Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le film raconte comment un couple en plein divorce se voit contraint de refaire cause commune pour rechercher leur fils de 12 ans mystérieusement disparu. Et c’est bouleversant.
Bande à part
par Jo Fishley
De la Russie poutinienne, le réalisateur d’Elena et du Léviathan n’aura jamais donné des nouvelles aussi sombres, aussi noires, de son anéantissement moral et de ses gouffres. Il remonte une monstruosité insupportable que chacun comprend et peut faire sienne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Certains films, certains récits vous touchent au plus profond de votre être à un point tel qu’à l’issue de la projection rien n’est plus tout à fait pareil, comme si vous en sortiez changé. Reparti du dernier festival de Cannes avec le prix du jury, Faute d’Amour fait partie de cette catégorie rare.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Andreï Zviaguintsev, au sommet de son art, signe un film sobre et bouleversant, qui lui a valu le prix du jury du 70e Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Cette sécheresse de trait qui irradie le jeu des comédiens, ce regard clinique, ce refus de tout psychologisme, cette forme de thriller vers laquelle tendent, mine de rien, tous ses films ! Tout ce qui confère à cette œuvre majestueuse une valeur universelle.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une vision âpre et désespérée d’un monde sans amour, où tout respire le manque de chaleur, en transcendant – et c’est tout l’art du réalisateur – la simple scène conjugale pour prendre valeur d’analyse d’un pays tout entier : le plus beau, et le plus grand, film présenté à Cannes, qui eût cent fois mérité la palme et a dû se contenter du prix d’un jury bien mal inspiré.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On en ressort groggy, affolé, ayant appris des choses qu'on ne voulait pas savoir, en ayant compris d'autres qu'on faisait semblant d'ignorer.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Tout au long du film parviennent les échos d’une actualité pleine de violences et d’effrois de fin du monde. Mais au fond le vrai suspense reste cette généalogie vertigineuse de l’innocence bafouée, de l’amour éternellement trahi. Zviaguintsev le met en scène avec une lucidité et une opacité vertigineuses, une froideur brûlante, une puissance bouleversante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un drame russe à la portée universelle.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
"Faute d'amour" est l'histoire d'une quête. Celle d'un enfant perdu, celle d'une humanité délaissée. La mise en scène somptueuse de Zviaguintsev est toute entière dédiée à cette recherche.
Transfuge
par Frédéric Mercier
En artiste russe, Zvyagintsev a une conscience tragique du destin de son peuple. Mais plus encore que ses prédecesseurs, Zvyagintsev a l'ambition des plus admirables cinéastes classiques américains.
Télérama
par Pierre Murat
C’est évidemment Ingmar Bergman qu’évoque "Faute d’amour". La même férocité. Le même constat devant la disparition de toute transcendance chez l’homme : les êtres qu’il observe semblent tous avoir perdu leur âme, sans laquelle ils errent, en rage, à jamais solitaires, comme des ombres affolées.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce film bouleversant et saisissant aborde avec une lucidité cruelle les rapports humains dans une société de plus en plus individualiste.
L'Humanité
par Muriel Steinmetz
Le plus souvent, Zviaguintsev désigne la nature à travers des vitres et des portes de voitures verrouillées. Il apporte un soin particulier, en gros plan, aux visages des acteurs, tous criants de sombre vérité. La caméra, comme en état d’hypnose, rôde sens cesse autour des personnages, à l’affût des soubresauts intimes d’âmes mortes qui ne renvoient plus à rien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
A Cannes, le cinquième long-métrage d'Andreï Zviaguintsev ("Leviathan") nous avait semblé appuyé et antipathique. Mea culpa : c'est un grand film, élégiaque et dévastateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Ce drame, Zviaguintsev le pousse à un degré de noirceur extraordinaire, sans pour autant tomber dans la caricature. Son film est crépusculaire, spectral, clinique.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un film chaotique et déroutant, au trait alternativement grossier et délicat.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est du grand cinéma, avec des plans d'une beauté formelle écrasante, surtout quand on traverse cet incroyable bâtiment fantôme, vestige d'une autre civilisation, celle de l'Union soviétique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Sans amour ? Oui, peut-être, parfois. Sauf qu’il y a ce plan sublime, insensé, d’un gamin tapi dans le noir, qui retient ses larmes en écoutant ses parents manquer de se foutre sur la gueule dans la pièce d’à côté. Une image exceptionnelle, où l’empathie du cinéaste inonde soudain l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Un film glaçant au cadre léché.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Andrei Zviaguintsev conduit son intrigue avec une impitoyable fermeté, scandant son récit en longs plans fixes dont l’emphase fait retentir le caractère inéluctable de cette Russie décrite en filigrane, consubstantielle à cette famille minée par son manque d’amour. Le film, remarquable, a obtenu le prix du jury au dernier festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Un drame très noir. Glacial, glaçant, déchirant.
