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Chevtchenko2
43 abonnés
1 233 critiques
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3,0
Publiée le 1 novembre 2017
Un film choral de bonne facture qui enchaîne les sketchs plus ou moins drôles. Au final, on passe un agréable moment avec cette charmante bande de bras cassés. Divertissant mais un peu mécanique tout de même.
Beaucoup de bruit pour finalement pas grand chose. La comédie du désormais célèbre duo Nakache/ Toledano a beau posséder une belle distribution, son rythme, son humour et une partie de ses personnages ne lui permettent pas de dépasser le niveau moyen-plus de la comédie grand public.
On s'agite beaucoup dans ce film tant du côté des organisateurs de la fête que de celui des convives dans un huis-clos élargi puisqu'il s'agit d'un château et de son parc.Jean-Pierre Bacri est excellent dans ce rôle de chef d'orchestre de ce mariage.On s'amuse aussi un peu avec eux...mais la lassitude gagne parfois faute de gags visuels et à cause de certaines répétitions: on résout un problème....il en vient un autre, et ainsi de suite!
film sympathique, bien interprété, il y a des moments superbes ,tendres, drôles,déjantés,romantiques.malgré tout il y a des moments sans intérêts qui auraient pu entre coupé. cela reste un film sur le huis clos original souvent savoureux et plein de surprises. c'est a voir un samedi soir avec des potes.
Evidemment, il y a quelques facilités avec un scénario parfois un peu tiré par les cheveux et des personnages stéréotypés, mais il n’empêche que Toledano et Nakache ont un vrai talent pour écrire et mettre en scène des films hyper bien rythmés, qui mélangent rire et émotion et portés par des acteurs en pleine forme. C’est encore le cas avec ce Sens de la fête qui, sans être exceptionnel, est un long métrage suffisamment plaisant pour être considéré comme réussi.
Film sympa surfant sur le succès précédent de Bacri filmé par Nakache (en temps réel, une fête). On passe un bon moment, même si le fond reste amer et de gauche. On note une réalisation vraiment élégante et inspirée de Agnès Jaoui. Interprétation au cordeau de Léa Drucker.
Un casting exceptionnel avec JP Rouve, Lellouche et Bacri dans des rôles qu’on connaît déjà mais aussi et surtout des seconds rôles savoureux. La première partie du film est top avec beaucoup d’humour et de rythme. Malheureusement le film est un peu longuet sur la fin. On reste sur une note plus mitigée. Dans l’ensemble ça reste un très bon film.
Film sans grande originalité, je n'ai pas ris aux éclats... Mais il reste sympa pour ce détendre et les acteurs font bien leurs boulots contrairement à leurs personnages... AHAH
Un film original sur un mariage, mais du côté des organisateurs cette fois et des difficultés qu'ils peuvent rencontrer (et là, on peut dire qu'ils sont vernis). Jean-Pierre Bacri porte le film à lui tout seul, dans un rôle assez semblable à ce qu'il a déjà fait mais force est de reconnaitre qu'il excelle dans ce genre de personnage aigri. Les seconds rôles sont également assez convaincants, Jean-Paul Rouve, Gilles Lellouche et le futur marié (Benjamin Lavernhe) en tête, même s'ils sont forcément de grosses caricatures. Le tout forme une comédie assez réussie, avec quelques passages plutôt émouvants ou touchants sur la fin. Malgré cela, il y a quand même quelques raccourcis, des passages très prévisibles (spoiler: l'évolution de la relation entre Lellouche et Eye Haidara ) et des moments beaucoup plus plats. Une comédie française assez sympathique donc.
La confédération patronale des PME de l’hôtellerie-restauration aurait pu passer commande de ce film qui fait incarner par l’excellent Jean-Pierre Bacri un entrepreneur-modèle harcelé par l’URSAF et entouré de collaborateurs nuls. Chacun appréciera selon son point de vue mais il faut convenir que le message est bien emballé. Bacri joue très bien un Bacri servi par une brigade de visages moins illustres et néanmoins talentueux et sympathiques. Il en résulte une franche rigolade que l’on aurait tord de bouder. En prime, le film offre un aperçu instructif sur le monde de l’organisation des réceptions haut de gamme : ici un mariage dans un château qui ressemble à Moulinsart. C’est l’occasion de camper des personnages hauts en couleurs : outre le big boss (Bacri himself), le maître d’hôtel dégonflé devant le patron, « la » bras droit du boss chargée d’illustrer à elle seule la promotion des jeunes, des femmes et de la diversité, le prof de français déclassé, le photographe miteux, des Tamouls qui se marrent de la bizarrerie des mœurs françaises et beaucoup d’autres, tous aussi bons. Ces seconds rôles ont une véritable épaisseur. Merci pour le rire, donc ; quant à la vision paternaliste des relations de travail, elle est bien dans l’air du temps.
Bacri en majordome, ou plutôt en organisateur d’événements… Ca s’annonce plutôt bien. En l’occurrence de mariage… Tous les ingrédients sont là. Et ça ne prend pas très bien. En disant cela, on parle sans doute plus de soi que du film, c’est un peu le problème de ce genre de critiques... Et pourquoi le trait semble-t-il ou non forcé ? Tout de même, était-il besoin de faire du jeune marié un insupportable vaniteux ? Du discours un pavé d’au moins 300 pages ? Du chanteur une insupportable nullité ? Au fond, ce qui manque dans la description de ce milieu, c’est la tendresse, qui est le secret des meilleures comédies. Et pourtant il y a bien de la tendresse dans ce film, mais pour le personnel de l’entreprise de Bacri, et Bacri lui-même. Alors pourquoi des critiques aussi différentes sur ce film ? N’est-ce pas avant tout une question de point de vue, d’empathie ? Ne pas aimer le film, n’est-ce pas se ranger du côté des nantis contre les ouvriers ? Je me demande si la question ne dépasse pas ce film léger qu’on aurait aimé trouver plus long en bouche, même si le finale apporte le changement de pied qui est le signe des grandes comédies, ce qui n'est déjà une réussite !