Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Des scènes de pétages de plombs époustouflantes d’Olivier Gourmet et John Lynch explosent comme des orages extrêmement impressionnants dans le calme d’un décor tantôt paisible ou menaçant. En amont du fleuve plonge dans les tréfonds de l’âme humaine en emportant les spectateurs dans son sillage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un scénario d’Hubert Mingarelli, et sur des thèmes qui lui sont chers comme à Marion Hänsel, un film marqué par la recherche du père, qui a la rudesse brute et la beauté de son décor d’eau et de montagne.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Au fil d’un scénario taiseux qui ne distille ses infos qu’à dose homéopathique, deux poids lourds du cinéma franco-hispano-belge se reniflent comme deux fauves en cage. Pas question d’en dire davantage sur ce pourquoi ils en sont là, les images sont éloquentes. Allez plutôt voir ce film qui ne fait pas de vagues, mais fait du bien à l’âme.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Après "Les Noces barbares" et "Noir Océan", Marion Hänsel signe une équipée fraternelle forte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Nicolas Didier
Malgré un ou deux coups de force scénaristiques, elle signe un étrange film d'aventures intimiste, où les paysages — superbes — deviennent allégoriques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Marion Hänsel aime bien ces atmosphères impalpables, et sa mise en scène est impeccable. Mais pourquoi faire une heure et demie sur un scénario qui mérite d’être raconté en un zapping d’une minute ? Oui, les paysages sont sublimes, ils meublent bien, et que devient le chien ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Bernard Génin
Mal rasés, bourrus à souhait, Olivier Gourmet et Sergi Lopez assurent en pros consciencieux les scènes d'engueulades viriles que leur ménage cette cohabitation forcée, au cours de laquelle le sppectateur regarde souvent sa montre...
Première
par Christophe Narbonne
L’espoir d’un thriller en eaux troubles est vite désamorcée par la volonté de Marion Hänsel de faire des clapotis plutôt que des vagues. Rien de viscéral ni de brutal, encore moins de surprenant, dans ce huis-clos théâtral (le mouvement du rafiot n’en estompe pas la réalité) qui avance à la vitesse d’un pédalo.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Nous, on reste sur la terre ferme : dénué d’émotion, ce voyage linéaire et poussif dérive progressivement vers l’ennui. En dépit de leur talent, Olivier Gourmet et Sergi López n’évitent pas le naufrage.
Le Monde
par Isabelle Regnier
La réalisatrice filme les retrouvailles de deux frères taiseux, dans un film qui s’étire en longueur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Des scènes de pétages de plombs époustouflantes d’Olivier Gourmet et John Lynch explosent comme des orages extrêmement impressionnants dans le calme d’un décor tantôt paisible ou menaçant. En amont du fleuve plonge dans les tréfonds de l’âme humaine en emportant les spectateurs dans son sillage.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario d’Hubert Mingarelli, et sur des thèmes qui lui sont chers comme à Marion Hänsel, un film marqué par la recherche du père, qui a la rudesse brute et la beauté de son décor d’eau et de montagne.
La Voix du Nord
Au fil d’un scénario taiseux qui ne distille ses infos qu’à dose homéopathique, deux poids lourds du cinéma franco-hispano-belge se reniflent comme deux fauves en cage. Pas question d’en dire davantage sur ce pourquoi ils en sont là, les images sont éloquentes. Allez plutôt voir ce film qui ne fait pas de vagues, mais fait du bien à l’âme.
Le Figaro
Après "Les Noces barbares" et "Noir Océan", Marion Hänsel signe une équipée fraternelle forte.
Télérama
Malgré un ou deux coups de force scénaristiques, elle signe un étrange film d'aventures intimiste, où les paysages — superbes — deviennent allégoriques.
L'Obs
Marion Hänsel aime bien ces atmosphères impalpables, et sa mise en scène est impeccable. Mais pourquoi faire une heure et demie sur un scénario qui mérite d’être raconté en un zapping d’une minute ? Oui, les paysages sont sublimes, ils meublent bien, et que devient le chien ?
Positif
Mal rasés, bourrus à souhait, Olivier Gourmet et Sergi Lopez assurent en pros consciencieux les scènes d'engueulades viriles que leur ménage cette cohabitation forcée, au cours de laquelle le sppectateur regarde souvent sa montre...
Première
L’espoir d’un thriller en eaux troubles est vite désamorcée par la volonté de Marion Hänsel de faire des clapotis plutôt que des vagues. Rien de viscéral ni de brutal, encore moins de surprenant, dans ce huis-clos théâtral (le mouvement du rafiot n’en estompe pas la réalité) qui avance à la vitesse d’un pédalo.
Le Journal du Dimanche
Nous, on reste sur la terre ferme : dénué d’émotion, ce voyage linéaire et poussif dérive progressivement vers l’ennui. En dépit de leur talent, Olivier Gourmet et Sergi López n’évitent pas le naufrage.
Le Monde
La réalisatrice filme les retrouvailles de deux frères taiseux, dans un film qui s’étire en longueur.