AlloCiné
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Votre avis sur Ad Astra ?
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la premiere fois je me suis endormis devant....
donc j'ai regarder une 2em fois....
j'ai lutter pour essayer de voir la fin...
c'est d'une molesse incroyable...
c'est long , chiant,...
je ne vais pas spoiler mais c'est tellement prévisible....
bref il y a d'autre film bien mieu a regarder que cette daube
je ne parle meme pas de la voix vf de brad pitt...
entre la bande son la voix de brad et l'histoire
on dirait de l'ASMR
bonne sieste a ceux qui lance ce film....
donc j'ai regarder une 2em fois....
j'ai lutter pour essayer de voir la fin...
c'est d'une molesse incroyable...
c'est long , chiant,...
je ne vais pas spoiler mais c'est tellement prévisible....
bref il y a d'autre film bien mieu a regarder que cette daube
je ne parle meme pas de la voix vf de brad pitt...
entre la bande son la voix de brad et l'histoire
on dirait de l'ASMR
bonne sieste a ceux qui lance ce film....
Brad Pitt remonte le niveau de l'intrigue car sans sa présence, on couperait rapidement le film. Il est lent. L'intrigue est moyenne, les dialogues pauvres... heureusement que les images sont jolies.
Ambitieux projet SF, empruntant autant à "2001" qu'à "Apocalypse Now" et très Malickien dans son approche, "Ad Astra", loin de déshonorer ces figures tutélaires, peine néanmoins à s'affranchir du poids écrasant de ses références un peu trop évidentes. Mais c'est avant tout un film à la beauté plastique indéniable, maitrisé, dense et convaincant, spectaculaire et envoûtant et bien servi par un excellent Brad Pitt! Ce serait un péché de ne pas s'en contenter!
Artriste
Film de science-fiction qui nous envois dans les fins fonds de l'univers, Ad Astra n'est pas à la hauteur de ses ambitions. L'histoire est assez banal et nous raconte comment un astronaute va essayer de rejoindre son père sur Neptune afin de le sauver et de comprendre pourquoi ils sont sans nouvelles de lui depuis plusieurs années. Si le fait de se rendre aussi loin dans l'univers parait excitant sur le papier, dans les faits ce n'est pas aussi magistral. Les nombreuses péripéties que subit Roy sont un peu abusés et puis le personnage en lui même n'est pas assez travaillé, il manque de profondeur. Alors oui Brad Pitt joue très bien son rôle mais je ne me suis pas attaché à son personnage et à son histoire avec son père campé par Tommy Lee Jones qui ne m'a pas véhiculé d'émotions. Cependant j'ai trouvé le dernier quart du film plus touchant et c'est dommage que ce ne soit pas le cas pendant les deux heures de ce long-métrage. Visuellement le film n'est pas toujours convaincant, certes il y a quelques jolis plans, malheureusement souvent trop court pour que l'on puisse en profiter. Seule la scène
spoiler:
de la course poursuite sur la lune
sort du lot tant c'est rare de voir ça au cinéma mais pour le reste rien n'est marquant et ça laisse une impression que le tout manque de budget. Il faut dire que Ad Astra sort après une pléthore de films qui explorent l'univers et souffre donc de la comparaison. S'il était sorti il y a sept ans je l'aurai clairement plus apprécié. A noter aussi une b.o. de très bonne qualité par moments ainsi qu'une fin réussi. Ad Astra reste un bon film pour rentrer dans ce genre cinématographique mais ce n'est pas le premier que je conseillerai de regarder quand à côté on à Gravity, Interstellar, Seul Sur Mars ou encore First Man qui pour moi restent au dessus.
sort du lot tant c'est rare de voir ça au cinéma mais pour le reste rien n'est marquant et ça laisse une impression que le tout manque de budget. Il faut dire que Ad Astra sort après une pléthore de films qui explorent l'univers et souffre donc de la comparaison. S'il était sorti il y a sept ans je l'aurai clairement plus apprécié. A noter aussi une b.o. de très bonne qualité par moments ainsi qu'une fin réussi. Ad Astra reste un bon film pour rentrer dans ce genre cinématographique mais ce n'est pas le premier que je conseillerai de regarder quand à côté on à Gravity, Interstellar, Seul Sur Mars ou encore First Man qui pour moi restent au dessus.
James Gray nous sort une magnifique allégorie de la solitude, un film à voir dans des conditions les plus proches du cinéma possible.
