Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Le film le plus jouissif de l'été.
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Film mental, maîtrisé de bout en bout, ce cauchemar éveillé, traversé par des moments de grâce suspendus, confirme le talent de son jeune auteur, qui livre une radioscopie de Los Angeles vertigineuse.
Mad Movies
par Cédric Delelée
[...] David Robert Mitchell frappe en plein coeur avec un néo-noir hollywoodien tellement bardé de références cinéphiliques qu'il en donne le vertige, mais qui s'impose pourtant comme une oeuvre singulière à la beauté spectrale aveuglante.
Voici
par Daniel Blois
Tortueux et étrange, porté par une mise en image remarquable, le film explore frontalement les peurs et les délires d'une génération Y biberonnée à la pop culture.
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de « It Follows », David Robert Mitchell, plonge son héros dans un Hollywood étrange et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par François-Xavier Taboni
Par sa fausse nonchalance, son refus d’une narration immédiatement compréhensible et par son jeu sur les codes et les signes, "Under the Silver Lake" renvoie immédiatement aux adaptations de Raymond Chandler signées Howard Hawks et Robert Altman, "Le Grand Sommeil" et "Le Privé". David Robert Mitchell associe en effet la complexité scénaristique du film de Hawks à l’amertume de celui d’Altman pour créer la déambulation de Sam dans un Los Angeles énigmatique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"Under The Silver Lake" se présente comme un néo film noir hybridant Raymond Chandler et Thomas Pynchon. Les plans citent Hitchcock, la musique un âge d’or des 50’s et 60’s, les références affluent dans le cadre. Et pourtant, le film garde sa singularité…
Critikat.com
par Olivia Cooper Hadjian
Un jeu de pistes à travers une Los Angeles riche en fêtes extravagantes, coïncidences et comportements troublants.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Imparfait, inabouti mais fascinant, "Under the Silver Lake" est un conte morbide et désenchanté sur un monde qui ne sait plus rêver et exister. Une réflexion passionnante sur la pop-culture qui façonne des générations de désillusionnés, et une nouvelle preuve après "It Follows" que David Robert Mitchell est un cinéaste pas comme les autres.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Entre "Inherent Vice", "Fenêtre sur cour" et un épisode de "Scooby-Doo", "Under the Silver Lake", en compétition lors du dernier Festival de Cannes, est une comédie acide et mélancolique parmi les fantômes et les fantasmes liés à la ville du cinéma, de Charles Manson, Marilyn et Harvey Weinstein.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
En compétition au dernier Festival de Cannes, ce troisième long-métrage de David Robert Mitchell ausculte les entrailles, les mystères et la singularité de Los Angeles. Remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par François-Xavier Taboni
Déconcertant et fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Under the Silver Lake", c’est la version canular du polar halluciné californien ; pas vraiment une parodie moqueuse mais plutôt comme une sorte d’évolution naturelle vers l’inepte et la bouffonnerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
[...] David Robert Mitchell s’écarte ainsi des chemins qui ne mènent nulle part chers à Lynch ou Burroughs pour tracer sa propre route vers un ailleurs plus dur et réaliste, moins théorique, terriblement contemporain - celui de l’apocalypse à combustion lente qu’est le monde en 2018.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
"Under the Silver Lake", lettre d’amour et de mort aux fantômes de la cité du cinéma, est l’un des films américains les plus ambitieux et passionnants de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Eithne O'Neill
Devant cette parade rythmée, on sympathise, on rit.
Première
par Frederic Foubert
Encore un L.A. Noir ? Non, mieux que ça : le dernier des L.A. Noir. David Robert Mitchell entend enterrer le genre dans un film-mausolée enivrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Nathalie Dassa
"Under the Silver Lake" s’avère un bel hommage personnel de David Robert Mitchell à l’histoire de la Cité des anges, "bâtie sur des rêves et des images animées".
Télérama
par Louis Guichard
Les fans de Mulholland Drive ne pourront rester insensibles à la démarche de David Robert Mitchell : actualiser l’exploration lynchienne de Los Angeles, dix-sept ans après, mais sans se prendre pour le maître, et donc avec une bonne dose d’autodérision.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Ce jeu de pistes audacieux, sélectionné en compétition à Cannes, a tout pour s’imposer comme un objet culte grâce à son imagerie qui s’approprie de nombreuses références à la pop culture. Un discours aux portes de la démence qui risque en déconcerter plus d’un, mais qui lui va à ravir.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Dans une maîtrise formelle parfois ostentatoire, David Robert Mitchell finit par devenir poseur. La durée de son film (2h19) atteint même la provocation, mais tout cela fait partie du jeu. Tout comme cela peut aller aussi au détriment du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Céline Rouden
Une plongée brillante dans la psyché de Hollywood qui souffre d’un trop-plein de références.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film foisonnant, qui brille par sa singularité, son inventivité et son ambition folle, s’inspire de David Lynch avec sa narration elliptique et sa construction façon puzzle qui flirtent avec le surréalisme [...].
Le Monde
par Jean-François Rauger
Ce thriller métaphorique emprunte au film noir une rhétorique qu’il retourne de façon pince-sans-rire, mélangeant à plaisir les genres et les sensations. L’intérêt réside dans cette manière inventive de décrire un univers dont l’irréalité serait constitutive de sa réalité même.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le revers de toute cette ambiguïté servie en guise de molle fascination est que le sentiment d’écœurement et le souvenir de quelques grosses ficelles l’emportent au réveil sur tout sentiment d’être habité par quelque trace vibrante, laissée à notre intime compréhension.
Elle
Le film le plus jouissif de l'été.
