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    Une Femme douce
    Note moyenne
    3,0
    24 titres de presse
    • L'Express
    • La Voix du Nord
    • Studio Ciné Live
    • Transfuge
    • Télérama
    • Les Fiches du Cinéma
    • Paris Match
    • Première
    • Critikat.com
    • La Croix
    • Le Figaro
    • Le Journal du Dimanche
    • Ouest France
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Humanité
    • La Septième Obsession
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Positif
    • Franceinfo Culture
    • L'Obs

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    24 critiques presse

    L'Express

    par Eric Libiot

    Le premier grand film de cette rentrée, injustement revenu bredouille du Festival de Cannes.

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    « Au théâtre, il n’y a rien à comprendre, mais tout à sentir », affirmait Louis Jouvet. Pareil pour le cinéma, dira-t-on. Surtout face à un Ukrainien comme Sergei Loznitsa (My Joy, Dans la brume), de retour à la fiction. La claque !

    Studio Ciné Live

    par Eric Libiot

    Documentariste puissant (Maidan) et auteur parfois brumeux (My Joy), Serguei Loznitsa atteint là les sommets d'un cinéma politique et réaliste. Personne n'en sort indemne.

    La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Un grand film à la noirceur corrosive, libératrice.

    Télérama

    par Pierre Murat

    Une femme douce est un grand film politique et romanesque. Il est à la fois doux et extravagant. Sergeï Loznitsa s’y affirme définitivement comme un grand cinéaste.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Les Fiches du Cinéma

    par Cyrille Latour

    Sergei Loznitsa dresse le portrait sombre et désespéré d’une Russie en déliquescence.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Formellement sublime - le film est magnifiquement éclairé par le chef opérateur roumain Oleg Mutu ("Quatre mois, trois semaines et deux jours" de Cristian Mungiu) -, "Une femme douce" aurait peut-être mérité un élagage de son scénario mais la démonstration est implacable.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Guillaume Bonnet

    La femme douce ne bouge pas, ni ne cède, ni ne rompt, dans l’œil d’une toupie qui dessine les cercles d’un Enfer très russe (traces de Gogol ou Dostoïevski, dont le film se veut une lointaine adaptation, impact récent de la Prix Nobel Svetlana Alexievitch) mais qui doit aussi beaucoup à Kafka revu par David Lynch.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Critikat.com

    par Marie Gueden

    Loznitsa dresse ici à travers le portrait tragique d'une femme douce une forme de procès sans concessions de la Russie, mêlé à une complainte envers ceux qui ont "niqué ce grand pays.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    On l’aura compris, la dénonciation de Sergueï Loznitsa est frontale et ravageuse, courageuse et sans aucune complaisance pour un pouvoir qui a gardé ses anciennes manières. Son film, qui s’autorise vers la fin une longue échappée onirique, est à la fois fascinant et interminable (...).

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    La mise en scène est puissante, mais pesante. Surtout quand elle cherche à décoller vers la fable onirique: le long banquet final, sombre parodie de quelque congrès stalinien, lasse à force d'emphase répétitive. Reste une moralité cruelle: il ne fait pas bon être quelqu'un de simple et de rationnel dans la démence générale.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Semé de silences, de détours oniriques et de panoramiques solennels ayant tendance à s’éterniser, cet étrange voyage amplifie de toute part le stoïcisme tristounet de l’héroïne, en permanence malmenée par l’absurde et insatiable sauvagerie ambiante. Marquant, mais chargé.

    Ouest France

    par Gilles Kerdreux

    On ne sort pas intact de ce portrait au vitriol de la société post-soviétique, mais les images de Sergei Loznitsa restent en tête jusqu'à l'allégorie finale surréaliste.

    aVoir-aLire.com

    par Alexandre Jourdain

    Jusqu’au dernier tiers, ce long-métrage à la fois vibrant, complexe et aride rivalise de propositions de cinéma. Et l’on pense alors être en présence d’un grand film. Malencontreusement, le cinéaste prend la décision dans la dernière partie de son œuvre de mettre en scène un rêve reprenant un à un les motifs précédemment cités.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Cyril Béghin

    Une sédimentation de malheurs que la forme un peu désuète du film, avec ses passages obligés de folklore russe (beuveries et chansons), fait aussi passer pour une vieille histoire, au risque de manquer sa cible.

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Une conclusion en forme de jeu de massacre, révélatrice de l’absence de mesure de ce cinéaste finalement assez dogmatique, qui a une dent (acérée) contre ses pays d’origine (Russie et Ukraine), où ses films sont peu diffusés.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    La Septième Obsession

    par Morgan Pokée

    Le film, hélas ! s’abîme considérablement dans le dernier mouvement du film, lors d’une séquence onirique surlignant lourdement les enjeux de l’œuvre.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Le portrait devient caricature et la charge se fige au point de devenir poisseuse. Au bout de quasiment deux heures et demie d’une épaisseur compacte, on cherche l’air pour respirer.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Le réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa asphyxie son troisième long-métrage sous son amertume.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    Documentariste salué par la critique internationale, Sergei Loznitsa a du mal à se hisser à la hauteur de cette réputation dans ses fictions. Une femme douce ne changera pas cette donne, même si le talent du cinéaste y brille par éclats trop brefs.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Marcos Uzal

    Indéniablement, Loznitsa ne manque pas de talent pour donner à ce récit le caractère flottant d’une hallucination et pour reconstituer un monde peuplé de personnages aussi truculents qu’inquiétants. Le problème est qu’en voulant dessiner une Russie condamnée à une infinie répétition, le film donne lui-même le sentiment de recycler de l’ancien.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Yann Tobin

    Rarement un film aura gâché à ce point, par une dernière partie aussi laborieuse, les potentialités d’un grand film, comme si l’impasse vécue par le protagoniste féminin se transmettait à celle du cinéaste.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Dans "Une femme douce" tout est excessif, de la durée des plans, interminables, à une séquence onirique que l’on identifierait à du Fellini de bas étage, jusqu’à une scène de viol pour couronné le tout comme cerise sur le gâteau. Bon appétit. La grande presse qui donne le La adore : tout va bien.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    C'est du cinéma de festival (il était en compétition officielle à Cannes cette année) dans ce qu'il a de plus daté.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs
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