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Votre avis sur Le Sens de la fête ?
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On connaît bien les dérives du cinéma de Nakache et Toledano, cette gentillesse frôlant la niaiserie, cet idéalisme vis à vis d'une société métissée où le savoir vivre ensemble triompherait des préjugés : leur "Sens de la Fête" n'y échappe malheureusement pas, en particulier du fait d'un happy end inutile, alors que nous aurions voulu voir un cataclysme terminal s'abattre sur cette noce franchement mal embarquée (option Blake Edwards) ou au moins une plongée asphyxiante dans la noirceur qui rôde sans cesse au bord du cadre (option Altman des débuts). Tant pis ! Alors, au moins tressons des lauriers à cette comédie intelligente et parfois vraiment drôle : derrière la facilité de rôles taillés sur mesure pour des acteurs qui restent dans leur registre habituel (Bacri, Macaigne, Lellouche, Rouve, tous excellents, tous un peu convenus), Nakache et Toledo nous parlent, et plutôt bien, d'un sujet central à notre crise sociétale actuelle, et pourtant quasi invisible au cinéma : le travail (ses valeurs, ses conflits, ses paradoxes) et l'entreprise (ses valeurs, etc.). "Le Sens de la Fête" n'est pas une nième histoire de mariage - d'ailleurs les "noceurs" n'ont quasiment pas droit à l'image, hormis le marié détestable et hilarant, et sa mère archétypale - mais un film sur le "management" (vilain mot, non ?), le professionnalisme, les compétences (ou leur absence), les rapports entre collègues, et le dévouement (le fameux "sens de la fête"). Et aussi sur la difficulté d'être patron de PME en France, concomittante au plaisir de faire un métier qu'on aime. Macronistes, Toledano et Nakache ? N'allons pas jusque là, mais en tout cas ils nous parlent de la réalité de la France... avant de se laisser aller à leur habituel optimisme, bien sûr. Mais même cet optimisme est ici teinté d'une note dépressive, d'une amertume nouvelle face aux mensonges et aux illusions dont nous nous nourrissons tous. Et qui nous sont sans doute nécessaires pour pouvoir avancer. Comme ce fameux "recul" du mensonge final de Bacri. Oui, "le Sens de la Fête" est une vraie surprise, car c'est un beau film pertinent.
Alice025
Une jolie petite comédie dramatique où nous découvrons les coulisses de l'organisation d'un grand mariage. On suit donc le déroulement de la journée en passant par tous les personnages : le photographe (Jean Paul Rouve) ringard, l'animateur (Gilles Lelouche) à la ramasse, le serveur (Alban Ivanov) totalement naïf, le patron (Jean-Pierre Bacri) qui se veut autoritaire mais qui est très attaché à son équipe... Chacun à sa personnalité propre et ce mélange de tous ces caractères dans une journée et soirée où rien ne se passe comme prévu nous amène à des mises en situation assez sympathiques. Alors oui on rit, mais cela reste assez gentillet. C'est tout simplement une petite touche de vie et de bonne humeur que ce film nous transmet là.
cinephile-critique.over-blog.com
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Bacri le Magnifique.
Il capte le regard, envoute la caméra, nous amuse, nous touche. Le pouvoir de séduction de Jean-Pierre Bacri est au sommet. Le meilleur film de Olivier Nakache et Eric Toledano, Très loin devant « Les Intouchables »
La réalisation est fluide et rythmée, les dialogues sont au cordeau, les acteurs sont en état de grâce. Du bon cinéma, de celui qui nous emporte pendant deux heures et dont on redoute le mot « Fin ».
Bacri est Max, le Big Boss d’une entreprise d’organisation de mariages, le chef d’orchestre d’une équipe de bras cassés. Chaque rôle est un portrait touchant et diablement humain. Les comédiens suivent Max comme sous hypnose.
