Under The Silver Lake
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301 critiques spectateurs

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mat niro
mat niro

372 abonnés 1 866 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 18 septembre 2018
Interminables m'ont semblé être les 140 minutes de ce film. Malgré les références cinématographiques de cette œuvre, cela m'a paru complétement incohérent et surtout inintéressant. Le mélange des genres voulu par le réalisateur, David Robert Mitchelll, m'a totalement déstabilisé (dans le mauvais sens du therme) pour accoucher d'un film navrant à mon goût.
colombe P.
colombe P.

134 abonnés 695 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 12 août 2018
Le pitch m'a intéressé, j'aime bien les mystères à résoudre et j'apprécie la ville de L.A.
Mais je n'ai pas du tout aimé ce film vain, creux, prétentieux, incongru.
Ce qui fait tenir c'est qu'on souhaite savoir ce qui est arrivé à la femme, pourquoi elle est partie de son logement.
Mais les moyens pour y arriver sont ridicules et pour nous pauvres spectateurs c'est plutôt un calvaire.
Samuel M.
Samuel M.

3 abonnés 48 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 10 août 2018
D'un ennui mortel!
Une succession de scènes sans fil directeur, toutes plus barbantes les unes que les autres...
Une partie du public a même quitté la salle après 1h30 de calvaire, et je n'ai pas manqué de leur emboîter le pas.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 24 juin 2018
Pour son troisième film, le réalisateur David Robert Mitchell nous offre une fascinante plongée dans les abysses de la stupidité. Le réalisateur trentenaire cuisine ici un infâme melting pot de théories du complot et d'humour gras indigeste. Quand au rôle des femmes dans l'histoire, c'est bien simple, elles sont réduites à des figures d'adolescentes écervelées obsédées par le sexe. L'histoire manque totalement de saveur et certaines histoires développées en parallèle (comme l'histoire du tueur de chiens) ne sont simplement pas résolues, ce qui laisse une question en tête : Pourquoi les avoir installées ? J'ai personnellement fini la séance avec les larmes aux yeux en me souvenant de l'argent dépensé pour voir ce film. Résultat : 2 heures et 20 minutes de monumentale idiotie.
Cinéphiles 44
Cinéphiles 44

1 427 abonnés 4 285 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 mai 2018
Les fans de David Lynch et Alfred Hitchcock ne pourront pas rester insensibles devant le nouveau film de David Robert Mitchell. « Under the Silver Lake » est un polar qui suit un looser un peu geek dans une enquête pour découvrir ce qui est arrivé à sa belle voisine qui a disparu. Tentant tant bien que mal à avancer, il va se voir confronter à des énigmes et embuches en tout genre qui donneront l’occasion au cinéaste de multi-référencer son histoire aux classiques d’Hollywood. Entre citations, décors et musiques, le film est aussi une liste de pop culture pleine d’entrain. Malgré toute la capacité d’Andrew Garfield à nager dans cette fabrique de rêve, le film prend trop de directions pour vraiment tenir le cap. Pendant deux heures et vingt minutes, le cinéaste crée de nouveaux chemins dans son labyrinthe et ne semble plus savoir quand s’arrêter. Néanmoins la mise en scène reste fascinante et l’histoire offre de bons moments de satisfactions.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Cinemadourg
Cinemadourg

790 abonnés 1 558 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 11 août 2018
Sam habite la banlieue de Los Angeles.
Il ne travaille pas, n'a pas vraiment d'argent mais il est plutôt beau gosse et drague à peu près toutes les femmes autour de chez lui.
Un jour, une jeune blonde qu'il convoitait disparaît mystérieusement, c'est le début pour lui d'une enquête totalement folle et surréaliste.
Andrew Garfield ("The Amazing Spider-Man", "Tu ne tueras point") nous emporte dans un délire paranoïaque somme toute assez intéressant la première heure, mais qui part un peu dans tous les sens ensuite, perdant peu à peu tous les spectateurs présents dans la salle, dont moi-même.
Le film est long (2h19) et aborde des tas de thèmes plus ou moins compréhensibles, on en ressort avec un sentiment confus d'une oeuvre originale mais compliquée et plutôt indigeste.
Vraiment tordu.
--> Site CINEMADOURG <--
Evacaro.
Evacaro.

