Under The Silver Lake
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301 critiques spectateurs

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anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 25 août 2018
Que retenir après coup, si ce n'est que l'affiche du film est jolie ? Under the silver lake est une tragédie cinématographique. Vouloir faire du David Lynch est une belle ambition... Encore faut il un scénario à la hauteur. Celui-ci est d'une pauvreté abyssale. Un des personnages principaux disparait ? Damned, le scénario du film, lui, s'est volatilisé. Jean Regis MILLET
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 390 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 5 janvier 2020
C’est amusant comment une œuvre peut parfois vous en rappeler d’autres – de manière presque excessive – tout en sachant trouver une réelle singularité.
Une légitimité.

C’est notamment ce que j’ai ressenti face à cet « Under The Silver Lake ».

J’y ai retrouvé une partie du Hollywood de « Mulholland Drive ».
Cet aspect monde semi-réel. Cet artifice dérangeant car totalement factice.
Ce faste éventé souvent au service de médiocres gens.
Mais en compensation de tout cela, cet étrange magnétisme que génère cette conviction aveugle qu’ont tous ces pantins face à leurs propres chimères.

Avancer dans cet Hollywood là, c’est avancer de plus en plus dans un monde à part.
Dérangé.

Mais « Under The Silver Lake » est en cela beaucoup moins anxiogène que le chef d’œuvre de David Lynch.
Au contraire, il a une part de détachement, de recul, de second degré.

En cela il a aussi des faux airs de « Southland Tales ».
Il est une farce immense, mais une farce très sophistiquée formellement.
Une farce qu’on ne peut s’empêcher de se prendre au sérieux malgré la légèreté évidente de l’ensemble.

Et puis enfin, il y aurait presque du Shane Blake dans ces personnages et ces situations absurde.
Une sorte de « Kiss Kiss Bang Bang » mystique.

Un mélange surprenant mais loin d’être désagréable.

Alors OK, au final cet « Under The Silver Lake » n’aboutit pas vraiment dans la mesure où il n’atteint pas d’objectif discursif précis. Mais franchement ce n’est pas un souci.
Depuis le départ ce film a cette identité un peu fofolle qui n’appelait pas à un déroulement conventionnel.
Que ce film se finisse comme une semi-farce, ça a clairement du sens au regard de ce qu’il est. Surtout qu’il sait se montrer parfaitement cohérent et régulier en termes de rythme et de narration.
On sait quand on arrive au bout et on nous a parfaitement bien préparés à cet état d’esprit.

En somme, cet « Under The Silver Lake » m’est apparu comme une œuvre intrigante.
Presque joliment gratuite.
Mais une œuvre qui a son identité et qui, surtout, a son charme.
Un vrai bon plaisir.
Merci donc, David Robert Mitchell pour ce petit cadeau.
Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
Olivier M.
Olivier M.

13 abonnés 5 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 10 août 2018
Sublime, Intense, Jouissif! Durant tout le film, Robert David Mitchell nous entraîne dans Los Angeles pour trouver les réponses des questions que peuvent se poser tous les théoriciens du complot. Andrew Garfield est magistral, la mise en scène est impeccable et la musique plus que mémorable. Ce film, auréolé de références à la culture pop que l'on apprécie tant, à les moyens d'être générationnel et culte dans quelques années. Précipitez vous dans les salles afin de pouvoir vous venter d'avoir vu ce film en salle dans 20ans comme une génération peut aujourd'hui se vanter d'avoir découvert, il y a presque 20 ans, Mulholland Drive du grand D.Lynch.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 12 août 2018
Los Angeles est plutôt bien rendue par Mitchell, les collines de Hollywood sont plutôt spectaculaires et assez peu vues sous cet angle notamment. Joli rendu de l’atmosphère des films des années 50, avec ces musiques un peu grandiloquentes. Mais était-ce utile d’y ajouter ces extraits de « Comment épouser un millionnaire » ? Il y a trop de références dans ce film, il faut travailler aux Cahiers du Cinéma pour toutes les saisir : du coup s’installe petit a petit un sentiment d’exclusion.

La fable qui nous est contée est plutôt solide, des rebonds d’une scène a une autre densifient le scenario. Je reste quand même sur ma faim : cette scène autour de la pop culture est cousue de fil blanc, et le maquillage grossier ne permet pas de se projeter du tout.

Enfin reste Andrew Garfield : c’est officiel, je n’aime pas cet acteur. Ces grimaces permanentes m’ont été insupportable et je n’ai pas cru que cette nonchalance dans le jeu était si jouée que cela.