Pas terrible. C'est plus du DJaying que de la composition. On prend le début de Gravity, le milieu d'Apocalypse Now, la fin d'à peu près tous les western bien nuls en mode "laissez moi... Arrrgh." Jusqu'à la meuf du cosmonaute, qui est jouée par... suspense... Liv Tyler! C'est pas une blague. Elle a deux secondes à l'écran, elle aurait pu être jouée par littéralement n'importe qui au monde, il fallait qu'ils prennent Liv Tyler, pour faire une blague. Donc en fait, Ad Astra c'est la suite de space cowboys (Tommy Lee Jones est envoyé dans l'espace), mais aussi d'Armageddon apparemment, de Gravity, le cosmonaute est un collègue de boulot de Clooney, de Tintin sur la Lune, il y a une poursuite en véhicules de l'espace des années 30, mais c'est aussi un spin off de star wars, car sur la lune on utilise des blasters lasers. C'est visuellement joli, mais, comme ça se passe dans l'espace, c'est filmé dans un studio sur fond vert, et Brad Pitt joue vachement bien le mec qui ne ressent aucun sentiment. Les critiques pro ne sont absolument plus crédibles. Sans être complètement mauvais, ce film ne mérite absolument pas un tel concert de louanges.
Très beau film de SF dans lequel on suit le Major Mc Bryde (Brad Pitt) à travers un système solaire colonisé par l'homme, sur les traces d'une mission disparue commandée par son père, héros emblématique de la conquête spatiale. Le rythme est lent mais l'intrigue se déroule implacablement et on se laisse volontiers emporter. Le style est d'une grande sobriété, à l'image de son héros, qui doit aller à l'autre bout du système solaire pour se trouver lui-même et casser les barrières mentales qu'il s'est construit pour devenir astronaute et rester placide en toutes situations. Contrairement à certains classiques du genre, le film n'est pas juste contemplatif (même s'il aborde certains enjeux métaphysiques) et nous gratifie même de quelques scènes d'action exceptionnelles
spoiler:
(comme une chute de l'espace vers le sol terrestre, une course poursuite en rover sur la Lune, un combat au corps à corps en gravité 0 dans une fusée, et une saut dans l'espace à travers les anneaux de Neptune !)
Ce film me laisse clairement un gros gout d'inachevé et de non fini
Un peu comme si on avait un goutter que la pâte d'un excellent gâteau au chocolat.
Oui car ce film a des qualités indéniables
La scène d'ouverture ou Brad Pit tombe de la plateforme est à couper le souffle une vraie clque visuelle et même sensorielle.
Les images sont magnifiques la photographie parfaite les plans très bien maîtrisés et Brad Pit est convaincant dans son rôle de meilleur astronaute de tous les temps rien que ça.
Reste qu'au délà de cela malgré les 2 petites heures du film on sent l'ennui poindre assez vite le bout de son nez , la faute aux peu de dialogues intéressant , à la voix off de Brad Pit qui balance des choses intéressantes mais trop rares et trop courtes pour que l'on s'attache vraiment au personnage.
Sans parler des seconds rôles absents ou inintéressants qui ne permettent pas d'apporter de la profondeur et de la variété au film qui finalement ne se résume qu'au lien entre un père légèrement fanatique et son fils. C'est peu bien trop peu
Un peu comme si on avait un goutter que la pâte d'un excellent gâteau au chocolat.
Oui car ce film a des qualités indéniables
La scène d'ouverture ou Brad Pit tombe de la plateforme est à couper le souffle une vraie clque visuelle et même sensorielle.
Les images sont magnifiques la photographie parfaite les plans très bien maîtrisés et Brad Pit est convaincant dans son rôle de meilleur astronaute de tous les temps rien que ça.
Reste qu'au délà de cela malgré les 2 petites heures du film on sent l'ennui poindre assez vite le bout de son nez , la faute aux peu de dialogues intéressant , à la voix off de Brad Pit qui balance des choses intéressantes mais trop rares et trop courtes pour que l'on s'attache vraiment au personnage.
Sans parler des seconds rôles absents ou inintéressants qui ne permettent pas d'apporter de la profondeur et de la variété au film qui finalement ne se résume qu'au lien entre un père légèrement fanatique et son fils. C'est peu bien trop peu
En quête de découverte spatiale, le père est pour uns fois à la recherche d'autres formes de vies quant à son fils lui découvre simplement l'existence de son père son héros. au final ce film inverse les roles du fils cherchant son pere qui ne veut pas de son fils.
Images splendides pendant le film. Très belle production.
Images splendides pendant le film. Très belle production.
