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CLAIRE M.
22 abonnés
85 critiques
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2,5
Publiée le 16 octobre 2017
C'est un film qui passe le temps, ce n'est pas un chef d'oeuvre. Je l'ai trouvé banal, je n'ai rit aux éclats j'ai souris. Mais j'en ressors sans sentiment particulier. J'ai passé 2 heures avec les personnages que j'aurai pu croiser dans ma vie de tous les jours. Un bon moment de passé mais sans plus...
Il y a tromperie sur la marchandise ! Les promos passées à la TV laissaient attendre à une joyeuse comédie... Il n 'en est rien. On ne ris pas, au mieux on souri parfois. Quelle déception.
Le mariage est un décor de cinéma passionnant. Qui a oublié celui du Parrain? Pas grand monde… Dès les premières secondes, Éric Toledano et Olivier Nakache affichent leur ambition de parler de la société française et montrent leur amour pour la comédie.
Devant la présentation habile des personnages, une chose saute aux yeux: le casting est convenu. Jean-Pierre Bacri est bon mais reste une fois de plus dans sa zone de confort. Les infatigables Gilles Lellouche en macho frimeur, Jean-Paul Rouve en pique-assiette ringard et Vincent Macaigne en amoureux dépressif jouent leurs rôles habituels. On a l’impression désagréable d’assister à un best of du cinéma français. Malgré des observations justes sur le monde du travail, le film s’enlise dans un comique de situation et verbal répétitif. La réalisation sobre n’arrive pas à sublimer une écriture trop classique. Les tensions au sein de la petite entreprise de Bacri deviennent lassantes à la longue et on aurait aimé que les invités soit plus présents. Ils sont relégués au rang de figurants silencieux, tout cela donne un côté artificiel à la cérémonie. Seule la mère du marié (Hélène Vincent) se voit proposer quelques séquences brèves.
Si le tempo rapide n’est jamais pris à défaut, le récit révèle peu de surprises… Il faut attendre longtemps avant d’avoir une scène hilarante: un numéro de burlesque aérien avec le marié insupportable (Benjamin Lavernhe, une découverte) que n’aurait pas renié Pierre Richard ou Peter Sellers. Malheureusement la tendance de Toledano et Nakache à recourir aux bons sentiments à contre-courant de l’histoire reprend le dessus. Leur gentillesse pathologique empêche Le Sens de la Fête d’atteindre une conclusion forte.
Toledano et Nakache devaient vraiment se faire pardonner. Leur dernier film "Samba" était un véritable naufrage cinématographique. Un ratage de tous les instants. Qui en plus de ça, se payait bien comme il faut la tête des spectateurs. Bon, avec ce "Sens de la fête", le niveau est quand même relevé. Il faut dire que la mission n'était pas ardue. Mais, il n'y a pas de quoi grimper aux rideaux non plus. On est d'accord pour dire que le film n'ennuie jamais, ce qui est d'ailleurs un bon point et ce qui le sauve en partie, mais rien de ce qui n'est proposé ne le distingue de la masse. On suit tout ça sans ennui donc, mais aussi sans passion. Jean-Pierre Bacri fait du Jean-Pierre Bacri, mais en moins bien que d'habitude. L'acteur semblant laisser échapper une lassitude de se voir toujours proposer le rôle du bougon de service. Finalement, ils ne sont que trois à être en vue: Gilles Lellouche, oui oui, Alban Ivanov "terrifiant" de maladresse et surtout Jean-Paul Rouve, réellement excellent en photographe décalé et quelque peu parasite. Film juste sympathique. Pas plus, pas moins.
Film plutôt du genre normal donc pour le coup je comprends pas trop les notes excellentes qu il a reçu ??? j'ai pas non plus envie de le couler, puisque Jean-Pierre Bacri fait du Bacri et donc finalement les gens sont aller voir un gars raller pendant tout le film lol!!!... Comme quoi les goûts et les couleurs...
Ce film nous vend du rêve: bande annonce qui met l’eau à la bouche, des réalisateurs qui nous on déjà comblé les papilles avec “Intouchable”... on s’attend donc à du très lourd... Ce film, je l’ai apprécié tel un magnifique soufflé qu’on me servirais et qui se dégonflerai au premier coup de fourchette ... On tente de monter une histoire avec une brochette de personnages qui sont des caricatures de caricatures... et des caricatures vraiment trop poussées, mais malgré cela on essaye d’y croire car on a envie de s’amuser et de rigoler... c’est une comédie après tout... Mais j’ai ris un peu... au début... Pour moi le naufrage commence vraiment lors du (très) long monologue du marié au mariage... et étrangement l’effet de son discours au mariage à le même effet sur le film... soporifique, l’ambiance redescend, on perd du temps, les gens sont fatigués et plus du tout diverti... et du coup on loupe le plein feu et l’ambiance du mariage... Après on tente de finir en beauté avec une fin improvisée sans électricité (fin qu’on sentait venir depuis la présentation des personnages musiciens) ceux qui se détestaient s’embrassent, les problèmes sont résolus, tout le monde est content sauf le spectateur qui quand la salle se rallume se dit “Mais quel est l’interêt de se film?” Je n’ai pas encore trouvé la réponse et pour l’instant j’ai été très divertit par la bande annonce et j’aurais du en rester là...