Jean-Paul Rouve est tordant en photographe et pique-assiette, Gilles Lellouche est parfait en DJ ringard au grand coeur , la petite Eye Haidara est épatante, dirigeant l’équipe d’un bras de fer en parlant comme un charretier et Vincent Macaigne est délirant en ancien prof dépressif. De plus, la participation de William Lebghil est encore étonnante et le beau Kévin Azaïs risque encore de nous surprendre (magnifique ! dans « Compte tes blessures« ).
Le duo Nakache-Toledano. dirige tout ce petit monde avec respect et tendresse mais aussi le sens de la fête et de la dérision.
On navigue , toute une journée, dans la préparation de cette union improbable entre une mariée charmante et un mari prétentieux et imbu de lui-même. On s’amuse de toutes les situations et on craint le pire entre les couloirs, la salle des fêtes et les cuisines du Château.
On suit Max, de pièce en pièce et l’on va de surprise en surprise. Max est redoutable, vif, instinctif mais aussi tendre, attachant et perdu. C’est un brave patron ronchon et généreux. Une journée particulière qui va se terminer au petit matin sur une note d’optimisme qui nous laisse partir joyeux.
La BO d’Avishai Cohen est la cerise sur le gâteau. Bravo et merci pour ce moment de délicieuse comédie.
Il capte le regard, envoute la caméra, nous amuse, nous touche. Le pouvoir de séduction de Jean-Pierre Bacri est au sommet. Le meilleur film de Olivier Nakache et Eric Toledano, Très loin devant « Les Intouchables »
La réalisation est fluide et rythmée, les dialogues sont au cordeau, les acteurs sont en état de grâce. Du bon cinéma, de celui qui nous emporte pendant deux heures et dont on redoute le mot « Fin ».
Bacri est Max, le Big Boss d’une entreprise d’organisation de mariages, le chef d’orchestre d’une équipe de bras cassés. Chaque rôle est un portrait touchant et diablement humain. Les comédiens suivent Max comme sous hypnose.
Jean-Paul Rouve est tordant en photographe et pique-assiette, Gilles Lellouche est parfait en DJ ringard au grand coeur , la petite Eye Haidara est épatante, dirigeant l’équipe d’un bras de fer en parlant comme un charretier et Vincent Macaigne est délirant en ancien prof dépressif. De plus, la participation de William Lebghil est encore étonnante et le beau Kévin Azaïs risque encore de nous surprendre (magnifique ! dans « Compte tes blessures« ).
Le duo Nakache-Toledano. dirige tout ce petit monde avec respect et tendresse mais aussi le sens de la fête et de la dérision.
On navigue , toute une journée, dans la préparation de cette union improbable entre une mariée charmante et un mari prétentieux et imbu de lui-même. On s’amuse de toutes les situations et on craint le pire entre les couloirs, la salle des fêtes et les cuisines du Château.
On suit Max, de pièce en pièce et l’on va de surprise en surprise. Max est redoutable, vif, instinctif mais aussi tendre, attachant et perdu. C’est un brave patron ronchon et généreux. Une journée particulière qui va se terminer au petit matin sur une note d’optimisme qui nous laisse partir joyeux.
La BO d’Avishai Cohen est la cerise sur le gâteau. Bravo et merci pour ce moment de délicieuse comédie.
Je suis allée voir ce film en traînant un peu des pieds, pas très convaincue du résumé, des acteurs à l'affiche et des quelques extraits. Pendant les 10 premières minutes du film, je n'arrêtais pas de me demander qu'est-ce que j'étais venue faire là. Peu à peu, je me suis laissée captivée par les personnages, le déroulé du scénario. Au final, je pars sur une très bonne impression. Le sens de la fête est original en ce sens que partant d'un scénario pas très original ou passionnant (organisation d'un mariage sur une journée) Nakache et Toledano parviennent à captiver l'attention du spectateur grâce à ses nombreux personnages qui chacun sont bien exploités, l'enchaînement des scènes, les gags . La scène du marié qui s'envole est très drôle et touchante.
Je m'attendais à plus drôle. Certes, les personnages sont bien campés. Bacri nous donne une belle leçon de management opérationnel. Un bacri qui fait du bacri. Le marié est genialement odieux et les Pakhis bien sympathiques. On passe un bon moment. Hélène Vincent est extra.