Ad Astra reprend la recette des grands classique de SF, sans pour autant convaincre à aucun moment le spectateur d'être devant un chef d'œuvre. On retrouve les longueurs de l'Odyssée.. de SK mais sans la profondeur spirituelle, l'ambiance tamisée et feutrée (et les brusques accélérations scénaristiques) de Balde Runner 2049 sans le dynamisme maîtrisé de l'ensemble, et on retrouve les sorties spatiales joliment filmées de Gravity, mais sans la moindre once de réalisme.
Ainsi, on apprendra, entre autres, qu'on peut:
- Traverser en combinaison les anneaux de Neptune, propulsé à 5 km/h, protégé par une feuille de tôle
- se battre dans une fusée au décollage sans ressentir le moins du monde les 10 g d'accélération
- Discuter de Mars à la Terre sans avoir à attendre quelques minutes entre question/réponse
- Passer par le compartiment des réacteurs pour accéder à l'habitacle d'une fusée (pratique: y a une porte! Ils sont forts ces ingénieurs). Le tout après le décollage évidemment, sinon c'est trop facile.
etc etc etc
Donc, on a affaire à un film purement commercial, qui reprend les codes classiques de la SF sans une once d'originalité, et qui, on peut le dire, fait insulte à l'intelligence du spectateur tant les scènes sont dénuées de réalisme.
Ainsi, on apprendra, entre autres, qu'on peut:
- Traverser en combinaison les anneaux de Neptune, propulsé à 5 km/h, protégé par une feuille de tôle
- se battre dans une fusée au décollage sans ressentir le moins du monde les 10 g d'accélération
- Discuter de Mars à la Terre sans avoir à attendre quelques minutes entre question/réponse
- Passer par le compartiment des réacteurs pour accéder à l'habitacle d'une fusée (pratique: y a une porte! Ils sont forts ces ingénieurs). Le tout après le décollage évidemment, sinon c'est trop facile.
etc etc etc
Donc, on a affaire à un film purement commercial, qui reprend les codes classiques de la SF sans une once d'originalité, et qui, on peut le dire, fait insulte à l'intelligence du spectateur tant les scènes sont dénuées de réalisme.
Pour se faire une place parmi les blockbusters spatiaux (genre sur lequel je ne cracherai décidément jamais), James Gray opte pour la bulle. Celle dans laquelle Roy McBride (alias Brad Pitt) s'est enfermé mentalement pour devenir un astronaute hors pair, mais aussi la bulle d'humanité qu'il va emporter avec lui.
Dans l'environnement zéro g qu'il va traverser, son humanité est comme un scaphandre pour son âme. Il va la confronter à celle de peu d'autres cowboys de l'espace, juste de quoi secouer l'histoire. On découvre avec lui la démocratisation du voyage vers la Lune, et l'on plane dans ce monde d'extrêmes qu'est l'espace, balloté dans l'attente que le personnage se confronte enfin à ses démons. Les espaces sont exigus et froids, peu science-fictionnels en fait, et quelque chose se passe : c'est un mood unique, alléchant mais un peu hostile, entre le blockbuster et une sorte de 2001: Odyssée de l'espace remasterisé.
Le film passe toutefois à côté du gros de son potentiel en nous teasant des voies détournées prometteuses et trop peu explorées. Le passage de Donald Sutherland marque une partie politiquement et logistiquement impactante : la traversée d'une surface lunaire sans frontières où les pirates rôdent. On y assiste à un impressionnant combat sans bruit que celui des ondes de choc, et puis… c'est tout. Au revoir la Lune, au revoir Sutherland. Au revoir le sentiment brillant que Pitt concentre l'intérêt de ses congénères à son passage, dans une brièveté touchante qui durcit encore la solitude et la promiscuité qui l'agressent un peu plus à chaque étape.
L'épisode lunaire fleurait bon le voyage, ce voyage magnifiquement banalisé, dans un futur pas si proche que ça, d'un astre à un autre. Quand il se ferme, il ouvre une brèche : un manque. Pitt est un acteur distant, trop arrogant pour évoquer subtilement les tourments psychologiques qui le rongent. Il ne s'imbrique pas dans le fantasme humain du siècle dont Ad Astra propose l'interprétation : s'éloigner le plus possible les uns des autres pour se sentir proches. De la Terre à Neptune, ni lui ni l'image pourtant soignée ne donnent beaucoup de grain à moudre à la conclusion, ce en quoi Gray est cependant là aussi fidèle à 2001 : les deux films font un gros pied-de-nez à la catharsis.
