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christophe117
8 abonnés
251 critiques
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3,5
Publiée le 8 février 2020
On est bien à la croisé entre Solaris, Interstellar et Gravity. Brad Pitt traverse les mêmes quêtes et questions : folie de la solitude, relation père-enfant, angoisse du vide. J'ai aimé tout cela mais j'aurais espéré que le film devînt épique. De ce point de vue, avec la construction du personnage qui passe du type serin au type irascible, la fin m'a un peu déçu. Un beau et bon moment malgré cela.
Un voyage exceptionnel ! Sur le thème et le rythme de 2001 Odyssée de l'espace. Seul un véritable amateur de Science-fiction peut apprécier cette épopée spirituelle et héroïque vers la recherche de soi et de la vie. Une réalisation soignée. Bravo !
l'odyssée spatiale de l'astronaute roy mc bride (brad pitt) dans les coins les plus reculés de notre système solaire a la recherche d'un père qu'il croyait mort et dont les découvertes pourrait représenter un danger pour l'humanité toute entière . surfant sur la vague actuel de films sur l'espace (gravity, interstellar, first man) james gray nous livre une fascinante œuvre visuel et spirituelle de toute beauté brad pitt en quete d'amour filial pour un père qui l'a abandonné lui et sa mère pour (épousé) l'espace et ses mystères est touchant de justesse et de sensibilité un très beau voyage sur la réflexion existentielle , la solitude , et la difficulté de se donner a l'autre et d'aimer un film intimiste et contemplatif avec un message universel très fort
J'ai bien aimé jusqu'au dénouement du film. L'aspect psychologique, le contexte géopolitique, les décors, les effets, j'ai trouvé ça aussi bien qu'un Gravity, voir mieux, même si certaines personnes pensent que c'est long. Après, malheureusement, ça dérape grave. Les incohérences techniques sont telles que le film n'est plus crédible pour un sous. On dirait que le scénariste a pris une pilule "Armageddon" pour bâcler les dix dernières minutes. Concernant le topo du film, les gars cherchent aux confins de notre système solaire des preuves qui existent déjà sur terre. Le scénariste était en manque d’imagination sur ce coup là. Ça s'appelle sûrement de la divulgation douce.
Un film dans l'espace avec un gros budget c'est toujours un plaisir pour l'oeil. Ce film est beau, Brad Pitt est tjr aussi bon. Et voilà.... C'est à peut près tout ! Le scénario je n'ai pas compris .... spoiler: Pourquoi un simple vaisseaux à l'autre bout de notre galaxie causerait des interférences jusqu'à notre planète ? Et a quel moment ils déterminent vraiment que c'est ce vaisseaux le problème ?
C'est dommage, le scénario aurait dû être plus travaillé. Et 2h05 pour un film qui nous emmène sur la lune, mars, Jupiter et Neptune ça fait un peu juste !
Une de plus.. un daube galactique.. ou l'on pense que mettre un acteur connu, quelques pseudo scènes d'actions et un héro qui se remet en question, sa vie, sa famille suffit à faire un chef d’œuvre.. encore raté..c'est décevant de voir un brat pitt dans ce film.. aussi vide que l'espace..