Alain D.
Cette comédie, écrite et réalisée par Olivier Nakache et Eric Toledano, n'est pas plus drôle que cela. Le scénario basique nous propose de suivre un groupe d'animation préparant un mariage et la tension dans cette équipe gagne vite le spectateur de ce film au démarrage laborieux.
Avec quelques rares bons gags, ce film reste tout de même un honnête divertissement auquel il faut bien "s'adapter". Il est sauvé par sa belle affiche avec un Jean-Pierre Bacri fidèle à lui-même et un bon Gilles Lellouche qui amène un pep bienvenu dans cette ambiance tristounette.
Avec quelques rares bons gags, ce film reste tout de même un honnête divertissement auquel il faut bien "s'adapter". Il est sauvé par sa belle affiche avec un Jean-Pierre Bacri fidèle à lui-même et un bon Gilles Lellouche qui amène un pep bienvenu dans cette ambiance tristounette.
C'est à mes yeux le meilleur film du duo, qui en avait déjà fait deux ou trois de très bons.
Jean Pierre Bacri est formidable en petit patron au bout du rouleau, le scénario est un petit bijou de mécanique, le casting est génial. C'est très marrant, émouvant, le rythme est parfait du début à la fin.
À ranger dans la catégorie "grands classiques de la comédie à la Française", à côté des meilleurs films de Gérard Oury.
Jean Pierre Bacri est formidable en petit patron au bout du rouleau, le scénario est un petit bijou de mécanique, le casting est génial. C'est très marrant, émouvant, le rythme est parfait du début à la fin.
À ranger dans la catégorie "grands classiques de la comédie à la Française", à côté des meilleurs films de Gérard Oury.
À mourir de rire ! Ce huis clos original de 24 heures déborde d'humour et de bons sentiments. Jean Pierre Bachri excelle dans son rôle de patron bourru au grand cœur. Encore un pari réussi pour le duo de réalisateurs, une nouvelle comédie culte !
Qu'est-ce-que j'ai aimé ce film !
Il est absolument épatant !
Du début à la fin ce ne sont que des bonnes situations, de bonnes répliques, du rythme, de la bonne analyse des rapports humains.
Aucun risque de s'ennuyer.
Cela démarre un matin pour se terminer le matin suivant et pendant ces 24 h, les situations savoureuses s'enchaînent pour le plus grand plaisir des spectateurs.
Il est absolument épatant !
Du début à la fin ce ne sont que des bonnes situations, de bonnes répliques, du rythme, de la bonne analyse des rapports humains.
Aucun risque de s'ennuyer.
Cela démarre un matin pour se terminer le matin suivant et pendant ces 24 h, les situations savoureuses s'enchaînent pour le plus grand plaisir des spectateurs.
Le duo Nakache/Toledano devenu en quelques films les rois du box-office français, et particulièrement de la comédie, revient à leurs premiers amours : La comédie Chorale, comme « Nos Jours Heureux », avec l'histoire d'un chef d'entreprise spécialisé dans l'organisation de fêtes qui se retrouve face a un mariage dont chaque étape va devenir quasiment un enfer pour ce roi de l'organisation. Avec un style inimitable, et notamment une capacité à écrire un scénario toujours aussi bien ciselé qui tient compte de chaque élément, qui fait la qualité d'un film chorale, le duo parvient à nous entraîner dans une histoire dont chaque étape fait monter la pression de la même manière que celle subit par le héros tout au long de sa journée.
Comme à chaque fois, le duo travail d'abord ses personnages avant de les intégrer dans une histoire finalement assez simple, celle de l'organisation d'un mariage qui vire au cauchemar à cause d'un marié un peu trop exigeant, de plusieurs extras un peu trop « bras cassés », et des égos de certains de ses collaborateurs qui ont tendance à mettre le feu dès lors qu'il se rencontre. Pour « Le Sens de la Fête », le duo s'éloigne des histoires plus sociétales ou politiques qui firent leurs succès : « Intouchable » et « Samba », pour revenir à de la comédie plus classique avec une flopée de personnages à la fois tendre et en même temps décalés, pour créer un grand n'importe quoi autour d'un personnage central dont le rôle semble avoir été écrit pour son acteur principal.
