Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Inconfortable, énigmatique, envoûtant, troublant, le film ne lasse pas de surprendre. Cauchemar ou réalité ? Les deux, bien entendu : Béla Tarr est un optimiste triste.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Entre réalisme de la trace (...), sublimes envolées métaphoriques (...) et précision kubrickienne des cadrages, Les Harmonies Werckmeister imposent une oeuvre absolument singulière, qui enveloppe et fascine, couve le spectateur et l'entraîne dans une sorte de léthargie visionnaire et désespérée. Voici donc, à coup sûr, l'un des plus beaux films de l'année 2003.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
C'est assez dire qu'on n'est ni dans un film réaliste ni dans une de ces ouvres où l'allégorie est si évidente qu'elle "mange" le sens, mais dans cet entre-deux des dissonances où s'écrit un film. Et dire aussi qu'on n'en verra sans doute pas de si tôt un autre de cette force, où se déploie avec une telle ampleur la jubilation "d'écrire en cinéma".
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Il faut prendre le temps d'aller voir ce cinéma qui n'a pas peur d'affirmer sa différence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Les Harmonies Werckmeister en impose par sa beauté, et aussitôt fait place à chacun, pour habiter cet espace paradoxal, puisque à la fois tragique et complexe. La raison en est très simplement donnée dans la scène d'ouverture, ballet guilleret et programme philosophique indépassable. Au bistrot, sous l'influence inspirée du poète, les hommes sont – littéralement – l'univers. A eux revient d'en danser les éclipses – et le rayonnement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Ce cinéma, qui tient d'une sorte de naturalisme fantastique pris dans l'étau d'une rigueur kubrickienne, couve littéralement ses personnages, donnant à voir le monde non à travers les yeux d'un démiurge omniscient (on est loin de Japon), mais dans celui, bouleversant, d'un simple bohémien contemplateur de la chute des astres.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
par Annie Coppermann
On ne comprend pas vraiment. On est hypnotisé. On trouve aussi le temps très long. Mais on garde, de ce voyage au fond d'une nuit de la peur et de la barbarie, quelques images saisissantes, fortes, étranges, qui nous hantent longtemps encore... Une expérience !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) une balade surréelle et contemplative, orchestrée par un vrai magicien de l'image.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Brigitte Reynaud
Pas facile, c'est sûr, mais indéniablement fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Ces Harmonies Werckmeister, chargées parfois de symboles un peu démonstratifs, n'atteignent pas la splendeur décadente du Tango de Satan (...). Mais Béla Tarr aura été là pour saisir ce lent moment de basculement en offrant dans le même temps, à travers ses images de recueillement profane, un peu de paix.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Inconfortable, énigmatique, envoûtant, troublant, le film ne lasse pas de surprendre. Cauchemar ou réalité ? Les deux, bien entendu : Béla Tarr est un optimiste triste.
Chronic'art.com
Entre réalisme de la trace (...), sublimes envolées métaphoriques (...) et précision kubrickienne des cadrages, Les Harmonies Werckmeister imposent une oeuvre absolument singulière, qui enveloppe et fascine, couve le spectateur et l'entraîne dans une sorte de léthargie visionnaire et désespérée. Voici donc, à coup sûr, l'un des plus beaux films de l'année 2003.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
C'est assez dire qu'on n'est ni dans un film réaliste ni dans une de ces ouvres où l'allégorie est si évidente qu'elle "mange" le sens, mais dans cet entre-deux des dissonances où s'écrit un film. Et dire aussi qu'on n'en verra sans doute pas de si tôt un autre de cette force, où se déploie avec une telle ampleur la jubilation "d'écrire en cinéma".
Le Figaroscope
Il faut prendre le temps d'aller voir ce cinéma qui n'a pas peur d'affirmer sa différence.
Le Monde
Les Harmonies Werckmeister en impose par sa beauté, et aussitôt fait place à chacun, pour habiter cet espace paradoxal, puisque à la fois tragique et complexe. La raison en est très simplement donnée dans la scène d'ouverture, ballet guilleret et programme philosophique indépassable. Au bistrot, sous l'influence inspirée du poète, les hommes sont – littéralement – l'univers. A eux revient d'en danser les éclipses – et le rayonnement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma, qui tient d'une sorte de naturalisme fantastique pris dans l'étau d'une rigueur kubrickienne, couve littéralement ses personnages, donnant à voir le monde non à travers les yeux d'un démiurge omniscient (on est loin de Japon), mais dans celui, bouleversant, d'un simple bohémien contemplateur de la chute des astres.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
On ne comprend pas vraiment. On est hypnotisé. On trouve aussi le temps très long. Mais on garde, de ce voyage au fond d'une nuit de la peur et de la barbarie, quelques images saisissantes, fortes, étranges, qui nous hantent longtemps encore... Une expérience !
Les Inrockuptibles
(...) une balade surréelle et contemplative, orchestrée par un vrai magicien de l'image.
Première
Pas facile, c'est sûr, mais indéniablement fascinant.
Télérama
Ces Harmonies Werckmeister, chargées parfois de symboles un peu démonstratifs, n'atteignent pas la splendeur décadente du Tango de Satan (...). Mais Béla Tarr aura été là pour saisir ce lent moment de basculement en offrant dans le même temps, à travers ses images de recueillement profane, un peu de paix.