Trip. Roy McBride, astronaute de son état, est le fils de l’illustre Clifford McBride. Et pourquoi Clifford est-il célèbre ? Parce qu’il a été à la tête d’une expédition visant à déterminer si une autre forme de vie intelligente existe quelque part. Il a déjà cherché sur NRJ12, sans succès alors il est parti jusqu’à Neptune. Et plus de nouvelles. De là-bas, il semblerait que son vaisseau envoie des ondes d’énergie qui sèment un sacré bordel sur terre. Bref, le fils est chargé d’aller retrouver le père pour régler ça. Le truc qui frappe en premier dans ce film, c’est son esthétique. On tient là un objet qui nous rappelle la SF de 2001, l’Odyssée de l’Espace. L’année dernière, First Man avait fait le même coup mais celui-ci s’était perdu dans une beauté creuse de papier glacé. Ici, la beauté des images s’associe à un formidable travail sur le son pour délivrer une puissance toute en retenue assez jubilatoire. De ce fait, la violence, présente dans le film par touches, excite autant qu’elle effraie car elle est soudaine et éclatante. A la manière d’un film de Michael Winding Refn. On le sait, la SF, c’est souvent parler de l’autre pour parler de soi et parler de l’ailleurs pour parler de l’ici. C’est aussi explorer l’extérieur pour trouver des réponses aux questions de l’intérieur. Roy, notre héros se retrouve donc à enquêter sur un père dont il se rend compte qu’il le connaît mal. Clifford, le père, est parti au ciel depuis si longtemps que Roy, le fils n’a que des souvenirs parcellaires auxquels il ne peut se fier. En fait, tout le monde connaît son célèbre père mieux que lui. Et surtout, tout le monde connaît le héros. Gratter le vernis de cette célébrité, c’est prendre le risque de faire connaissance avec un homme plus sombre que les fables qu’on a raconté. A fortiori quand la fable est nappée de secret défense. Au fil de son voyage, Roy va devoir comprendre son père et enfin accepter sa disparition. Tuer le père ou couper le cordon. Tout ça littéralement. Se perdre pour toujours pour se retrouver soi enfin et être capable de vivre sa vie parmi les autres. Encore une fois, c’est dans le vide sidéral que l’homme se remplit de matière et d’énergie.Brad Pitt est parfait dans ce rôle de fils perdu et d’homme incomplet. Son regard bleu se perd à merveille dans la profondeur de l’espace et il reflète merveilleusement la pâleur de la Lune. Le père, c’est un Tommy Lee Jones fatigué et habité. A noter que la musique de Max Richter est proprement somptueuse et immersive, une musique électronique minimaliste propice à l’introspection. Tout ça pour dire qu’il faut se jeter sur Ad Astra dès que l’occasion se présente !
Est ce que ce sont les derniers films très réussis dans l'espace et le vide sidéral qui m'ont un peu blasé, peu importe ce Ad astra ne m'a pas passionné. Pire je me suis même ennuyé un peu tenant par la promesse quasi implacable de la réunion attendue du père et du fils, loin dans l'espace et le vide avec qui sait même une révélation, une lumière, l'espoir d'un feu d'artifice émotionnel et d'émerveillement de la découverte de... Mais si j'ai supporté cette lenteur, cet étirement du temps et de l'espace, cette bataille et ces dialogues intérieurs du personnage joué par Brad Pitt, sur le sens de la vie, la solitude, la famille, l'espace, bref cette multitudes de questionnements existentiels et métaphysiques, c'était pour avoir quelques réponses un peu plus clinquantes que ce final assez terne. Brad Pitt arrive à jouer ce personnage très souvent seul, très souvent silencieux si ce n'est en voix off, la plupart du temps en combinaison spatiale ce qui limite l'expression du corps et même du visage et il est difficile d'apprécier vraiment son rôle, d'être en empathie dans un film où finalement ni l'humain ni l'espace ne s'impose réellement. Reste surtout au final les questionnements intérieurs du héros et semble t-il une conclusion où Liv Tyler aura sans doute un rôle, rôle qu'elle n'a pas vraiment eu dans le film bien qu'apparaissant en 2ème place au générique. Bref pas vraiment emballant comme film.