Car effectivement, comme ils l’ont fait dans le précédent film, Oliver Nakache et Eric Tolédano semblent avoir toujours cette envie de travailler avec un acteur particulièrement et de faire tourner autour de lui d'autres acteurs tout aussi attachant que ce soient des nouvelles têtes, ou d’autres plus confirmées. Ici c'est Jean-Pierre Bacri (Le Goût des Autres), qui joue le maître de cérémonie, il s'oppose ou s'accommode des frasques de différents acteurs venus d’horizons bien différents dans lesquelles on peut croiser Gilles Lellouche (Rock’n Roll), William Lebghil (Les nouvelles aventures d’Aladin), Kevin Azais (Les Combattants) ou encore , et bien sûr Vincent Macaigne (Des nouvelles de la planète Mars), Eye Haidara (La Taularde) et Benjamin Lavernhe (Radiostars) et comme pour rappeler le premier film qui les a rendu célèbres dans le monde de la comédie : Jean-Paul Rouve (Dalida) qui était déjà au générique de « Nos Jours Heureux ».
Côté mise en scène, les réalisateurs s'amusent toujours autant à virevolter d'une pièce à l'autre et d'un coin du Parc à un autre pour mieux suivre leurs personnages et ainsi mettre le spectateur au cœur de l'action du film. Un choix payant puisque le public sent lui-même la pression monter à mesure que le film progresse et que le mariage approche. Comme à leur habitude, Nakache Et Tolédano aiment leurs personnages, y compris les secondaires et chacun trouve sa place dans une intrigue parfaitement maîtrisée qui offre de grands moments de rires et de comédies.
En conclusion « Le Sens de la Fête » signe le retour à la comédie chorale du couple Toledano Nakache. Si le scénario ne peut empêcher une petite longueur dans le milieu du film, il n'en demeure pas moins une belle réussite. Jean Pierre Bacri est truculent et sait toujours avec autant d'aisance passer de l'humour à l'émotion. Le film tient également par des dialogues parfaitement ciselés et une mise en scène qui sait mettre en lumière chacun des personnages, même Le plus secondaire.
Comme à chaque fois, le duo travail d'abord ses personnages avant de les intégrer dans une histoire finalement assez simple, celle de l'organisation d'un mariage qui vire au cauchemar à cause d'un marié un peu trop exigeant, de plusieurs extras un peu trop « bras cassés », et des égos de certains de ses collaborateurs qui ont tendance à mettre le feu dès lors qu'il se rencontre. Pour « Le Sens de la Fête », le duo s'éloigne des histoires plus sociétales ou politiques qui firent leurs succès : « Intouchable » et « Samba », pour revenir à de la comédie plus classique avec une flopée de personnages à la fois tendre et en même temps décalés, pour créer un grand n'importe quoi autour d'un personnage central dont le rôle semble avoir été écrit pour son acteur principal.
Car effectivement, comme ils l’ont fait dans le précédent film, Oliver Nakache et Eric Tolédano semblent avoir toujours cette envie de travailler avec un acteur particulièrement et de faire tourner autour de lui d'autres acteurs tout aussi attachant que ce soient des nouvelles têtes, ou d’autres plus confirmées. Ici c'est Jean-Pierre Bacri (Le Goût des Autres), qui joue le maître de cérémonie, il s'oppose ou s'accommode des frasques de différents acteurs venus d’horizons bien différents dans lesquelles on peut croiser Gilles Lellouche (Rock’n Roll), William Lebghil (Les nouvelles aventures d’Aladin), Kevin Azais (Les Combattants) ou encore , et bien sûr Vincent Macaigne (Des nouvelles de la planète Mars), Eye Haidara (La Taularde) et Benjamin Lavernhe (Radiostars) et comme pour rappeler le premier film qui les a rendu célèbres dans le monde de la comédie : Jean-Paul Rouve (Dalida) qui était déjà au générique de « Nos Jours Heureux ».