3 abonnés 36 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 22 août 2018
Je trouve que la BA ne donne pas vraiment une idée du film...
j'aime le fantastique ,les thrillers mais cet Ovni qui oscille entre les deux ...bofff
j'ai regardé ma montre à plusieurs reprises
Angelgirl83
Angelgirl83

13 abonnés 6 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 17 août 2018
Que dire de ce film... à part qu'il a rejoint mon top des plus mauvais films!
Le résumé donnait envie mais quelle déconvenue! Pas vraiment d'histoire, un enchaînement de scènes plus stupides les unes que les autres, un mauvais trip de réalisateur!
Le tout m'a semblé d'une longueur mais d'une longueur... C'est rare les films où on a vraiment l'impression de perdre son temps et d'être à deux doigts de se lever pour partir! A ce niveau-là, c'est une réussite !
Aucun intérêt, ne perdez pas deux heures de votre temps ou alors pour faire une bonne et longue sieste :)
Flaw 70
Flaw 70

265 abonnés 422 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 13 août 2018
Il est toujours dur pour un cinéaste de rebondir après un immense succès commercial et critique, surtout quand celui-ci intervient dans une carrière encore débutante. Même si It Follows n'était pas son premier film, il eu un tel impact que David Robert Mitchell fut un nom à suivre et sur qui reposait beaucoup d'espoir. Ce qui engendre des attentes pour la suite, et pour un cinéaste qui ne veut pas rester sur ces acquis cela peut impliquer de décevoir son audience lors de sa prochaine oeuvre. C'est ce qui est arrivé à Under the Silver Lake, lors de sa présentation à Cannes mais aussi à sa sortie en salles car il a bien divisé les critiques. Même si on y retrouve sa patte personnelle, Under the Silver Lake est un film drastiquement différent d'It Follows (et même de son premier film The Myth of the American Sleepover) qui prouve la densité dont le cinéma de Mitchell est capable tout en restant fidèle à ses origines. Un film qui déstabilise mais qui a été spécifiquement conçu dans le but de déstabiliser.

Under the Silver Lake est un film sur les cultes, et plus spécifiquement sur le culte de la pop culture, une croyance collective ici équivalent à une secte. Les croyances sont universelles et affaire de conviction et ne se résume pas qu'à l'adoration d'une forme divine mais à la quête d'un sens, d'un "sur-soi". Ouvrant souvent la porte à des secteurs spécifiques où ne sont tolérés que les adeptes de cette même croyance. Alors en quoi la pop culture est telle différente d'une religion confirmée, de la scientologie ou autre ? C'est la question audacieuse que veut parcourir Mitchell montrant la pop culture comme un milieu toxique qui dispose de ses adeptes, ses divinités et des ses prophètes. Engendrant l'adoration, sévissant dans des lieux souvent sélects en développant ses propres codes et langages au point d'impacter la vie de tout les jours, la pop culture est une croyance. La nouvelle religion du 21è siècle. Et comme toute religion, elle favorise l'aveuglement et la protection de ses saints comme à voir dans le monde dans lequel on vit où l'on a encore du mal à punir et dénoncer un producteur, acteur ou réalisateur même lorsqu'il fait preuve de violence conjugal, d'harcèlement sexuel ou même de viol. Car la religion est avant tout un business qui vend une chose à son croyant et qui engendre donc un profit. Et le business est roi, et on peut tout vendre à la croyance aveugle.