Au final, en sortant de la, j’ai pensé aux fables que nous livrait Tim Burton avec Johnny Depp : c’était je crois l’ambition de Mitchell, il reste du travail…
Natcha
Natcha

2 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 14 août 2018
Une belle affiche et un résumé attrayant m'ont attirée mais j'ai été vraiment déçue.
Quelques belles images mais c'est long, décousu, absurde et même mal doublé. Certaines scènes sont incompréhensibles voire violentes et n'apportent rien à l'intrigue (si on considère qu'il y en a une !).
Je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal et attendu, en vain, un sens à l'histoire.
selenie
selenie

6 516 abonnés 6 258 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 9 août 2018
Premier constat et première félicitation directement à David Robert Mitchell qui, au lieu de rester dans la zone de confort de son succès "It Follows", impose son audace et son ambition dans ce film original à la démesure de ses références (Hitchcock mais aussi et surtout David Lynch). Sam s'embarque donc dans une enquête surréaliste où sévit un tueur en série de chiens, où les filles sont belles mais semblent esclaves de leur rêve (attention charge contre ceux du club de Harvey Weinstein !)... Le film peut être vu comme un pamphlet de l'usine à rêve, confrontant les rêves de ceux qui arrivent à Hollywood avec les désillusions de la réalité. C'est aussi un hommage à la Pop Culture tout en y mettant un coup de couteau avec une scène appelée à être culte où un vieux compositeur, sorte de dieu musical (on n'en dira pas plus !).
Site : Selenie
Jorik V
Jorik V

1 295 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 10 août 2018
Après nous avoir subjugués par la beauté plastique et l’intelligence du propos de son dernier film, « It follows », qui est l’un des fers de lance de la nouvelle mouvance du cinéma fantastique américain dit indépendant, David Robert Mitchell revient avec une œuvre encore plus ambitieuse mais d’un tout autre genre. Ou plutôt à la frontière d’une multitude de genres, aboutissant à un long-métrage unique et pareil à nul autre, preuve que le cinéaste a cherché à sortir de sa zone de confort. On retrouve tout de même des marques de ses deux précédents films, des signes récurrents tels que la sensation d’être suivi ressentie par les personnages, une imagerie intemporelle qui lui est propre dans les décors et les costumes et surtout cette importance de la pop culture. « Under the Silver Lake » s’apparente d’ailleurs au « Ready Player One » du cinéma d’auteur en marge, tant il regorge de références tous azimuts, néanmoins plus difficilement identifiables pour le spectateur lambda que dans le blockbuster généreux de Spielberg. Quant à le définir, les adjectifs manquent pour caractériser cette œuvre si singulière, et ils sont parfois antinomiques : déroutant, intrigant, labyrinthique, opaque, fascinant, prétentieux, passionnant, …

On peut dire qu’en surface ce film est une plongée méta dans ce qui reste peut-être la ville qui a le plus inspiré les cinéastes du monde entier, celle qui abrite l’usine à rêves qu’est Hollywood cette Mecque du cinéma : Los Angeles. Mais ici Mitchell en plus de la filmer avec amour et avec une passion qui confine parfois au sublime et au magique, comme a pu le faire Nicolas Windig Refn dans « Drive » par exemple, il en déconstruit également une partie des mythes et des secrets. Tout comme il vient gratter voire parfois annihiler avec un humour noir et une pointe de thriller décalé mâtiné de fantastique les clichés inhérents à la Cité des Anges, les rêves qu’elle porte et la faune humaine bigarrée qui la peuple. C’est un peu le nouvel avatar du film bizarre en forme de bilan, qui confronte le spectateur à ses propres visions sur Hollywood et le septième art. Il y a eu « Mulholland Drive » il y a près de vingt ans, l’inédit « Southland Tales » il y a plus de dix ans, « The Neon Demon » (encore de Refn) l’an passé et voilà « Under the Silver Lake ». D’ailleurs ces quatre films se sont retrouvés en sélection officielle au plus grand Festival du cinéma du monde, celui de Cannes. La boucle est bouclée…