La Septième Obsession
Film mental, maîtrisé de bout en bout, ce cauchemar éveillé, traversé par des moments de grâce suspendus, confirme le talent de son jeune auteur, qui livre une radioscopie de Los Angeles vertigineuse.
Mad Movies
[...] David Robert Mitchell frappe en plein coeur avec un néo-noir hollywoodien tellement bardé de références cinéphiliques qu'il en donne le vertige, mais qui s'impose pourtant comme une oeuvre singulière à la beauté spectrale aveuglante.
Voici
Tortueux et étrange, porté par une mise en image remarquable, le film explore frontalement les peurs et les délires d'une génération Y biberonnée à la pop culture.
20 Minutes
Le réalisateur de « It Follows », David Robert Mitchell, plonge son héros dans un Hollywood étrange et fascinant.
Bande à part
Par sa fausse nonchalance, son refus d’une narration immédiatement compréhensible et par son jeu sur les codes et les signes, "Under the Silver Lake" renvoie immédiatement aux adaptations de Raymond Chandler signées Howard Hawks et Robert Altman, "Le Grand Sommeil" et "Le Privé". David Robert Mitchell associe en effet la complexité scénaristique du film de Hawks à l’amertume de celui d’Altman pour créer la déambulation de Sam dans un Los Angeles énigmatique.
CinemaTeaser
"Under The Silver Lake" se présente comme un néo film noir hybridant Raymond Chandler et Thomas Pynchon. Les plans citent Hitchcock, la musique un âge d’or des 50’s et 60’s, les références affluent dans le cadre. Et pourtant, le film garde sa singularité…
Critikat.com
Un jeu de pistes à travers une Los Angeles riche en fêtes extravagantes, coïncidences et comportements troublants.
Ecran Large
Imparfait, inabouti mais fascinant, "Under the Silver Lake" est un conte morbide et désenchanté sur un monde qui ne sait plus rêver et exister. Une réflexion passionnante sur la pop-culture qui façonne des générations de désillusionnés, et une nouvelle preuve après "It Follows" que David Robert Mitchell est un cinéaste pas comme les autres.
L'Obs
Entre "Inherent Vice", "Fenêtre sur cour" et un épisode de "Scooby-Doo", "Under the Silver Lake", en compétition lors du dernier Festival de Cannes, est une comédie acide et mélancolique parmi les fantômes et les fantasmes liés à la ville du cinéma, de Charles Manson, Marilyn et Harvey Weinstein.
Le Figaro
En compétition au dernier Festival de Cannes, ce troisième long-métrage de David Robert Mitchell ausculte les entrailles, les mystères et la singularité de Los Angeles. Remarquable.
Le Point
Déconcertant et fascinant.
Les Inrockuptibles
"Under the Silver Lake", c’est la version canular du polar halluciné californien ; pas vraiment une parodie moqueuse mais plutôt comme une sorte d’évolution naturelle vers l’inepte et la bouffonnerie.
Libération
[...] David Robert Mitchell s’écarte ainsi des chemins qui ne mènent nulle part chers à Lynch ou Burroughs pour tracer sa propre route vers un ailleurs plus dur et réaliste, moins théorique, terriblement contemporain - celui de l’apocalypse à combustion lente qu’est le monde en 2018.
Paris Match
"Under the Silver Lake", lettre d’amour et de mort aux fantômes de la cité du cinéma, est l’un des films américains les plus ambitieux et passionnants de l’année.
Positif
Devant cette parade rythmée, on sympathise, on rit.
Première
Encore un L.A. Noir ? Non, mieux que ça : le dernier des L.A. Noir. David Robert Mitchell entend enterrer le genre dans un film-mausolée enivrant.
Transfuge
"Under the Silver Lake" s’avère un bel hommage personnel de David Robert Mitchell à l’histoire de la Cité des anges, "bâtie sur des rêves et des images animées".
Télérama
Les fans de Mulholland Drive ne pourront rester insensibles à la démarche de David Robert Mitchell : actualiser l’exploration lynchienne de Los Angeles, dix-sept ans après, mais sans se prendre pour le maître, et donc avec une bonne dose d’autodérision.
aVoir-aLire.com
Ce jeu de pistes audacieux, sélectionné en compétition à Cannes, a tout pour s’imposer comme un objet culte grâce à son imagerie qui s’approprie de nombreuses références à la pop culture. Un discours aux portes de la démence qui risque en déconcerter plus d’un, mais qui lui va à ravir.
Franceinfo Culture
Dans une maîtrise formelle parfois ostentatoire, David Robert Mitchell finit par devenir poseur. La durée de son film (2h19) atteint même la provocation, mais tout cela fait partie du jeu. Tout comme cela peut aller aussi au détriment du spectateur.
La Croix
Une plongée brillante dans la psyché de Hollywood qui souffre d’un trop-plein de références.
Le Journal du Dimanche
Ce film foisonnant, qui brille par sa singularité, son inventivité et son ambition folle, s’inspire de David Lynch avec sa narration elliptique et sa construction façon puzzle qui flirtent avec le surréalisme [...].
Le Monde
Ce thriller métaphorique emprunte au film noir une rhétorique qu’il retourne de façon pince-sans-rire, mélangeant à plaisir les genres et les sensations. L’intérêt réside dans cette manière inventive de décrire un univers dont l’irréalité serait constitutive de sa réalité même.
Cahiers du Cinéma
Le revers de toute cette ambiguïté servie en guise de molle fascination est que le sentiment d’écœurement et le souvenir de quelques grosses ficelles l’emportent au réveil sur tout sentiment d’être habité par quelque trace vibrante, laissée à notre intime compréhension.