Comment pouvez vous mettre 3, ou 3 et demie quand vous dites détester??? Je suis hallucinée de lire des éloges unanimes de la part de la presse. C est une injure au plausible. Une masturbation intellectuelle sans fin. Des aberrations en veux tu en voila. Interminable et ennuyeux à en creuser. La liste des absurdités est sans fin. J aimerai bien voir les avis de scientifiques, de passionnés, d astronautes. Cette presse bien pensante, intello... c est exagéré pour un film...sans intérêt vraiment
Après Gravity, Interstellar, Seul sur Mars et First Man, voilà encore un énième film traitant des confins de l'univers et du voyage dans l'espace. Celui-ci arrive peut-être trop tôt par rapport à First Man célébrant les 50 ans de l'Homme qui a marché sur la Lune. En tout cas il me semble surévalué par la critique presse qui voit en Ad Astra un chef d’œuvre là où je perçoit pour ma part défauts et du déjà vu. Pourtant le choix des acteurs n'est pas à blâmer car Brad Pitt et Tommy Lee Jones jouent leur partition correctement sans être exceptionnels pour autant. L'aspect psychologique est prépondérant dans ce film mais c'est parfois d'une lenteur déconcertante. Certains y voient un "Apocalypse Now" spatiale et une quête magnifique pour donner du sens à sa vie. J'y vois plutôt pour ma part un égoïsme absolu tant de la part du père que du fils, et un entêtement dangereux aussi bien pour l'humanité que pour la vie des autres. Celles-ci ayant bien peu de valeurs au yeux des deux principaux protagonistes tout au long de l'intrigue. Belles valeurs! Et puis l'astronaute surdoué, maître de lui en toute circonstance, solitaire et fermé vis-à-vis de ses proches, on avait déjà vu cela 1 an plus tôt avec First Man. Pour la forme et le style visuel, Ad Astra est beau certes mais pas sublime non plus. On a déjà vu mieux. Et puis il faut souligner quand même quelques énigmes et incohérences : spoiler: pourquoi diantre suffit-il que son fils le retrouve pour que subitement Clifforde McBride veuille en finir avec la vie sachant qu'il s'est battu des années tout seul contre vents et marées avec un entêtement sans précédent? Quelle a été la réponse de Clifford à l'appel de son fils depuis la planète Mars pour que Roy soit tout-à-coup écarté de l'opération alors qu'il en était soit disant la clé? Ses voyages durent plus de 70 jours mais les cheveux ne poussent jamais? Pourquoi ceux qui récupèrent Roy sur terre à la fin ne porte-t-il pas de combinaison, il n'y a pas de quarantaine quand on a à la fois été sur la Lune, sur Mars et vers Neptune qui plus est après avoir croisé des singes enragés? . Au final, Ad Astra se veut un film en dessous de ses ambitions et qui se surestime. Dommage.
Je me suis ennuyé et je n'ai pas compris l'intérêt du film. On passe notre temps à suivre Brad qui voyage de planète en planète pour le besoin d'un scénario minimaliste. Décevant.
Cependant c'est sur la narration qu’« ad Astra » m'aura le plus rebuté, l'auteur met le scénario en arrière-plan et préféré se focaliser sur la mise en scène et l'esthétisme. Ainsi, malgré l’immersion que le film nous propose, il souffre d’un contenu un peu répétitif.
C’est donc d’une émotion plus conceptuelle, plus cérébrale, que cette odyssée saisit le spectateur. En effet, nous sommes plongés dans l'espace, par ces scènes d’exploration et d'action rythmés. ⠀ James Gray s'empare des codes du film d'action et de la science-fiction, afin de proposer une œuvre intimiste où nous offre une odyssée spatiale somptueuse avec son perfectionnisme visuel.💯 Des moments de suspension aux séquences sous tension, Gray maîtrise les deux registres en faisant usage de très beaux décors et une belle qualité de photographie.🤩 ⠀ Beaucoup de forces de proposition sont à notifié dans son œuvre telle que son investissement dans ses recherches esthétiques et ceux, à travers les costumes et décors très attrayants, sans oublier les bandes sonores riches.
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Je me demande bien ce que Pitt est allé faire dans ce navet. J'imagine que le metteur en scène a aimé Gravity, Apollo 18 et Interstallar et s'est dit: "banco! je mélange les trois". C'est tellement improbable qu'un moment donné on décroche et qu'on regarde ca comme un Tintin. Les premières scènes à la mission impossible sont sympa, mais là encore, physiquement impossible (je parle de la structure). La partie lunaire, Martienne, Uranusiène, grand-guignolesque. Pour peu qu'on soit un tant soit peu scientifique, ca grille les neurones plus vite qu'une décharge de 20000 volts. Deux étoiles pour le début.
Un voyage stupéfiant et sensoriel aux confins de l'univers. Magnifique sur le fond et la forme, entre cinema indépendant et grand public, un maelstrom où Brad Pitt, tout en tristesse contenue, s'humanise au fil d'une odyssée personnelle où la recherche de son père le conduira jusqu'à Neptune. Un GRAND film de SF.