Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
A.Hymoura
4 abonnés
7 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 30 septembre 2019
Le scénario est décevant. Son ambition initiale et son aboutissement sont comparable à une chute continuelle avec quelques surprises au passage. En effet, certaines scène du film sont magnifique mais on ne les compte que sur les doigts d'une main. D'ailleurs, on sent bien que la réalisation a dû faire quelques détours pour vitaliser le film et pour éviter de nous perdre. Ces détours sont les meilleurs moment du film mais chacune d'elles n'apporte rien à l'histoire principale. En conclusion, si vous aimez la psychanalyse de comptoirs, allez-y. Mais si vous cherchez de la SF n'y allez pas. Ce film est à l'image de l'univers, vide, froid et sans bruit...
un très bon film de science fiction avec quelques scènes spectaculaires et superbement filmées. une très belle réflexion philosophique aussi nous pose plein de questions. un grand Brad Pitt.
Nous, les simples citoyens, n'irons JAMAIS dans l'espace. Merci au 7ém art pour cette odyssée au prix d'un ticket de cinéma. Un voyage incroyable, Nous naviguons dans cette réalisation par l'intermédiaire de la voix off, du major Roy Mc-Bride, de son introspection qui nous fait découvrir les ressentiments de sa vie en même temps qu' il nous fait partager les sublimes visions qui l'entourent. Une façon d'être notre guide à l'intérieur de ce film. De la Terre nous partons vers une station lunaire, puis, après quelques mésaventures, direction la planète Mars, qui sera la planète tremplin pour la trajectoire menant à Neptune. Le scénario: Un homme porté disparu avec son équipage dans l'espace depuis plusieurs années, pour une mission scientifique, et voici son fils partant à sa recherche pour les besoins de l'humanité. Cette réalisation est comparable à INTERSTELLAR par sa qualité technique, par sa bande son, et par son ambiance qui nous dirige tout droit vers un mystère inconnu.Un long métrage époustouflant, qui se laisse regarder agréablement, sans analyser les imperfections du scénario. Je vous souhaite un bon voyage
Nouveau film spatial, Ad Astra n'atteint pas les si sublimes 2001, Gravity ou Interstellar mais voilà on se prend vite à suivre cette histoire dans le futur où Brad Pitt incarne un astronaute émérite, expérimenté, toujours en self control et fils d'une légende de la NASA qui fut porté disparu dans une expédition parti rechercher de la vie hors de notre système solaire. Brad est envoyé pour Mars pour envoyer un message au vaisseau de son père, perdu, et où des ondes magnétiques menacent l'humanité. Ad Astra est un film au rythme lent, philosophique, porté quasi à 100% sur la composition de Brad Pitt. Certaines séquences laissent à désirer devant l'improbabilité scientifique des faits mais d'autres feront rêver tel le passage sur la planète Mars. Bref : un film à contempler, la tête dans les étoiles.
Le navet de l'année !! Une grosse coquille vide : des dialogues affligeants, des scènes hyper stéréotypées, des acteurs qui n'y croient pas eux mêmes et de l'émotion en carton. Il n'y a absolument rien rien rien dans ce film... Dégoûtée d'avoir bousillé 2h de ma vie.
Décevant, ennuyeux... J'ai failli partir avant la fin du film tant l'intrigue est inintéressante... Une histoire sans fond sans consistance... Que fait Brad Pitt dans cette galère ????
Le film est fade, sans saveur particulière. On nous avait promis un space opera, on se retrouver avec un space nanar de série B
Scénario : Le scénario n'est qu'un enchevêtrement d'évènements mal justifiés. Le déroulement donne l'impression du dernier épisode d'une série annulé, il faut faire vite, finir placer tout ce qu'on avait prévu. Mais à l'instar d'une série le supplice dure deux heures.
Dialogues : Si vous ne l'aviez pas compris ce film est américain, des références bibliques du début à la fin... Et oui car dans le futur quand vous faites un voyage interplanétaire vous vous en remettez à dieu plutôt qu'à un vaisseau bien ingénié...
Esthétisme : Le film est beau, sans plus, des belles visions d'artistes mais sans plus. Le réalisateur tente de donner une certaine ambiance futuriste et minimaliste, on aime ou pas.
Le film tente d'approcher une certaine réalité le "futur proche" avec des technologies qui ne nous paraissent pas invraisemblables. Mais la cohérence elle est abandonnée, élément pourtant fondateur de ce genre de la SF...
Bon.. alors. J'y étais hier soir, et je crois bien que de ma vie, j'ai jamais vu une bouze pareille. J'ai perdu 2h de ma vie. Ce film, c'est je crois le plus gros scandale de toute l'histoire du cinéma dans le monde. Si t'aimes bien ne RIEN voir et les films où il se passe RIEN du début à la fin, faut absolument que t'y ailles aujourd'hui encore, pcq là mon pote tu vas être servi 🙏
Qui aurait pu penser que James Gray, le cinéaste new-yorkais par excellence, et avec quelle maestria, se laisserait tenter par des voyages en terre inconnue ? Après The Lost City of Z, le réalisateur nous embarque cette fois aux confins de l'espace avec Ad Astra, une odyssée de science-fiction qui n'a plus rien de terre à terre. Quoique, finalement si, puisque que la recherche de traces de vie sur d'autres planètes n'est qu'un sujet périphérique qui passe après une histoire familiale qui nous ramène à une thématique familière pour répandre quelques nuances de Gray. L'esthétique du film et la mise en scène du cinéaste ne sont pas en cause mais comme il est lourd cet Ad Astra avec sa voix off introspective qui illustre l'idée que dans l'espace, personne ne vous entend penser. A part les spectateurs bien sûr, qui peuvent être sensibles à l'atmosphère engourdie et ouatée mais un peu moins aux états d'âme de son héros, dont la tristesse est fort contagieuse mais ne suscite aucune émotion véritable et quasiment pas de suspense puisque l'on devine facilement qui le voyageur spatial va retrouver sur Neptune avant de dire Au-revoir là-haut. Brd Pitt surprend pourtant dans le bon sens avec une sobriété de bon aloi mais le film est vraiment trop centré sur lui et ses pensées intimes au point que l'environnement ne devient qu'un prétexte et que le film aurait tout aussi bien pu se passer au fond de l'océan ou au beau milieu du désert, avec les mêmes thématiques. Enfin, ce n'est pas très grave, tout cela, James Gray reste un cinéaste passionnant, mais surtout sur le plancher des vaches.