Il est utile de signaler qu’on est face à un film extrêmement complexe à appréhender, avec de multiples symboles dont il semble difficile de saisir tous les codes, références et métaphores, ce qui en constitue parfois la limite. Le metteur en scène ne nous donne que très peu de clés de compréhension et il faut prendre ce mille-feuilles cinématographique comme il vient sous peine d’être largués. Il est nécessaire d’accepter de ne pas tout comprendre, voire quasiment rien, de se laisser porter par cette imagerie bercée de fantasmes et d’idées reçues sur LA et ses fantômes, ses préjugés et ses clichés, tel un miroir malade, déformant mais peut-être pas si exagéré que cela. Ce n’est pas tant la destination qui compte ici, mais le chemin qui permet d’y arriver. Cependant, on ne reprochera pas à Mitchell de plagier ou copier d’autres films en dépit de l’abondance de références et/ou hommages présents, car son film ne ressemble à aucun autre. En revanche, « Under the Silver Lake » pêche trop souvent par excès, ce qui l’empêche d’accéder au statut de classique instantané. Mitchel est trop gourmand et peut paraître prétentieux dans sa manière de se citer et de laisser trop de questions en suspens. Et, surtout, le film est beaucoup trop long ! Un demie-heure en moins n’aurait pas nui à ce long-métrage qui paraît souvent interminable.

Le côté sibyllin divisera l’auditoire et peut-être qu’une seconde vision éclairerait certaines choses. Mais toutes les pistes lancées ne sont qu’un puzzle à la fois ludique, agaçant et délirant d’un milieu finalement fantasmé qui broie les gens. « Under the Silver Lake » s’articule autour de trois rencontres phares (le complotiste, le compositeur et le milliardaire hippie) qui vont être le réceptacle de ce que sous-entend le film et en constituent la richesse thématique. On y parle donc de théories du complot et de toute la palanquée de signes et de folklore qui les entourent, de l’intacte fascination qu’exerce le monde des stars et des milliardaires et enfin de la vacuité de la société occidentale actuelle. Tout cela est condensé dans un maëlström d’images, de dialogues et de séquences plus ou moins farfelues et à priori incohérentes. Rassurez-vous, c’est tout de même plus accessible (mais moins hypnotique) et de prime abord moins incompréhensible que « Mulholland Drive », dont cette œuvre néo-noire fortement inspirée de Lynch justement se veut le pendant pop et dégénéré. Le film peut tout autant fasciner que rebuter mais il ne laissera pas indifférent et marque la patte d’un auteur passionnant. C’est le genre de long-métrage dont les cinéphiles aiment à débattre des heures après la séance, et c’est de plus en plus rare.

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poet75
poet75

280 abonnés 703 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 10 août 2018
Décidément, il vaut mieux ne pas être un chien, ces temps-ci, au cinéma. Après le captivant film d’animation de Wes Anderson qui les envoyait tous en quarantaine sur une île-poubelle, nous voici transportés par David Robert Mitchell dans un étrange Los Angeles que hante un tueur de chiens. Bon, à vrai dire, il s’agit, en l’occurrence, d’un personnage de bande dessinée plus que d’un personnage réel, ce que révèlent malignement deux séquences qui font s’animer sous nos yeux des dessins de BD.
Tout ce film, d’ailleurs, peut être perçu comme une sorte de transposition de BD pour adulte à l’écran. Si l’on accepte toutes les conventions d’un genre comme celui-là et si l’on veut bien participer, en tant que spectateurs, au grand jeu organisé par le réalisateur, on peut y puiser énormément de délectation. Ne boudons pas le malin plaisir qui nous est offert : suivre pas à pas le héros (ou plutôt le anti-héros) de ce film. Sam (Andrew Garfield), le personnage en question, semble tout droit venu des films de Hitchcock : comme James Stewart dans « Fenêtre sur cour » (1954), il observe aux jumelles son voisinage (et, en particulier ses jolies voisines) et comme le même acteur dans « Sueurs froides » (Vertigo – 1958), il mène une enquête à propos d’une jeune femme. En l’occurrence, la jeune femme en question a mystérieusement disparu la nuit qui a suivi le bref échange que Sam a réussi à avoir avec elle et à l’issue duquel elle lui avait donné rendez-vous pour le lendemain.
Or, le lendemain, la séduisante jeune femme s’est envolée. Le film se déploie, à partir de ce moment, sous la forme d’un grand jeu de piste. Sam recherche la disparue en se laissant guider par de multiples signes et indices, parfois totalement incongrus, ce qui le conduit dans les lieux les plus inattendus et les plus improbables. Sa route croise celle de starlettes déchues monnayant leurs charmes, d’un homme habillé en pirate, d’un chanteur qui se prend pour Jésus, d’un clochard qui le guide, comme il se doit, vers des bas-fonds, etc. Le réalisateur s’amuse (et nous amuse) en disséminant dans le film de multiples signes cryptés qui semblent étayer de sombres théories du complot. Mais en vérité, tout le film n’est rien d’autre qu’un rêve éveillé ou, plus précisément, un cauchemar éveillé. L’usine à rêves d’Hollywood semble ne plus pouvoir engendrer autre chose : tel est, si l’on veut, le message sous-jacent à ce film : un film dont certaines scènes, je tiens à le préciser, sont susceptibles de choquer des spectateurs. Cela étant dit, on aurait tort, à mon avis, de prendre ces scènes au premier degré, y compris certaines répliques qu’on peut juger « blasphématoires ».
Les cinéphiles se régaleront, quoi qu’il en soit, en repérant, tout au long du film, les nombreuses références à l’âge d’or d’Hollywood, références qui sont là, précisément, sans doute, pour montrer, par contraste, une sorte de faillite. Le rêve hollywoodien n’est plus de mise, les personnages d’aujourd’hui n’y croient plus, le monde est désenchanté. Hitchcock, Marilyn Monroe, James Dean, et la sublime Janet Gaynor, si belle, si émouvante dans « L’heure suprême » (1927), un chef d’œuvre du cinéma muet signé Frank Borzage : toutes ces stars, et d’autres encore, apparaissent dans ce film tout en semblant, tristement, ne plus rien pouvoir apporter à Sam, l’anti-héros déçu et déboussolé que met très habilement en scène David Robert Mitchell.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 18 août 2018
On sent qu'il y a plein d'idées et plein de moyen et on se demande comment les producteurs ont financé ça! Les idées se suivent en vrac sans respecter le fil d'une histoire et sans respecter le spectateur. Des personnages qui apparaissent d'on ne sait où et qui n'apporte rien... par exemple la femme de la pub de lentille... L'atmosphère est paranoïaque, sexuelle, hollywoodienne et jeunes adulescents insouciants. Je ne m'y suis pas retrouvée, je ne me suis pas amusée du tout et ennuyée tout le long, il m'a semblé interminable, le soi disant thriller ne tenait pas debout, le mobile de chercher cette femme à peine croisé... l'amour? bof, son ennui et impression d'avoir une raison de vivre peut-être!
J'ai trouvé tout les personnages grossiers et inintéressants!
J'ai perdu 2h et une place de cinéma!
Rainfall_Shadow
Rainfall_Shadow