Le mariage est un décor de cinéma passionnant. Qui a oublié celui du Parrain? Pas grand monde… Dès les premières secondes, Éric Toledano et Olivier Nakache affichent leur ambition de parler de la société française et montrent leur amour pour la comédie.
Devant la présentation habile des personnages, une chose saute aux yeux: le casting est convenu. Jean-Pierre Bacri est très bon mais reste une fois de plus dans sa zone de confort. Les infatigables Gilles Lellouche en macho frimeur, Jean-Paul Rouve en pique-assiette ringard et Vincent Macaigne en amoureux dépressif jouent leurs rôles habituels. On a l’impression désagréable d’assister à un best of du cinéma français. Malgré des observations justes sur le monde du travail, Le Sens de la Fête s’enlise vite dans un comique de situation et un comique verbal répétitifs et limités. La réalisation sobre n’arrive pas à sublimer une écriture classique. Les tensions au sein de la petite entreprise de Bacri deviennent lassantes à la longue et on aurait aimé que les invités soit plus présents. Ils sont relégués au rang de figurants silencieux, tout cela donne un côté artificiel à la cérémonie. Seule la mère du marié (Hélène Vincent) se voit proposer quelques séquences brèves.
Si le tempo rapide n’est jamais pris à défaut, le récit révèle peu de surprises… Il faut attendre longtemps avant d’avoir une scène hilarante: un numéro de burlesque aérien avec le marié insupportable (Benjamin Lavernhe, une découverte) que n’aurait pas renié Pierre Richard ou Peter Sellers. Malheureusement la tendance de Toledano et Nakache à recourir aux bons sentiments à contre-courant de l’histoire reprend le dessus. Leur gentillesse pathologique empêche Le Sens de la Fête d’atteindre une conclusion forte.
Rarement bande-annonce de "Comédie à la française à budget confortable" n'aura suscité autant d'espoir, la présence de Jean-Pierre Bacri en premier rôle garantissant un minimum de qualité et les extraits choisis laissant miroiter une écriture exigeante. Mais force est de reconnaître qu'encore une fois l'espoir sera déçu car, même si Bacri fait le job comme d'habitude, son rôle de patron au bord de la crise de nerfs le laisse spectateur de situations plus ou moins probables prétextes à gags plus ou moins réussis dont il n'est pas la cause et sur lesquelles il ne peut rien, situations improbables et gags dont l'empilement provoque à la longue une indigestion que le finale oecuménique n'arrive pas à dissiper.
Gentillet est le terme qui me vient..... je m’attendais à mieux, vu le 4 étoiles de allo ciné..... mais franchement on sourit beaucoup, et si on aime les acteurs .... on passe un moment agréable, sans plus.
Malgré une certaine sympathie qui ressort du film et un bon jeu des comédiens, le film est à l'image de sa BO : cacophonique et trop en force. Le scénario est presque inexistant, les réalisateurs rongent leur os jusqu'au bout tant sur les runnings gags, que sur les clichés en tout genre, spécialement sur la bourgeoisie et la banlieue. Bacri, même s'il le fait bien , fait du pure Bacri ( la scène au téléphone à la fin paraît directement tirée d'Un air de famille) alors qu'il nous avait joliment étonné en se démarquant de son emploi dans ses dernières collaborations. Ça crie, ça se dispute pendant deux heures, ça s'agite dans tous les sens; vous rajoutez à cela des morceaux de Jazz ultra cacophoniques ( oui on a bien compris la métaphore musicale messieurs les réalisateurs) et bien trop fort, et vous n'avez qu'une hâte, c'est de sortir de la salle pour pousser un grand OUF de soulagement. Une fois dehors on se demandera alors si les réalisateurs ont le même " sens de la fête " que les spectateurs, à qui ils esquisseront tout au mieux quelques rires.
pourquoi appeler ça une comédie ? normalement une comédie fait rire du début à la fin là on ne rit que dans le dernier quart d'heure Suis déçu film long
L'humour naturel des films de Tolédano et Nakache n'est pas au RV, Ils nous proposent un film sans scénario, ......un humour forcé et répétitif. Le sentiment que les réalisateurs cherchent à tout prix le succès transpire......On ne leur en veut pas....on attend le prochain !
Deux heures c'est long ! On m'avait conseillé le film, genre " Mort de rire. Je l'ai vu 2 fois. etc.. " Flip Flop. Le sourire parfois, le rire jamais. Beaucoup lu dans les critiques: " Bacri super, égal à lui-même " soit, mais c'est bien là le problème. Et les diatribes du patron-Bacri devant son personnel qui s'en prend plein la tronche sans moufter ,et rebelote devant le faux inspecteur du travail, on croirait un discours du medef ! à voir devant sa TV le dimanche soir.
Nakache et Toledano signent une comédie paresseuse, sans originalité, et, plus embêtant, pas très drôle. L'humour est poussif (les quelques vannes de la bande annonce concentrent quasi l'intégralité du film!) et le rythme l'est tout autant. Cependant on ne s'ennuie pas, le casting est agréable et quelques moments sauvent le film du naufrage, mais on a l'impression de se retrouver devant un téléfilm un peu classe de TF1.