Chef-d’œuvre total Ad Astra de James Gray est bouleversant ! Un récit intimiste sur la solitude tout en alliant le grandiose de l’espace ! Une œuvre touchante avec une certaine tristesse accompagnée d’une lueur d’espoir.
Même si les bandes annonces ne donnait pas vraiment le bon ton du film, je l'ai beaucoup apprécié. La métaphore de la solitude, que ce soit la solitude personnelle ou en temps qu'espèce humaine dans l'Univers, est très bien géré. Un film qui n'est pas accessible à tous, mais qui reste une bonne surprise, et l'un des films les plus intéressants de cette année dans la science-fiction. Même si Disney contrôle le calendrier de la Fox et sortent ce film en septembre ce qui est stupide vu que c'est le mois où personne va au cinéma, je suis content que la Fox reste indépendante dans ses productions. C'est sûr que c'est pas Disney qui n'aurait produit un film comme ça.
Dans le gotha des réalisateurs dont j'attends toujours avec beaucoup d'impatience les prochaines sorties, James Gray a invariablement une place à part dans mes choix personnels depuis que j'avais découvert "La nuit nous appartient" et sa première incursion dans la science-fiction me donnait particulièrement envie. Avec en toile de fond un climat social sur Terre trouble et sombre qui rappelle "Interstellar" de Christopher Nolan et par conséquent Stanley Kubrick et particulièrement "2001, odyssée de l'espace" même si personnellement je trouve que la quête initiatique du personnage central interprété par un excellent Brad Pitt se rapproche bien plus du film de Francis Ford Coppola "Apocalypse now" par son développement scénaristique, son franchissement constant de frontières tant physiques que spirituelles dans un univers hostile et ténébreux, un long-métrage qui aborde le thème du voyage intersidéral d'une façon plutôt classique, chargée de philosophie contemplative, presque planante, offrant quelques plans spatiaux absolument superbes tout en ayant un discours sensé, bien amené sur le capitalisme et le mercantilisme outrancier tout en conservant le thème récurrent dans la filmographie de James Gray des liens familiaux et de leurs complexités. Quelques très beaux passages oniriques, une photographie littéralement sensationnelle, extraordinairement riche, probablement l'une des plus marquantes et réussies compositions sur une oeuvre du réalisateur américain. Un casting mirifique même si certaines apparitions tiennent malheureusement presque du caméo que d'un véritable rôle. Pour une obscure raison qui m'échappe un peu, peut-être pas tout à fait le chef d'oeuvre, probablement trop formaliste par moments que j'attendais mais indéniablement un ensemble remarquable en tous points, splendide. Un grand film.
long, très long, je suis resté jusqu'au bout, mais, je regrette d'avoir pris ma place, on a du mal à suivre l'histoire, çà part dans tous les sens, sans vraiment de cohérence, le scénario est presque vide, et sans vraiment d'intérêt, çà paraît baclé... Un film très (trop) psychologique, ennuyant, il ne se passe pas grand chose.... Je m'attendais à en avoir pleins les yeux, à voir un truc qui me collerais à mon siège, mais, çà ne décolle pas, (pas comme les fusées, çà , il y en a des décollages, mais à part çà, le vide sidéral), nul, nul, nul.... Si vous avez du temps à perdre allez-y, sinon, il y a sûrement mieux à faire que de perdre son temps à aller voir ce gros navet!
Dans un avenir proche ... Roy Mac Bride travaille dans une station reliée à la Terre lorsqu'une surtension électrique s'abat sur la structure et le fait chuter de plusieurs centaines de mètres.
La société qui gère la colonisation de l'espace soupçonne une ancienne mission spatiale perdue près de Neptune, d'être à l'origine de ces phénomènes électriques dangereux pour le système solaire et la Terre. Il s'avère que le père de Roy Mac Bride était responsable de cette expédition chargée de découvrir l'existence de toute autre forme de vie et de conscience dans l'espace.
La société spatiale envoie Roy en mission sur Mars via la Lune : il devra envoyer à son père hypothétiquement encore en vie près de Neptune, un message à propos des événements récents.
S'il y a peu de rebondissements ou d'imprévus dans ce film très linéaire, celui-ci constitue une belle réflexion sur la solitude.
La réalisation est impeccable et n'a rien de futuriste, ce qui laisse à penser que ce voyage très crédible pourrait se réaliser prochainement. Les paysages lunaires et martiens, les bases souterraine et lunaire, comme les engins, structures et véhicules spatiaux, semblent presque appartenir au présent. C'est sur ces deux points (la réflexion sur la solitude et la réalisation très réaliste) pour moi que réside la réussite de "Ad Astra".