Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Nicolas Rey
La comédienne Anna Coesens (...) est tout simplement époustouflante. Elle fait du Secret un film à dévoiler au plus grand nombre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
En abordant un sujet aussi universel que difficile à traiter (...), Virginie Wagon, dont c'est ici le premier long-métrage, se colletait à un sacré défi. Elle emporte la partie haut la main avec un film d'une finesse totale, écrit au rasoir, juste et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Chronic'art.com
par Frank Beauvais
Il serait injuste (...)de voir en Le Secret une leçon de morale, car sa conclusion normative n'est valide que parce qu'elle implique la reconnaissance du je interdit, à la fois parallèle et consubstantiel au je (nous) domestique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cplanet.com
par Olivier Pélisson
Une certaine brutalité est à l'œuvre dans Le Secret ; mise en scène, climat, jeu des comédiens, image, son, montage, tous les éléments du film, en harmonie, se conjuguent et aboutissent à un fil ténu et dense.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
(...) on est plutôt heureusement surpris. Parce que cette histoire si éculée prend, ici, des allures un peu mystérieuses (...)
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Elle (Virginie Wagon) fait d'ores et déjà partie de ces cinéastes qui sont capables de filmer à la fois les instants de bonheur et les moments d'exultation sans en être dupes, ce qui est rare.
Première
par Olivier De Bruyn
Aux antipodes de la posture faussement scandaleuse de Breillat, Despentes et consorts, Wagon cause du plaisir féminin avec une énergie franche qui fait tout sonner juste, même les scènes (de ménage) ordinaires avec le légitime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Julien Welter
(...) un ton cassant et dur qui évite, à la différence d'une Labrune ou d'une Breillat, de psychologiser jusqu'au ridicule une histoire trop commune pour être représentée telle quelle. Le pari est tenu : c'est simple, sec et précis.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
par Philippe Piazzo
(...) ce film dissèque petits mensonges et grands émotions des plaisirs extraconjugaux (...). Pourtant cette justesse s'effiloche au film de scènes trop attendues. Et le film laisse finalement peu de traces (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) un film qui à force d'en venir toujours là où on l'attend s'englue dans les clichés dont l'exposition gonfle les ventes de la presse féminine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) le film réserve, notamment sur la question de la cruauté et du désemparement amoureux, des moments d´une grande justesse. On est beaucoup moins convaincu par la peinture naturaliste de la passion et le traitement symbolique du personnage de Bill (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Pascal Richou
Ce n'est pas Emmanuelle sur M6, c'est le premier film de Virginie Wagon. C'est moins glamour, moins mutin et sans conséquences, c'est plus hygiène mentale fumeuse, porno d'auteur morne, asphyxie intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Télérama
par François Gorin
Mais l'actrice inconnue est trop souvent envoyée au casse-pipe (...). Ni elle ni les autres protagonistes de l'histoire, et pas plus la réalisatrice, ne parviennent à vraiment creuser les platitudes et les clichés du postulat de départ.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
On y voit à l'œuvre une sorte de petite sociologie qui n'a pas le courage de ses désirs. Le film, en effet, préfère les bavardages censés représenter ce que se dit un couple, que de montrer par l'image ce qui, entre deux êtres, se fait et se défait.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaro Magazine
La comédienne Anna Coesens (...) est tout simplement époustouflante. Elle fait du Secret un film à dévoiler au plus grand nombre.
Le Parisien
En abordant un sujet aussi universel que difficile à traiter (...), Virginie Wagon, dont c'est ici le premier long-métrage, se colletait à un sacré défi. Elle emporte la partie haut la main avec un film d'une finesse totale, écrit au rasoir, juste et bouleversant.
Chronic'art.com
Il serait injuste (...)de voir en Le Secret une leçon de morale, car sa conclusion normative n'est valide que parce qu'elle implique la reconnaissance du je interdit, à la fois parallèle et consubstantiel au je (nous) domestique.
Cplanet.com
Une certaine brutalité est à l'œuvre dans Le Secret ; mise en scène, climat, jeu des comédiens, image, son, montage, tous les éléments du film, en harmonie, se conjuguent et aboutissent à un fil ténu et dense.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
(...) on est plutôt heureusement surpris. Parce que cette histoire si éculée prend, ici, des allures un peu mystérieuses (...)
Les Inrockuptibles
Elle (Virginie Wagon) fait d'ores et déjà partie de ces cinéastes qui sont capables de filmer à la fois les instants de bonheur et les moments d'exultation sans en être dupes, ce qui est rare.
Première
Aux antipodes de la posture faussement scandaleuse de Breillat, Despentes et consorts, Wagon cause du plaisir féminin avec une énergie franche qui fait tout sonner juste, même les scènes (de ménage) ordinaires avec le légitime.
Repérages
(...) un ton cassant et dur qui évite, à la différence d'une Labrune ou d'une Breillat, de psychologiser jusqu'au ridicule une histoire trop commune pour être représentée telle quelle. Le pari est tenu : c'est simple, sec et précis.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) ce film dissèque petits mensonges et grands émotions des plaisirs extraconjugaux (...). Pourtant cette justesse s'effiloche au film de scènes trop attendues. Et le film laisse finalement peu de traces (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) un film qui à force d'en venir toujours là où on l'attend s'englue dans les clichés dont l'exposition gonfle les ventes de la presse féminine.
Le Monde
(...) le film réserve, notamment sur la question de la cruauté et du désemparement amoureux, des moments d´une grande justesse. On est beaucoup moins convaincu par la peinture naturaliste de la passion et le traitement symbolique du personnage de Bill (...)
Cahiers du Cinéma
Ce n'est pas Emmanuelle sur M6, c'est le premier film de Virginie Wagon. C'est moins glamour, moins mutin et sans conséquences, c'est plus hygiène mentale fumeuse, porno d'auteur morne, asphyxie intellectuelle.
Télérama
Mais l'actrice inconnue est trop souvent envoyée au casse-pipe (...). Ni elle ni les autres protagonistes de l'histoire, et pas plus la réalisatrice, ne parviennent à vraiment creuser les platitudes et les clichés du postulat de départ.
Urbuz
On y voit à l'œuvre une sorte de petite sociologie qui n'a pas le courage de ses désirs. Le film, en effet, préfère les bavardages censés représenter ce que se dit un couple, que de montrer par l'image ce qui, entre deux êtres, se fait et se défait.