Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) balade urbaine d'un artiste en devenir (...), free fiction (équivalent cinéma du free jazz), à la fois joyeuse, lancinante et anarchique, et, enfin, précieux témoignage d'un mouvement artistique (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) élégante fiction du photographe Edo Bertoglio miraculeusement rescapée de vingt ans d'oubli, mais aussi document unique sur la scène no wave.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Philippe Azoury
Conçu sur un canevas naïf (un jour de la vie d'un peintre-musicien fauché), filmé avec retenue comme pour mieux être débordé par une énergie aussi brute que cocasse (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Kareen Janselme
Sans prétention, cette fable visuelle nous mène sans effort dans un Manhattan magique, où il semblait si simple de vivre de peinture, de musique et d'eau fraîche...
Repérages
par Christophe Basterra
Œuvre pour le moins onirique et au charme forcément désuet, ce film est autant une revue d'effectif de la scène arty new-yorkaise du début des années 80 qu'un conte de fées un rien loufoque.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par François Gorin
"Downtown 81" est sans doute destiné à un public de happy few, mais ces few-là seront très happy.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
"Downtown 81" se contente d'offrir une plate quintessence de l'underground eightie's. C'est assez pour ravir de nombreux fanatiques. Les autres s'ennuieront poliment (...)
La critique complète est disponible sur le site Aden
Première
par Christophe Carrière
But avoué du film : présenter l'émergence d'une nouvelle culture artistique (graffiti, hip-hop, etc.) Et pour peu qu'on s'y intéresse, c'est intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
par La Rédaction
Le principal intérêt de Downtown 81 est la présence magnétique de Basquiat, alors âgé de 19 ans.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
(...) balade urbaine d'un artiste en devenir (...), free fiction (équivalent cinéma du free jazz), à la fois joyeuse, lancinante et anarchique, et, enfin, précieux témoignage d'un mouvement artistique (...)
Les Inrockuptibles
(...) élégante fiction du photographe Edo Bertoglio miraculeusement rescapée de vingt ans d'oubli, mais aussi document unique sur la scène no wave.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Conçu sur un canevas naïf (un jour de la vie d'un peintre-musicien fauché), filmé avec retenue comme pour mieux être débordé par une énergie aussi brute que cocasse (...)
MCinéma.com
Sans prétention, cette fable visuelle nous mène sans effort dans un Manhattan magique, où il semblait si simple de vivre de peinture, de musique et d'eau fraîche...
Repérages
Œuvre pour le moins onirique et au charme forcément désuet, ce film est autant une revue d'effectif de la scène arty new-yorkaise du début des années 80 qu'un conte de fées un rien loufoque.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
"Downtown 81" est sans doute destiné à un public de happy few, mais ces few-là seront très happy.
Aden
"Downtown 81" se contente d'offrir une plate quintessence de l'underground eightie's. C'est assez pour ravir de nombreux fanatiques. Les autres s'ennuieront poliment (...)
Première
But avoué du film : présenter l'émergence d'une nouvelle culture artistique (graffiti, hip-hop, etc.) Et pour peu qu'on s'y intéresse, c'est intéressant.
Urbuz
Le principal intérêt de Downtown 81 est la présence magnétique de Basquiat, alors âgé de 19 ans.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr