Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Le premier grand film de cette rentrée, injustement revenu bredouille du Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
« Au théâtre, il n’y a rien à comprendre, mais tout à sentir », affirmait Louis Jouvet. Pareil pour le cinéma, dira-t-on. Surtout face à un Ukrainien comme Sergei Loznitsa (My Joy, Dans la brume), de retour à la fiction. La claque !
Studio Ciné Live
par Eric Libiot
Documentariste puissant (Maidan) et auteur parfois brumeux (My Joy), Serguei Loznitsa atteint là les sommets d'un cinéma politique et réaliste. Personne n'en sort indemne.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Damien Aubel
Un grand film à la noirceur corrosive, libératrice.
Télérama
par Pierre Murat
Une femme douce est un grand film politique et romanesque. Il est à la fois doux et extravagant. Sergeï Loznitsa s’y affirme définitivement comme un grand cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Sergei Loznitsa dresse le portrait sombre et désespéré d’une Russie en déliquescence.
Paris Match
par Yannick Vely
Formellement sublime - le film est magnifiquement éclairé par le chef opérateur roumain Oleg Mutu ("Quatre mois, trois semaines et deux jours" de Cristian Mungiu) -, "Une femme douce" aurait peut-être mérité un élagage de son scénario mais la démonstration est implacable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Guillaume Bonnet
La femme douce ne bouge pas, ni ne cède, ni ne rompt, dans l’œil d’une toupie qui dessine les cercles d’un Enfer très russe (traces de Gogol ou Dostoïevski, dont le film se veut une lointaine adaptation, impact récent de la Prix Nobel Svetlana Alexievitch) mais qui doit aussi beaucoup à Kafka revu par David Lynch.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Marie Gueden
Loznitsa dresse ici à travers le portrait tragique d'une femme douce une forme de procès sans concessions de la Russie, mêlé à une complainte envers ceux qui ont "niqué ce grand pays.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
On l’aura compris, la dénonciation de Sergueï Loznitsa est frontale et ravageuse, courageuse et sans aucune complaisance pour un pouvoir qui a gardé ses anciennes manières. Son film, qui s’autorise vers la fin une longue échappée onirique, est à la fois fascinant et interminable (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
La mise en scène est puissante, mais pesante. Surtout quand elle cherche à décoller vers la fable onirique: le long banquet final, sombre parodie de quelque congrès stalinien, lasse à force d'emphase répétitive. Reste une moralité cruelle: il ne fait pas bon être quelqu'un de simple et de rationnel dans la démence générale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Semé de silences, de détours oniriques et de panoramiques solennels ayant tendance à s’éterniser, cet étrange voyage amplifie de toute part le stoïcisme tristounet de l’héroïne, en permanence malmenée par l’absurde et insatiable sauvagerie ambiante. Marquant, mais chargé.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
On ne sort pas intact de ce portrait au vitriol de la société post-soviétique, mais les images de Sergei Loznitsa restent en tête jusqu'à l'allégorie finale surréaliste.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Jusqu’au dernier tiers, ce long-métrage à la fois vibrant, complexe et aride rivalise de propositions de cinéma. Et l’on pense alors être en présence d’un grand film. Malencontreusement, le cinéaste prend la décision dans la dernière partie de son œuvre de mettre en scène un rêve reprenant un à un les motifs précédemment cités.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Une sédimentation de malheurs que la forme un peu désuète du film, avec ses passages obligés de folklore russe (beuveries et chansons), fait aussi passer pour une vieille histoire, au risque de manquer sa cible.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une conclusion en forme de jeu de massacre, révélatrice de l’absence de mesure de ce cinéaste finalement assez dogmatique, qui a une dent (acérée) contre ses pays d’origine (Russie et Ukraine), où ses films sont peu diffusés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Le film, hélas ! s’abîme considérablement dans le dernier mouvement du film, lors d’une séquence onirique surlignant lourdement les enjeux de l’œuvre.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le portrait devient caricature et la charge se fige au point de devenir poisseuse. Au bout de quasiment deux heures et demie d’une épaisseur compacte, on cherche l’air pour respirer.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa asphyxie son troisième long-métrage sous son amertume.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Documentariste salué par la critique internationale, Sergei Loznitsa a du mal à se hisser à la hauteur de cette réputation dans ses fictions. Une femme douce ne changera pas cette donne, même si le talent du cinéaste y brille par éclats trop brefs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Indéniablement, Loznitsa ne manque pas de talent pour donner à ce récit le caractère flottant d’une hallucination et pour reconstituer un monde peuplé de personnages aussi truculents qu’inquiétants. Le problème est qu’en voulant dessiner une Russie condamnée à une infinie répétition, le film donne lui-même le sentiment de recycler de l’ancien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Rarement un film aura gâché à ce point, par une dernière partie aussi laborieuse, les potentialités d’un grand film, comme si l’impasse vécue par le protagoniste féminin se transmettait à celle du cinéaste.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans "Une femme douce" tout est excessif, de la durée des plans, interminables, à une séquence onirique que l’on identifierait à du Fellini de bas étage, jusqu’à une scène de viol pour couronné le tout comme cerise sur le gâteau. Bon appétit. La grande presse qui donne le La adore : tout va bien.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
C'est du cinéma de festival (il était en compétition officielle à Cannes cette année) dans ce qu'il a de plus daté.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Express
Le premier grand film de cette rentrée, injustement revenu bredouille du Festival de Cannes.
La Voix du Nord
« Au théâtre, il n’y a rien à comprendre, mais tout à sentir », affirmait Louis Jouvet. Pareil pour le cinéma, dira-t-on. Surtout face à un Ukrainien comme Sergei Loznitsa (My Joy, Dans la brume), de retour à la fiction. La claque !
Studio Ciné Live
Documentariste puissant (Maidan) et auteur parfois brumeux (My Joy), Serguei Loznitsa atteint là les sommets d'un cinéma politique et réaliste. Personne n'en sort indemne.
Transfuge
Un grand film à la noirceur corrosive, libératrice.
Télérama
Une femme douce est un grand film politique et romanesque. Il est à la fois doux et extravagant. Sergeï Loznitsa s’y affirme définitivement comme un grand cinéaste.
Les Fiches du Cinéma
Sergei Loznitsa dresse le portrait sombre et désespéré d’une Russie en déliquescence.
Paris Match
Formellement sublime - le film est magnifiquement éclairé par le chef opérateur roumain Oleg Mutu ("Quatre mois, trois semaines et deux jours" de Cristian Mungiu) -, "Une femme douce" aurait peut-être mérité un élagage de son scénario mais la démonstration est implacable.
Première
La femme douce ne bouge pas, ni ne cède, ni ne rompt, dans l’œil d’une toupie qui dessine les cercles d’un Enfer très russe (traces de Gogol ou Dostoïevski, dont le film se veut une lointaine adaptation, impact récent de la Prix Nobel Svetlana Alexievitch) mais qui doit aussi beaucoup à Kafka revu par David Lynch.
Critikat.com
Loznitsa dresse ici à travers le portrait tragique d'une femme douce une forme de procès sans concessions de la Russie, mêlé à une complainte envers ceux qui ont "niqué ce grand pays.
La Croix
On l’aura compris, la dénonciation de Sergueï Loznitsa est frontale et ravageuse, courageuse et sans aucune complaisance pour un pouvoir qui a gardé ses anciennes manières. Son film, qui s’autorise vers la fin une longue échappée onirique, est à la fois fascinant et interminable (...).
Le Figaro
La mise en scène est puissante, mais pesante. Surtout quand elle cherche à décoller vers la fable onirique: le long banquet final, sombre parodie de quelque congrès stalinien, lasse à force d'emphase répétitive. Reste une moralité cruelle: il ne fait pas bon être quelqu'un de simple et de rationnel dans la démence générale.
Le Journal du Dimanche
Semé de silences, de détours oniriques et de panoramiques solennels ayant tendance à s’éterniser, cet étrange voyage amplifie de toute part le stoïcisme tristounet de l’héroïne, en permanence malmenée par l’absurde et insatiable sauvagerie ambiante. Marquant, mais chargé.
Ouest France
On ne sort pas intact de ce portrait au vitriol de la société post-soviétique, mais les images de Sergei Loznitsa restent en tête jusqu'à l'allégorie finale surréaliste.
aVoir-aLire.com
Jusqu’au dernier tiers, ce long-métrage à la fois vibrant, complexe et aride rivalise de propositions de cinéma. Et l’on pense alors être en présence d’un grand film. Malencontreusement, le cinéaste prend la décision dans la dernière partie de son œuvre de mettre en scène un rêve reprenant un à un les motifs précédemment cités.
Cahiers du Cinéma
Une sédimentation de malheurs que la forme un peu désuète du film, avec ses passages obligés de folklore russe (beuveries et chansons), fait aussi passer pour une vieille histoire, au risque de manquer sa cible.
L'Humanité
Une conclusion en forme de jeu de massacre, révélatrice de l’absence de mesure de ce cinéaste finalement assez dogmatique, qui a une dent (acérée) contre ses pays d’origine (Russie et Ukraine), où ses films sont peu diffusés.
La Septième Obsession
Le film, hélas ! s’abîme considérablement dans le dernier mouvement du film, lors d’une séquence onirique surlignant lourdement les enjeux de l’œuvre.
Le Dauphiné Libéré
Le portrait devient caricature et la charge se fige au point de devenir poisseuse. Au bout de quasiment deux heures et demie d’une épaisseur compacte, on cherche l’air pour respirer.
Le Monde
Le réalisateur ukrainien Sergei Loznitsa asphyxie son troisième long-métrage sous son amertume.
Les Inrockuptibles
Documentariste salué par la critique internationale, Sergei Loznitsa a du mal à se hisser à la hauteur de cette réputation dans ses fictions. Une femme douce ne changera pas cette donne, même si le talent du cinéaste y brille par éclats trop brefs.
Libération
Indéniablement, Loznitsa ne manque pas de talent pour donner à ce récit le caractère flottant d’une hallucination et pour reconstituer un monde peuplé de personnages aussi truculents qu’inquiétants. Le problème est qu’en voulant dessiner une Russie condamnée à une infinie répétition, le film donne lui-même le sentiment de recycler de l’ancien.
Positif
Rarement un film aura gâché à ce point, par une dernière partie aussi laborieuse, les potentialités d’un grand film, comme si l’impasse vécue par le protagoniste féminin se transmettait à celle du cinéaste.
Franceinfo Culture
Dans "Une femme douce" tout est excessif, de la durée des plans, interminables, à une séquence onirique que l’on identifierait à du Fellini de bas étage, jusqu’à une scène de viol pour couronné le tout comme cerise sur le gâteau. Bon appétit. La grande presse qui donne le La adore : tout va bien.
L'Obs
C'est du cinéma de festival (il était en compétition officielle à Cannes cette année) dans ce qu'il a de plus daté.