42 abonnés 393 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 10 août 2018
un film bien déroutant mais qui révèle une splendeur de filmer dans la noirceur de LA, soulignons la magnifique interprétation d'Andrew Garfield ...
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 13 août 2018
Navet clinquant qui souhaite bluffer le spectateur , difficile de se laisser prendre malgré la farandole de créatures et les scènes racoleuses , malgré le confort de la salle je ne tenais plus sur mon fauteuil.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 13 août 2018
Mon Dieu que l'on s'ennuie avec cette histoire complètement tirée par les cheveux et qui semble ne mener nulle part... hormis peut être à un petit monde du cinéma de LA qui se regarde le nombril.
Les références, la photographie (très belle), les idées délurées ne suffisent pas à rattraper le coup. Le temps semble bien long.
Romain C.
Romain C.

84 abonnés 867 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 13 août 2018
Under The Silver Lake est film très étrange , décalé , originale et inhabituel qui ne peut en aucun cas plaire à tout le monde . Certaines scènes comporte de l'humour mais c'est surtout le décalé qui donne cette humour qui ne fait pas sourire tout le monde . Il rend hommage à Hitchcock par plusieurs moyens et a Jeannette Leigh.
Ce qui m'a surpris dans ce film c'est qu'il y a de l'angoisse et du mystère avec une enquête spécial mais une enquête quand même .
Ce film possède de très belles images dus à un très bon réalisateur David Robert Mitchelle .
Un scénario originale .
Une très bonne fin .
Andrew Garfield est très bon mais par moments moins que dans Spider Man ou Silence .

Under The Silver Lake est décalé donc je ne peux pas parler de cohérence même si ça a tendance à l'être .
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 22 août 2018
Ce film du festival de cannes n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais. Ne connaissant pas type de film sélectionnés par ce festival je m'attendais à un film d'un certain standing. Mais non le film n'a pas trop de logique enfin vraiment peu à mon sens. L'histoire est confuse tout comme celui qui le visionne. On est ressorti du cinéma très déçu et on a essayé de s'expliquer les uns aux autres pendant de longues heures la logique et l'utilité de certains passages...
zorro50
zorro50

119 abonnés 249 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 9 août 2018
Un film farfelu, fortement inspiré de « Alice au pays des merveilles » de Lewis Carroll, version modernisée et pour adulte. Malgré sa longueur exagérée, on demeure captivé de bout en bout.
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