Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
On voudrait l'aimer très fort, ce film qui évoque à la fois la passion du cinéma dans les années 1960-1980 et le désastre infligé aux cinéphiles italiens par Berlusconi. Un montage chaotique le fait souvent verser dans un puzzle un peu confus. N'empêche, il évoque une passionnante figure de la cinéphilie italienne, plus connue dans son pays qu'en France, Annabella Miscuglio [...].
La Croix
par Annaëlle Cavazza
Si le jeu des acteurs (Laura Morante, Eugénia Costantini, Giulio Scarpati et Giselda Volodi), est convaincant, l’intrigue, elle, tarde à se mettre en place et le rythme lent du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
En dépit d’une intrigue un peu convenue, "L’Âge d’or" séduit par ses personnages attachants, tous bien interprétés, et son message sur l’importance de la transmission et le pouvoir fédérateur du septième art.
Télérama
par P.M.
Hommage tendre, mais un peu froid.
Première
par Maxime Grandgeorge
Le film navigue péniblement entre une réflexion sur la relation mère-fils et un hymne à la gloire du septième art, sans jamais convaincre ni dans l'un ni dans l'autre registre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
On voudrait l'aimer très fort, ce film qui évoque à la fois la passion du cinéma dans les années 1960-1980 et le désastre infligé aux cinéphiles italiens par Berlusconi. Un montage chaotique le fait souvent verser dans un puzzle un peu confus. N'empêche, il évoque une passionnante figure de la cinéphilie italienne, plus connue dans son pays qu'en France, Annabella Miscuglio [...].
La Croix
Si le jeu des acteurs (Laura Morante, Eugénia Costantini, Giulio Scarpati et Giselda Volodi), est convaincant, l’intrigue, elle, tarde à se mettre en place et le rythme lent du début à la fin.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’une intrigue un peu convenue, "L’Âge d’or" séduit par ses personnages attachants, tous bien interprétés, et son message sur l’importance de la transmission et le pouvoir fédérateur du septième art.
Télérama
Hommage tendre, mais un peu froid.
Première
Le film navigue péniblement entre une réflexion sur la relation mère-fils et un hymne à la gloire du septième art, sans jamais convaincre ni dans l'un ni dans l'autre registre.