, font toute la beauté envoûtante de La Route sauvage et de l’œuvre de son cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un road-movie émouvant.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Pour son adaptation au cinéma, le réalisateur britannique Andrew Haigh a choisi la sobriété. Fidèle au roman, la caméra reste constamment au plus près du personnage de Charley, magnifiquement interprété par le jeune Charlie Plummer.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré ce découpage tranché, le film se révèle cohérent, porté magnifiquement par Charlie Plummer, récompensé du prix du meilleur espoir à la Mostra de Venise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Nous vous conseillons chaleureusement cette douce balade mélancolique et vaporeuse.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le dernier long-métrage d'Andrew Haigh est un film doux et cruel sur les laissés-pour-compte des États-Unis.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Au-delà de son infinie délicatesse, "La Route sauvage" est aussi le lieu d’une double résurrection ; celle du fantôme de River Phoenix en Charlie Plummer et celle d’un état révolu du cinéma de Gus Van Sant dans ce film d’Andrew Haigh.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
De la poésie et de l’émotion sans pathos, voilà le talent évident du Britannique Andrew Haigh, réalisateur de ce road-movie touchant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Fresque d'une Amérique hors des sentiers battus, le film universalise le leitmotiv d'une souffrance qui se fraie un chemin vers le jour.
Première
par Thomas Baurez
Le cinéaste britannique Andrew Haigh investit les Grands Espaces américains et filme l’errance ultra-sensible d’un jeune homme et son cheval. Un beau vertige.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Le portrait est d’autant plus réussi que Charlie Plummer, dix-huit ans, a le charisme poignant et lumineux d’un nouveau River Phoenix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Andrew Haigh confirme qu'il est un cinéaste qui compte.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le meilleur du cinéma indépendant américain. Un récit d'apprentissage sobre, qui sort des sentiers balisés de la narration hollywoodienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit de quelques longueurs, on est touché en plein cœur par ce destin malmené, animé par une farouche volonté de s’en sortir.
Le Parisien
par Catherine Balle
Contemplatif, parfois un peu lent, le film brosse un portrait très sensible d’un ado qui oscille entre espoir et désespoir, douceur et violence.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Bien que sincère, ce récit à fleur de peau pâtit d’un rythme bancal.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par François Forestier
Andrew Haigh filme les paysages de l'Oregon avec talent, et a le bon sens de donner un rôle de vieux bougon à Steve Buscemi, qui donne un peu de piment à ce sirop d'orgeat. Le cheval, Lean on Pete (Repose-toi sur Pete), fait le cabot avec une certaine classe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Le charme de La Route sauvage doit beaucoup à son acteur principal, Charlie Plummer, 18 ans, aux airs de jeune Leonardo DiCaprio. Mais la magie de cette americana contemporaine s’étiole peu à peu. Les promesses du début débouchent sur un exercice de style maniéré, qui aurait gagné à être un peu plus échevelé.
Transfuge
(...) superbe balade au pays des rêves fêlés.
Bande à part
Adapté d’un roman, le nouveau film d’Andrew Haigh brille par sa simplicité. Un regard juste sur l’adolescence esseulée et la détermination, sur fond de grands espaces ouest-américains, d’amitié avec l’animal, et de célébration des êtres en marge.
Critikat.com
Le refus de pesanteur, et l'interdiction de signifier l’arrêt définitif du récit, font toute la beauté envoûtante de La Route sauvage et de l’œuvre de son cinéaste.
Femme Actuelle
Un road-movie émouvant.
Franceinfo Culture
Pour son adaptation au cinéma, le réalisateur britannique Andrew Haigh a choisi la sobriété. Fidèle au roman, la caméra reste constamment au plus près du personnage de Charley, magnifiquement interprété par le jeune Charlie Plummer.
La Croix
Malgré ce découpage tranché, le film se révèle cohérent, porté magnifiquement par Charlie Plummer, récompensé du prix du meilleur espoir à la Mostra de Venise.
La Voix du Nord
Nous vous conseillons chaleureusement cette douce balade mélancolique et vaporeuse.
Le Figaro
Le dernier long-métrage d'Andrew Haigh est un film doux et cruel sur les laissés-pour-compte des États-Unis.
Les Inrockuptibles
Au-delà de son infinie délicatesse, "La Route sauvage" est aussi le lieu d’une double résurrection ; celle du fantôme de River Phoenix en Charlie Plummer et celle d’un état révolu du cinéma de Gus Van Sant dans ce film d’Andrew Haigh.
Paris Match
De la poésie et de l’émotion sans pathos, voilà le talent évident du Britannique Andrew Haigh, réalisateur de ce road-movie touchant.
Positif
Fresque d'une Amérique hors des sentiers battus, le film universalise le leitmotiv d'une souffrance qui se fraie un chemin vers le jour.
Première
Le cinéaste britannique Andrew Haigh investit les Grands Espaces américains et filme l’errance ultra-sensible d’un jeune homme et son cheval. Un beau vertige.
Télérama
Le portrait est d’autant plus réussi que Charlie Plummer, dix-huit ans, a le charisme poignant et lumineux d’un nouveau River Phoenix.
Voici
Andrew Haigh confirme qu'il est un cinéaste qui compte.
aVoir-aLire.com
Le meilleur du cinéma indépendant américain. Un récit d'apprentissage sobre, qui sort des sentiers balisés de la narration hollywoodienne.
Le Journal du Dimanche
En dépit de quelques longueurs, on est touché en plein cœur par ce destin malmené, animé par une farouche volonté de s’en sortir.
Le Parisien
Contemplatif, parfois un peu lent, le film brosse un portrait très sensible d’un ado qui oscille entre espoir et désespoir, douceur et violence.
Les Fiches du Cinéma
Bien que sincère, ce récit à fleur de peau pâtit d’un rythme bancal.
L'Obs
Andrew Haigh filme les paysages de l'Oregon avec talent, et a le bon sens de donner un rôle de vieux bougon à Steve Buscemi, qui donne un peu de piment à ce sirop d'orgeat. Le cheval, Lean on Pete (Repose-toi sur Pete), fait le cabot avec une certaine classe.
Le Monde
Le charme de La Route sauvage doit beaucoup à son acteur principal, Charlie Plummer, 18 ans, aux airs de jeune Leonardo DiCaprio. Mais la magie de cette americana contemporaine s’étiole peu à peu. Les promesses du début débouchent sur un exercice de style maniéré, qui aurait gagné à être un peu plus échevelé.