Critikat.com
par Axel Scoffier
"Faute d’amour" gagne, malgré son caractère très programmatique, à être vu pour la cohérence et la force de sa mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Concrètement, ce film dépasse son histoire grâce à une construction qui relativise le pathos de la situation et les constats sociétaux sur l’individualisme mesquin de la petite bourgeoisie russe.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Zviaguintsev revient avec une tragédie sociale et politique tout en maîtrise, mais plombée en partie par sa monomanie et son refus obsessionnel du dénouement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Cette accumulation sursignifiante de portraits monstrueux, frôlant la caricature, plombe progressivement le film dont le spectateur sort essoufflé, puni pour une faute commise par des personnages qui lui deviennent, en fin du parcours, complètement indifférents.
L'Express
par Christophe Carrière
Parce qu'après un premier tiers formidable, où un couple s'écharpe devant un ado dévasté par ce spectacle pathétique, le film s'empêtre dans la recherche désespérée du fils, qui a fugué.
La Septième Obsession
par Alexandre Jourdain
Ce n’est que lorsqu’il convoque la nature et la poésie tarkovskienne que le cinéaste s’adresse le mieux à nos émotions. Malheureusement, raideur et calcul l’emportent souvent sur l’humilité.
Libération
par Marcos Uzal
Clinique et cynique, cette séparation parentale filmée par Andreï Zviaguintsev pèche par son manque d’empathie et son style trop académique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Le film raconte comment un couple en plein divorce se voit contraint de refaire cause commune pour rechercher leur fils de 12 ans mystérieusement disparu. Et c’est bouleversant.
Bande à part
De la Russie poutinienne, le réalisateur d’Elena et du Léviathan n’aura jamais donné des nouvelles aussi sombres, aussi noires, de son anéantissement moral et de ses gouffres. Il remonte une monstruosité insupportable que chacun comprend et peut faire sienne.
Culturopoing.com
Certains films, certains récits vous touchent au plus profond de votre être à un point tel qu’à l’issue de la projection rien n’est plus tout à fait pareil, comme si vous en sortiez changé. Reparti du dernier festival de Cannes avec le prix du jury, Faute d’Amour fait partie de cette catégorie rare.
La Croix
Andreï Zviaguintsev, au sommet de son art, signe un film sobre et bouleversant, qui lui a valu le prix du jury du 70e Festival de Cannes.
La Voix du Nord
Cette sécheresse de trait qui irradie le jeu des comédiens, ce regard clinique, ce refus de tout psychologisme, cette forme de thriller vers laquelle tendent, mine de rien, tous ses films ! Tout ce qui confère à cette œuvre majestueuse une valeur universelle.
Le Dauphiné Libéré
Une vision âpre et désespérée d’un monde sans amour, où tout respire le manque de chaleur, en transcendant – et c’est tout l’art du réalisateur – la simple scène conjugale pour prendre valeur d’analyse d’un pays tout entier : le plus beau, et le plus grand, film présenté à Cannes, qui eût cent fois mérité la palme et a dû se contenter du prix d’un jury bien mal inspiré.
Le Figaro
On en ressort groggy, affolé, ayant appris des choses qu'on ne voulait pas savoir, en ayant compris d'autres qu'on faisait semblant d'ignorer.
Le Figaroscope
Tout au long du film parviennent les échos d’une actualité pleine de violences et d’effrois de fin du monde. Mais au fond le vrai suspense reste cette généalogie vertigineuse de l’innocence bafouée, de l’amour éternellement trahi. Zviaguintsev le met en scène avec une lucidité et une opacité vertigineuses, une froideur brûlante, une puissance bouleversante.
Le Journal du Dimanche
Un drame russe à la portée universelle.
