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I'm A Rocket Man
288 abonnés
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2,5
Publiée le 25 avril 2017
Film que j'ai déjà l'impression d'avoir vu mille fois !! Le thème de la thérapie pour soigner l'homosexualité est un grand classique américain et ce film ne déroge pas à la règle des clichés à la pelle !! Le méchant Papa qui va devenir plus tolérant, la fiancée godiche qui veut rester vierge jusqu'au mariage, le prêtre moralisateur...je n'ai pas été surpris par le scénario ni ému d'ailleurs et je suis déçu !! Le début était pourtant prometteur mais mes craintes se sont finalement fondées et je me suis ennuyé !! Rien de nouveau sous le soleil !
Sympathique petit films qui se regarde avec plaisir. Bien joué, l'histoire n'a rien de nouveau dans le style, mais c'est toujours agréable d'avoir des films postiifs.
C'est l'histoire d'un jeune Américain qui rentre d'une "thérapie" qu'il a dû subir pour "soigner" son homosexualité. S'ensuit un face à face avec un père qui est d'abord inflexible et dur. Ce film est une vraie pépite, très loin des clichés – que ce soit au sujet de l'homosexualité ou du déroulement de la thérapie menée par un prêtre. Le jeu des acteurs est remarquable, la réalisation virtuose, la musique enivrante. Un film qui est à voir pour aider à développer un peu d'empathie et ouvrir certains esprits. L'humour n'est pas absent et la fin est très intéressante, aboutie. La réalisatrice Kerstin Karlhuber est venue présenter son film à Paris lors du festival Chéries Chéris organisé notamment par MK2.
la thérapie relieuse et cette bourgade rurale américaine donnent un côté désuet à ce drame. le plus touchant est sans doute la relation d'incompréhension et conflictuelle d'abord, puis d'ouverture, entre ce père et son fils. par ailleurs, le film manque toutefois d'un peu plus de dynamisme et d'un récit plus étoffé.
Une bluette qui aurait pu être sympathique, si ce n'est qu'elle enfonce toute les portes ouvertes du genre : la vilaine Amérique puritaine, les 2 jeunes gays beaux comme des dieux, le père conservateur qui ne comprend pas spoiler: mais finira par comprendre, histoire d'enfoncer encore plus le clouspoiler: , la mère décédée qui peut-être aurait pu comprendre. Les personnages sont à l'image du film, caricaturaux, si bien qu'on ne s'y attache pas, même l'histoire d'amour ne prend pas. Dommage.