Côté mise en scène, les réalisateurs s'amusent toujours autant à virevolter d'une pièce à l'autre et d'un coin du Parc à un autre pour mieux suivre leurs personnages et ainsi mettre le spectateur au cœur de l'action du film. Un choix payant puisque le public sent lui-même la pression monter à mesure que le film progresse et que le mariage approche. Comme à leur habitude, Nakache Et Tolédano aiment leurs personnages, y compris les secondaires et chacun trouve sa place dans une intrigue parfaitement maîtrisée qui offre de grands moments de rires et de comédies.
En conclusion « Le Sens de la Fête » signe le retour à la comédie chorale du couple Toledano Nakache. Si le scénario ne peut empêcher une petite longueur dans le milieu du film, il n'en demeure pas moins une belle réussite. Jean Pierre Bacri est truculent et sait toujours avec autant d'aisance passer de l'humour à l'émotion. Le film tient également par des dialogues parfaitement ciselés et une mise en scène qui sait mettre en lumière chacun des personnages, même Le plus secondaire.
Qui de mieux que Jean-Pierre Bacri pour diriger cette équipe de bras cassés et gérer leurs petits (et leurs gros) soucis avec sa gouaille et ses bougonneries habituelles. Certes, il nous joue encore le même rôle, mais il le fait tellement bien. Le film tourne complètement autour de lui, même si les seconds rôles sont hilarants. Nakache et Toledano n'ont pas leur pareil pour nous rendre attachants des types que l'on ne supporterait pas dans la vie de tous les jours.
Loïck G.
Autour d’une cérémonie de mariage vue de l’intérieur (Jean-Bacri traiteur en chef impérial) le duo Nakache-Toledano récidive sur une formule de comédie originale. Sans la vulgarité assez coutumière et lourdingue de nos fanfaronnades hexagonales, ils reprennent des situations, des intentions, des blagues déjà vues et entendues, mais de façon subtile, adroite ou décalée. Avec une intention portée à tous les personnages qui font de cette belle comédie, une comédie profondément humaine. Dernier atout de ce bel ensemble une partition vraiment originale, que l’on doit au jazzman israélien Avishai Cohen. Le casting est parfait.
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
magnifique , subtile et raffiné.
du pure bonheur. Un scénario plein d'étincelles comme le feux d'artifice à la fin du film , une explosion de situations cocaces par une équipe folklorique mené par un chef J.P.Bacri. au sommet de son art.
du pure bonheur. Un scénario plein d'étincelles comme le feux d'artifice à la fin du film , une explosion de situations cocaces par une équipe folklorique mené par un chef J.P.Bacri. au sommet de son art.
Un Jean-Pierre BACRI au sommet de son art fait de cette comédie chef d'œuvre du genre, tant on rigole par une combinaison de moments drôles et burlesques par leurs situations. A voir sans aucune hésitation.
La plus grande force de Le Sens de la Fête et qu'à aucun moment le film ne laisse les spectateurs s'ennuyer malgré les 2 heures. Si le comique concerne surtout la scène d'introduction (a hurler de rire) et la cérémonie en elle même, dès qu'il se fait plus rare il laisse la place a la réalisation très vivante ponctué de long plan séquences, permettant à Jean Pierre Bacri de montrer l'ampleur de son talent (il vole la vedette dès qu'il entre dans le cadre!) mais également au reste du casting irréprochable ou encore la musique très agréable puisque étant jouée a la batterie. Additionné au montage, on obtient un film rythmé, divertissant, subtil et très drôle quand il le faut.
En clair si vous en avez marre des daubes infâmes qui sortent chaque années et qu'on considère comme des comédies allez voir Le Sens de la Fête ne serait ce que pour se rappeller que oui on peut encore rire d'une comédie française aujourd'hui.
En clair si vous en avez marre des daubes infâmes qui sortent chaque années et qu'on considère comme des comédies allez voir Le Sens de la Fête ne serait ce que pour se rappeller que oui on peut encore rire d'une comédie française aujourd'hui.
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