Positif
"Faute d'amour" est l'histoire d'une quête. Celle d'un enfant perdu, celle d'une humanité délaissée. La mise en scène somptueuse de Zviaguintsev est toute entière dédiée à cette recherche.
Transfuge
En artiste russe, Zvyagintsev a une conscience tragique du destin de son peuple. Mais plus encore que ses prédecesseurs, Zvyagintsev a l'ambition des plus admirables cinéastes classiques américains.
Télérama
C’est évidemment Ingmar Bergman qu’évoque "Faute d’amour". La même férocité. Le même constat devant la disparition de toute transcendance chez l’homme : les êtres qu’il observe semblent tous avoir perdu leur âme, sans laquelle ils errent, en rage, à jamais solitaires, comme des ombres affolées.
Femme Actuelle
Ce film bouleversant et saisissant aborde avec une lucidité cruelle les rapports humains dans une société de plus en plus individualiste.
L'Humanité
Le plus souvent, Zviaguintsev désigne la nature à travers des vitres et des portes de voitures verrouillées. Il apporte un soin particulier, en gros plan, aux visages des acteurs, tous criants de sombre vérité. La caméra, comme en état d’hypnose, rôde sens cesse autour des personnages, à l’affût des soubresauts intimes d’âmes mortes qui ne renvoient plus à rien.
L'Obs
A Cannes, le cinquième long-métrage d'Andreï Zviaguintsev ("Leviathan") nous avait semblé appuyé et antipathique. Mea culpa : c'est un grand film, élégiaque et dévastateur.
Le Monde
Ce drame, Zviaguintsev le pousse à un degré de noirceur extraordinaire, sans pour autant tomber dans la caricature. Son film est crépusculaire, spectral, clinique.
Les Fiches du Cinéma
Un film chaotique et déroutant, au trait alternativement grossier et délicat.
Paris Match
C'est du grand cinéma, avec des plans d'une beauté formelle écrasante, surtout quand on traverse cet incroyable bâtiment fantôme, vestige d'une autre civilisation, celle de l'Union soviétique.
Première
Sans amour ? Oui, peut-être, parfois. Sauf qu’il y a ce plan sublime, insensé, d’un gamin tapi dans le noir, qui retient ses larmes en écoutant ses parents manquer de se foutre sur la gueule dans la pièce d’à côté. Une image exceptionnelle, où l’empathie du cinéaste inonde soudain l’écran.
Studio Ciné Live
Un film glaçant au cadre léché.
Sud Ouest
Andrei Zviaguintsev conduit son intrigue avec une impitoyable fermeté, scandant son récit en longs plans fixes dont l’emphase fait retentir le caractère inéluctable de cette Russie décrite en filigrane, consubstantielle à cette famille minée par son manque d’amour. Le film, remarquable, a obtenu le prix du jury au dernier festival de Cannes.
Voici
Un drame très noir. Glacial, glaçant, déchirant.
Critikat.com
"Faute d’amour" gagne, malgré son caractère très programmatique, à être vu pour la cohérence et la force de sa mise en scène.
Les Inrockuptibles
Concrètement, ce film dépasse son histoire grâce à une construction qui relativise le pathos de la situation et les constats sociétaux sur l’individualisme mesquin de la petite bourgeoisie russe.
aVoir-aLire.com
Zviaguintsev revient avec une tragédie sociale et politique tout en maîtrise, mais plombée en partie par sa monomanie et son refus obsessionnel du dénouement.
Cahiers du Cinéma
Cette accumulation sursignifiante de portraits monstrueux, frôlant la caricature, plombe progressivement le film dont le spectateur sort essoufflé, puni pour une faute commise par des personnages qui lui deviennent, en fin du parcours, complètement indifférents.
L'Express
Parce qu'après un premier tiers formidable, où un couple s'écharpe devant un ado dévasté par ce spectacle pathétique, le film s'empêtre dans la recherche désespérée du fils, qui a fugué.
La Septième Obsession
Ce n’est que lorsqu’il convoque la nature et la poésie tarkovskienne que le cinéaste s’adresse le mieux à nos émotions. Malheureusement, raideur et calcul l’emportent souvent sur l’humilité.
Libération
Clinique et cynique, cette séparation parentale filmée par Andreï Zviaguintsev pèche par son manque d’empathie et son style trop académique.