En regardant Ad Astra, j'ai vraiment vu "autre chose" et je trouve génial qu'un arrière-goût passéiste un peu brut puisse être produit par une grosse production dans le genre spatial. Néanmoins, cela faisait longtemps que des vaisseaux spatiaux n'avaient pas failli à me faire voyager.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Dans l'environnement zéro g qu'il va traverser, son humanité est comme un scaphandre pour son âme. Il va la confronter à celle de peu d'autres cowboys de l'espace, juste de quoi secouer l'histoire. On découvre avec lui la démocratisation du voyage vers la Lune, et l'on plane dans ce monde d'extrêmes qu'est l'espace, balloté dans l'attente que le personnage se confronte enfin à ses démons. Les espaces sont exigus et froids, peu science-fictionnels en fait, et quelque chose se passe : c'est un mood unique, alléchant mais un peu hostile, entre le blockbuster et une sorte de 2001: Odyssée de l'espace remasterisé.
Le film passe toutefois à côté du gros de son potentiel en nous teasant des voies détournées prometteuses et trop peu explorées. Le passage de Donald Sutherland marque une partie politiquement et logistiquement impactante : la traversée d'une surface lunaire sans frontières où les pirates rôdent. On y assiste à un impressionnant combat sans bruit que celui des ondes de choc, et puis… c'est tout. Au revoir la Lune, au revoir Sutherland. Au revoir le sentiment brillant que Pitt concentre l'intérêt de ses congénères à son passage, dans une brièveté touchante qui durcit encore la solitude et la promiscuité qui l'agressent un peu plus à chaque étape.
L'épisode lunaire fleurait bon le voyage, ce voyage magnifiquement banalisé, dans un futur pas si proche que ça, d'un astre à un autre. Quand il se ferme, il ouvre une brèche : un manque. Pitt est un acteur distant, trop arrogant pour évoquer subtilement les tourments psychologiques qui le rongent. Il ne s'imbrique pas dans le fantasme humain du siècle dont Ad Astra propose l'interprétation : s'éloigner le plus possible les uns des autres pour se sentir proches. De la Terre à Neptune, ni lui ni l'image pourtant soignée ne donnent beaucoup de grain à moudre à la conclusion, ce en quoi Gray est cependant là aussi fidèle à 2001 : les deux films font un gros pied-de-nez à la catharsis.
En regardant Ad Astra, j'ai vraiment vu "autre chose" et je trouve génial qu'un arrière-goût passéiste un peu brut puisse être produit par une grosse production dans le genre spatial. Néanmoins, cela faisait longtemps que des vaisseaux spatiaux n'avaient pas failli à me faire voyager.
→ https://septiemeartetdemi.com/
Brad Pitt va sur Mars pour enregistrer des podcasts. Puis sur Jupiter pour régler son Œdipe.
Beaucoup d'avis négatifs quand c'est un bon film, pour un public non ado, certes.
La réalisation est soignée, quant au scénario, c'est un décalque a peine déguisé de Apocalypse Now de Coppola
Beaucoup d'avis négatifs quand c'est un bon film, pour un public non ado, certes.
La réalisation est soignée, quant au scénario, c'est un décalque a peine déguisé de Apocalypse Now de Coppola
Fan de l'univers de Max Richter, j'ai découvert le film de James Gray en ayant d'abord écouté la bande son. J'ai été légèrement déçu de ne pas plus ressentir l'ambiance musicale, un travail qui n'est pas assez mis en valeur à mes yeux. Mais sinon, l'histoire est captivante. On ne s'ennuie pas malgré un rythme assez lent. Et que dire de la réalisation et de la photographie, c'est très soigné. C'est maîtrisé et ça sert le propos (Brad Pitt jouant un astronaute perpétuellement dans le contrôle : de ses émotions, de ses réactions). Un travail incroyable de Hoyte van Hoytema sur le cadrage, la lumière et la retouche. Brad Pitt s'en sort très bien, un jeu en toute simplicité qui pourtant révèle un personnage très complexe. Je recommande 👍
J'ai regardé Ad Astra à l'occasion d'un vol transatlantique. Je ne réussis jamais à trouver le sommeil quand je prends l'avion et Ad Astra a réussi le tour de force de m'endormir en 1h top chrono. D'une lenteur et d'un manque de rythme dont on parlera encore dans 1000 ans.
Un monologue introspectif qui confine à l'absurde.
La promo du film est sûrement ce qu'on peut appeler une escroquerie...
Immense déception
La promo du film est sûrement ce qu'on peut appeler une escroquerie...
Immense déception
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