C'est ce qu'est Sam, le protagoniste, un individu s'y ancré dans sa croyance qu'il en devient déphasé perdant le sens des réalités et glissant doucement sur la pente du détraqué. Tellement fasciné par ses propres idoles qu'il en a oublié de se construire une vie, devenant ce qu'il déclare pourtant détesté le plus. Un fantôme hantant une ville à laquelle il n'appartient plus. Souvent creepy, voire à la limite de la sociopathie, il s'enferme dans une spirale de solitude à cause de ses obsessions au point qu'il en vient à blâmer le monde de sa propre déchéance. Pourtant Mitchell a la bonne idée de ne jamais le prendre de haut et de définir son mal sans jamais l'expliciter totalement, même si la raison de sa dérive se révèle prévisible et un brin trop classique. On l'a comprend subrepticement à travers son obsession des chiens et plus insidieusement, sa peur des femmes. Mitchell dresse d'ailleurs un intéressant parallèle avec la sexualisation de ses figures féminines, moyen déphasé de palier à une anxiété mais aussi fondement de l'ignorance résultant de l'habitude de vivre dans un univers superficiel. Ce qu'est au final la pop culture. Une industrie creuse qui exploite un filon, ayant compris le besoin de quête de sens, de se rebeller ou d'être compris par ses ouailles qui veulent juste trouver leurs appartenances.

De cette quête de sens reposera une grande partie de l'intrigue, de ce qui est finalement une satire bien élaboré. Et comme souvent, de sens il n'y en as pas car le but même d'une croyance n'est pas fondé sur la raison mais sur la foi. Une chose intangible et par principe irrationnelle. Le film va donc multiplier les pistes, ouvrir ici et là quelques réponses loufoques mais qui apportent au final plus de questions et va même apporter certains éléments dans le seul but de perdre le spectateur. Se rapprochant souvent d'un humour très noir, Under the Silver Lake s'impose finalement comme un jeu de couillon où le spectateur se retrouve dans le même piège que son protagoniste à vouloir démêler le vrai du faux. En ça, le film se trouve bien pensé même si Mitchell en profite trop souvent pour justifier sa narration cryptique et ses idées les plus opaques qu'il tombe dans un cynisme qui desserre son propos. Car il peut tout aussi bien tomber dans une intelligente réflexion de la fragilité des croyances dans un face à face brillamment exécuté que d'offrir des scènes un peu trop longues et inutiles dans le seul but d'épaissir un mystère qui mène sur du vide.

Mais néanmoins, David Robert Mitchell admet aussi être le dindon de la farce étant la victime aussi de ses propres idoles. Il les cite souvent à travers sa mise en scène à l'atmosphère très lynchienne et des fulgurances purement hitchckockien. Il ne se contente jamais pourtant de juste les copier et arrive à développer son propre langage dans la continuité de sa mise en scène très naturaliste déjà présente dans It Follows. Prenant son temps, il compose le plus intelligemment ses plans et y cache ses propres codes et offre par moments des accélérations assez dingue soit par des fulgurances horrifiques ou d'impressionnant éclats de violences. La réalisation s'avère superbe et ne se laisse jamais emprisonner par son faux rythme, laissant finalement peu de place aux longueurs malgré la longue durée du film (on en notera cependant une en fin de film qui s'éternise un peu lors de sa conclusion). Par contre, David Robert Mitchell est souvent un peu trop sur de ses effets, ce qui accentue ici son côté poseur et qui peut parfois agacer un peu. Par contre il peut compter sur un Andrew Garfield impérial et déjanté pour maintenir en haleine, l'acteur livrant ici un de ses plus hypnotiques performances dominant un casting en forme de figuration.

Under the Silver Lake est un film aussi étrange que fascinant. Clairement perfectible par sa volonté excessive d'être trop opaque ou la capacité un peu trop appuyé de David Robert Mitchell de se regarder filmer, mais aussi extrêmement intelligent et lucide sur le regard qu'il porte sur la pop culture. Religion inavouée et ici proche de la secte dans une satire ingénieuse qui brille par sa noirceur et sa loufoquerie latente et son protagoniste déstabilisant incarné par un Andrew Garfield au sommet. Under the Silver Lake est de ces films qui nous hantent bien après la projection, qui est loin d'être parfait mais développe un propos pertinent dans une forme souvent exemplaire et qui intronise David Robert Mitchell en cinéaste définitivement prometteur. Un très bon cru.
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 12 août 2018
Le film semble plus le travail d’un film d’études. Le scénario est très décousu, beaucoup de séquences sont gratuites et n’apportent globalement rien au film si ce n’est des longueurs et cette longueur renforce l’idée que certaines scènes de violence et de sexe sont gratuites, en tout cas elles auraient pu avoir du sens ou être drôle, mais là... non! Bref ce film est en devient trop long et se cherche du début à la fin...
anonyme
Un visiteur
0,5
Publiée le 27 août 2018
J'ai rarement été aussi déconcerter devant un film au cinéma. Under the silver lake est un ovni comme il y en a peu dans le monde du 7ème art. Tout avait été mit en place pour en faire une référence. Sauf que UTSL n'a aucun objectif, aucune raison d'exister, aucune logique scénaristique. Un film totalement sous acide, prétentieux et complètement hors de propos. On a l'impression d'assister à un prototype de film, il y a tellement de choses dans ce long métrage et tellement rien en même temps. Les acteurs sont convaincants mais ils n'ont aucune trame à suivre, Robert Mitchell a l'air d'avoir écrit le scénario au jour le jour.
J'ai du mal à comprendre l'engouement de certains sur ce film, il est catastrophique. Sous prétexte d'une certaine vision du cinéma propre au festival de Cannes, UTSL s'autorise n'importe quoi, des séquences ridicules qui s’enchaînent. Pourtant un message est passé dans le film sur le monde des célébrités, un monde où la richesse et le sexe se conjuguent dans une déshumanisation et une déconnexion totale. Au lieu de tirer à boulets rouges sur ce point là, Robert Mitchell se perd dans une successions de scènes ridicules si ce n'est aberrante. UTSL n'est pas un film, c'est un essai cinématographique pompeux, prétentieux et sans intérêt. Rapidement oubliable.
Pourtant "It Follows" était merveilleux et portait un regard glaçant sur une jeunesse désœuvrer et livrer à elle-même.
Son dernier film est un échec total et se loupe totalement. Les mots ont du mal car ce film est ultra déroutant. Un "Mullohand Drive" du pauvre en quelque sorte.
Claude C.
Claude C.

5 abonnés 20 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 13 août 2018
Entre des scènes bêtement prosaïques et d'autres d'un esthétisme onirique un rien surfait, avec une intrigue épaisse comme un fil à coudre, qu'estce qu'on s'ennuie!
Ve R
Ve R

114 abonnés 7 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 27 août 2018
Incroyablement nul , stupide et ennuyeux. Un véritable calvaire. La musique et le cadrage sont les seules choses auxquelles on peut se raccrocher. Ça sent l'"oeuvre" de jeunesse !
Patrick M
Patrick M

4 abonnés 178 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 16 août 2018
une histoire abracadabrante qui change de thème au cour du film. on passe d'une meurtrière la chouette qui disparait dans les derniers molents on ne sait poyrquoi, des chiens tués on ne saura jamais pourquoi et pour finir des babas cools influencés par les égyptiens, et pleins de nanas devetues qui doivent être essentielles à l'histoire (?) . On reste scotché ....
Alice L
Alice L

172 abonnés 206 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 8 août 2018
David Robert Mitchell rentre dans la cour des grands cinéastes avec ce film passionnant, surprenant et labyrinthique.
La mise en scène est absolument brillante et Andrew Garfield tient là son meilleur rôle!!
Un film à la fois drôle, dense et pop!!
Je n'ai qu'une envie: le revoir !!
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